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samedi 20 décembre 2014

Un homme blesse trois policiers au cri d' "Allahu Akbar" avant d'être abattu

Ce dieu-là ne s'est encore pas grandi

Allez, Cazeneuve, envoie la cellule psychologique !

Cet homme n'a pas été une chance pour la France: il est entré au commissariat pour tuer des policiers avec un couteau. Des cris en arabe ("Allahu Akbar") ont retenti dans la France profonde d'Indre-et-Loire, au commissariat de Joué-lès-Tours, dans la ZUP de la Rabière, où il a blessé trois policiers qui ne lui demandaient rien et le Parquet antiterroriste s'est - "aussitôt" (la presse est merveilleuse) - saisi de l'enquête qui s'oriente vers l'"islamisme radical".

"Cela ressemble au mode d'action préconisé par le groupe Etat islamique", qui mène le djihad en Syrie et en Irak, et recommande aux croyants "de s'en prendre ainsi aux forces de l'ordre" et de faucher les enfants de mécréants dans la rue au volant de sa voiture, a déclaré "une source proche de l'enquête". "L'enquête s'oriente vers un attentat (...) motivé par l'islamisme radical," commente cet anonyme auprès de l'AFP dont on espère qu'elle s'est enquise de l'identité.

Il va sans dire que le Premier ministre Manuel Valls a -"aussitôt"- apporté son "soutien" aux policiers "gravement blessés et choqués", promettant "la sévérité de l'Etat" -et du p'tit Cazeneuve- à "ceux qui s'en prennent à eux".

Un ("jeune"?) homme d'une vingtaine d'années armé d'un couteau s'est présenté au commissariat vers 14h00 et a blessé grièvement deux policiers, dont l'un au visage. Un troisième, une femme policière, "très choquée, a été plus légèrement atteinte", selon le ministère de l'Intérieur. Les pronostics vitaux des policiers ne sont plus engagés, a précisé le procureur de la République à Tours Jean-Luc Beck. La "source proche de l'enquête"A noter qu'on ne fait pas mystère de l'identité des honnêtes gens: l'anonymat est le privilège des délinquants. De là à conclure que, s'il est bien Français, et plus que la majorité, il ne l'est néanmoins que depuis peu...  Si nous pouvons nous permettre. 

L'agresseur, un Français, mais né au Burundi en 1994 et converti 

Il "a crié "Allahu Akbar" (Dieu est le plus grand, en arabe, précise  l'AFP, où on connaît l'arabe) du moment où il est entré jusqu'à son dernier souffle", a rapporté la source proche de l'enquête. De plus en plus proche, à ce niveau de précision...

Selon le ministère, il a ensuite [et non pas avant de rendre "son dernier souffle" - dixit la fameuse source intarissable - ce qui révèle un niveau élevé de réactivité] été "abattu" par "des policiers présents", lequel "ont fait usage de leur arme administrative", selon qui vous savez, au cas où vous auriez pensé que le jet de canettes est mortel à tout coup. "Selon les premiers éléments de l'enquête - les choses vont vite, mais c'est comme ça quand Valls diligente une affaire -, tous les éléments de la légitime défense" sont réunis, a estimé le procureur. Il s'en est visiblement assuré, ainsi que "la source proche de l'enquête": les deux journalistes de l'AFP ne pouvaient dérailler.

A 20 ans, l'agresseur était connu des services de police"
Il se prénommait Bertrand, mais se faisait appeler Bilal et  avait déjà commis "des actes de délinquance classiques" (sic) et si vos enfants n'en ont pas encore commis, ils ont raté leur vie. 
Que les citoyens se rassurent donc, il "n'était pas fiché" pour "des activités à caractère terroriste" (bien qu'on s'interroge rétrospectivement s'il n'aurait peut-être pas dû l'être !), a affirmé au commissariat de Joué-lès-Tours le ministre Bernard Cazeneuve, après avoir condamné cette "agression brutale" et a salué "le sang-froid et le professionnalisme des policiers". Et patati, et patata. Le ministre et son escorte n'ont pas fait 240 km pour rien.

En revanche, son frère, Driss, est quant à lui connu pour ses positions religieuses radicales, au point d'avoir un temps envisagé de partir en Syrie avant de renoncer, selon la source proche de l'enquête. Finalement, cette petite famille modèle était plus que suspecte. 
L'homme se trouverait actuellement, sinon en Syrien, du moins au Burundu, la terre de ses ancêtres, avec des liens avec la Belgique mais aucun avec la France. Les origines de la familles sont pen fait plus compliquées, peut-être, puisque la population du Burundi est très mêlée, pour avoir dû accueillir près de 20.000 réfugiés et demandeurs d’asile en provenance du Congo-Kinshasa et du Rwanda.

La section antiterroriste du Parquet de Paris s'est saisie de l'enquête pour tentative d'assassinat et association de malfaiteurs, le tout en lien avec une entreprise terroriste.

Cet attentat sera exploité par le gouvernement et sa presse

Certes, tout musulman n'est pas un djihadiste en puissance. Mais Bernard Cazeneuve a annoncé avoir "donné des instructions" pour "renforcer les mesures de sécurité" des policiers et gendarmes et a demandé "des mesures de même nature" pour les policiers municipaux et les sapeurs-pompiers. A quelle population pense-t-il ? Aux Zemmouriens ?
Pour Alliance, premier syndicat des gardiens de la paix, ce genre d'attaques "très violentes" doit "amener l'Etat à réviser les conditions de la légitime défense" des policiers. Délicate entreprise, si on désarme les forces de l'ordre - privées de flash-ball et, en cas d'affrontements, de grenades offensives - et si on se refuse à identifier les populations à risques... 

Le risque d'attentats islamistes commis en France est pris très au sérieux par les services.
L'AFP nous en refait des tonnes et ressort un copié-collé précédent, indiquant que l'organisation Etat islamique (EI) encourage les candidats au djihad à lancer des attaques contre les "infidèles", militaires, policiers ou même civils. La France avait été nommément citée comme cible par l'EI après la décision souveraine de Hollande de lancer des frappes françaises en Irak, et de tels appels sont régulièrement relayés dans des vidéos du groupe djihadiste.

Le retour de djihadistes français qui ont combattu en Syrie, avec des projets individuels ou commandités par l'EI, reste d'ailleurs le principal risque aux yeux des services. Mais l'individu isolé auto-radicalisé qui mène un attentat de faible ampleur est aussi une crainte, d'autant qu'il s'agit d'actes plus difficiles à déjouer, estime une source antiterroriste (anonyme !). Et au final, ça fait du monde, sans s'avouer que chaque musulman, au train où vont les choses, est exposé à une dérive fanatique.

Depuis l'été 2013, cinq "projets d'actions terroristes" djihadistes ont été déjoués en France, a déclaré cette semaine Bernard Cazeneuve, qui nous défend de nous faire du souci. Plus de 1.200 Français ou personnes résidant en France sont impliquées dans les filières djihadistes vers la Syrie ou l'Irak, un chiffre qui "a doublé depuis le début de l'année". Mais Le ministricule veille sur nous.

Sans alarmisme de mauvais aloi, les autorités craignent que certains djihadistes ne déclenchent des opérations à leur retour, à l'instar du Français Mehdi Nemmouche, soupçonné d'avoir perpétré la tuerie du Musée juif de Bruxelles qui avait fait quatre morts fin mai 2014

Et l'AFP nous ressert les affaires de mars 2012, quand l'islamiste radical de 23 ans Mohamed Merah avait tué sept personnes dont trois enfants dans la région de Toulouse en se réclamant du djihad, avant d'être abattu dans son appartement. Et si certains mauvais Français venaient à développer une psychose de la djellaba ou une fixation malsaine sur le voile islamique, ce serait la responsabilité de Zemmour et non de l'AFP. La Gauche forte s'en fait forte !

Et ce n'est pas tout ! L'AFP, qui tient à mettre plus de sérénité et de liant dans les relations inter-communautaires - Galut-la-galoche parle de "vivre ensemble" -, l'AFP, donc, rappelle qu'un an plus tard, fin mai 2013, un Français de 22 ans converti à l'islam et radicalisé avait blessé à la gorge un militaire dans le quartier d'affaires de la Défense, près de Paris.

Il est minuit, braves gens, dormez tranquilles!
Ce n'est pas PaSiDupes qui rappelerait que le 28 août 2013, à Joué-lès-Tours justement, une voiture de police a eu le malheur de croiser la route d’une Renault Mégane qui roulait à vive allure en faisant des embardées. "Il y avait sept personnes à bord, très alcoolisées", y compris le conducteur qui roulait sans permis. Les policiers se trouvaient à l'aube, au bon endroit, au bon moment. Mais la concubine du conducteur a tenté de défendre son mâle bec et ongles, en mordant l’un des policiers à plusieurs reprises.
VOIR et ENTENDRE un classique d'interpellation, ici, le  18 août 2013, dans la ZUP de la Rabière à Joué-les-Tours (alors PS):

Galut y voit des violences polocières ! 
Et quand Sélim a vu des policiers blancs agresser des Noirs, il a tout naturellement affirmé que la police française est raciste, puisque les rappeurs ne cessent de glapir qu’ils les voudraient morts. La presse respecte la consigne de "paix sociale" et tait la vérité. C'est un fait que 9 fois sur dix, c’est l’oumma qui s’embrase via le téléphone arabe et le smartphone…


Si vous vous sentiez menacé, vous alliez vous réfugier au commissariat ? Oubliez ça!

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