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mardi 31 mai 2011

Vers la fin du nucléaire en Allemagne, grâce à la France


Le nucléaire assure 25% et 85% des besoins énergétiques des pays respectifs

La presse française d'opposition salue la déclaration de la chancelière allemande Angela Merkel de sortir l'Allemagne du nucléaire, mais adopte un angle plus polémique et partisan qu'écologiste et environnemental, en accordant une portée politique à cet effet d'annonce pour dans dix ans. Elle compte en effet que la promesse politique de la chancelière sortante aura un impact direct sur la campagne présidentielle française.
Bien que le lobbying anti-nucléaire allemand soit très actif depuis de nombreuses années déjà et sachant pourtant que les Français restent attachés à cette technologie de pointe initiée par le Général De Gaulle, des éditorialistes français accordent une portée "historique" à cette annonce allemande de sortie du nucléaire pour 2022, estimant que cette option pourrait plonger dans l'embarras le président Nicolas Sarkozy, fermement pro-nucléaire malgré la catastrophe de Fukushima et dans l'attente de sources de substitution.
=> Le premier ministre, François Fillon, a affirmé que la France "respectait la décision allemande", mais que ce n'était "pas le choix" fait par le gouvernement français, qui juge que cette énergie constitue une "solution d'avenir".
=> "La France a fait depuis un demi-siècle le choix du nucléaire, qui produit aujourd'hui 80 % de l'électricité en France", a dit pour sa part le ministre de l'industrie, Eric Besson. "Ce choix reste pertinent, parce que la France a acquis ainsi une forte indépendance énergétique ; elle dispose ainsi d'une électricité 40 % moins chère que dans la moyenne des autres pays européens. Les ménages allemands par exemple paient leur électricité deux fois plus cher", a-t-il ajouté.
=> Le secrétaire général de l'UMP, Jean-François Copé, s'est également montré "totalement défavorable" à une telle décision pour la France. "85 % de notre énergie est produite par le nucléaire (...). C'est aujourd'hui un élément majeur de la puissance industrielle de la France", a-t-il affirmé sur RTL.

=> Ainsi, selon Hubert Coudurier dans Le Télégramme, "en confirmant le geste qu'elle avait eu au lendemain de la catastrophe de Fukushima, la chancelière Angela Merkel plonge la France dans l'embarras". Le journal, radical et laïc, se situe plus à gauche que Ouest France, au point d'avoir déconseillé de voter pour la socialiste Marie-sEGOlène Royal à la présidentielle de 2007.
=>"L'accident de la centrale japonaise de Fukushima...a rappelé au monde le risque atomique", note Dominique Quinio dans La Croix, journal progressiste, bien que la catastrophe ne soit pas nucléaire, mais tellurique.
=> Outre que Didier Louis, qui n'a pas peur des mots, qualifie cette décision de "big bang" et "d'historique" dans le Courrier picard, la dirigeante allemande "a donné un sacré coup de pied dans le nucléaire !", selon Jacques Camus dans La République du Centre, de Centre gauche. Elle fait ainsi "endosser à l'Allemagne un rôle précurseur dans la construction d'un nouveau modèle énergétique" et "relance avec acuité, au-delà des frontières germaniques, le débat sur le nucléaire."
=> Mme Merkel "pose donc un vrai défi économique et écologique à la France en divergeant de sa politique énergétique, à majorité nucléaire", renchérit Xavier Panon dans La Montagne. "Le débat présidentiel (français) sera agité par ces atomes crochus, porteurs d'un choix de société", poursuit-il.
=>"L'annonce allemande constitue un choc et changera profondément la donne de la campagne de 2012", prédit Jacques Guyon dans La Charente Libre. "Peut-on, parce que nous avons mis tous nos oeufs dans le même panier continuer à prétendre que nous sommes seuls à avoir raison?", s'interroge-t-il.

"Le pari allemand nous concerne tous"

Le nucléaire assure 25% des besoins énergétiques en Allemagne et 85% en France:
le problème ne se pose donc pas dans les mêmes termes.

ECOUTER la chronique du 31 mai 2011 de Jean-Louis Gombeaud sur RTL.
=> Dans le genre hypocrisie, Angela Merkel n'a donc rien à envier aux Grünen ou au PS, car l'Allemagne devrait acheter une partie de son énergie à l’étranger: de l'électricité nucléaire française ! Dans la série « faites ce que je dis mais pas de ce que je fais », la chancelière allemande les bat tous, si c'est possible.

Mais la presse française entre en surchauffe
Convaincue d'aller dans le sens de l'Histoire, elle s'aligne sur le dernier qui a parlé. Les commentaires sont faciles et vont bon train, après avoir fait campagne contre les éoliennes ou le gaz de schiste, sans un mot sur le réalisme des sources d'énergie alternative et sans une proposition recevable.

Le PS, bien que divisé, reste très attaché au nucléaire, mais, à lire la presse dans l'air du temps, la promesse Merkel ne gênerait que la majorité.
"Pour les lobbies de l'atome...c'est jour de deuil", ironise Michel Lépinay dans Paris Normandie et "pour le gouvernement français, c'est aussi bien sûr une très mauvaise nouvelle" puisque "la décision allemande pourrait peser lourd sur le débat politique en France", alors que "depuis l'arrivée de Nicolas Sarkozy à l'Elysée, l'UMP brandit sans cesse, sur tous les tons, l'exemplarité germanique". Après ce revirement allemand, la France risque également de se faire "distancer" dans la course aux énergies renouvelables.

"Au-delà du choix politique et politicien", assure Bernard Le Solleu dans Ouest-France, "Merkel prend une décision majeure pour l'économie la plus puissante d'Europe". "Quoi qu'en disent les patrons d'EDF et d'Areva, ce changement de cap à Berlin aura des conséquences au sein de l'Union européenne", commente l'éditorialiste de Ouest-France, relevant que l'Italie, l'Autriche, la Belgique et la Suisse "se détournent" également du nucléaire. Et si en France "le lobby nucléaire s'est attaché à décrédibiliser l'initiative d'outreRhin... S'arrêter là serait une erreur", martèle Rémi Godeau de L'Est Républicain. "Car le pari allemand nous concerne tous."

Omissions de la presse de gauche

Angela Merkel semble avoir les faveurs de l'opposition, mais en octobre 2010, alors que le débat sur l'intégration des musulmans battait son plein depuis la sortie de l'ouvrage polémique de Thilo Sarrazin, elle affirma que « le modèle multiculturel allemand [Multikulti] a totalement échoué ».

Fin 2010, entre autres débats, celui sur le prolongement de la durée de fonctionnement des centrales nucléaires divisait le Cabinet Merkel et la majorité.

Sa dernière déclaration sur le nucléaire est donc de nature politicienne et peut être remise en question par son successeur. La présidente du groupe nucléaire français Areva, Anne Lauvergeon, n'exclut pas un retournement de situation d'ici à cette échéance. Interrogée sur le caractère "irréversible" de cette mesure, la présidente d'Areva a fait valoir que "d'ici à 2022, il peut se passer beaucoup de choses".
Anne Lauvergeon a souligné qu'elle s'attendait à "une réaction allemande spécifique" après la catastrophe de la centrale nucléaire japonaise de Fukushima en mars, soulignant que la situation du nucléaire au Japon "n'a pas d'équivalent dans le reste du monde".

Benoît Hamon, porte-parole du PS, plaide évidemment pour que la question soit tranchée, en France, par un "arbitrage du peuple français" au moment de l'élection présidentielle. Malgré un projet adopté à l'unanimité, le PS se divise sur le sujet: Tartine Aubry veut sortir du nucléaire mais elle refuse de se lier en livreant son calendrier, tandis que Flamby Hollande, lui, estime que l’on ne peut pas se passer du nucléaire, mais amateur d'eau tiède, il préfère "aller vers une réduction de la part du nucléaire". Son échelonnement ? Reporté aux calendes grecques. Mais Hamon-le-benêt demande aux électeurs de trancher !...

Les Français auront le temps de méditer l'information de la présidente d'Areva. Pour Mme Lauvergeon en revanche, "c'est une décision totalement politique. Il n'y a pas eu de référendum ni d'appel à ce que pensait l'opinion publique, même si les sondages montrent l'émotion des Allemands". Sur BFM Radio Anne Lauvergeon a encore souligné que la fermeture déjà effective de sept réacteurs en Allemagne a "entraîné un renchérissement significatif des coûts de l'électricité en Allemagne, avec des conséquences pour la base industrielle installée".




=> Lien agence de presse: "Nucléaire: l'Allemagne double ses importations d'électricité française"
(4 avr. 2011)


Gros consommateurs de charbon de mauvaise qualité – donc très polluant – les Allemands pourront toujours continuer à l'extraire de ses mines de l’ex-RDA ou près de Leipzig et Cologne… C’est une énergie peu chère, mais l'Allemagne en consomme 200 millions de tonnes par an et c'est au mépris de la cause environnementale, mais c'est avec la bénédiction des Verts. Un modèle pour nos propres illuminés et la presse hexagonale toujours prête à critiquer le gouvernement en place.

Plus avec France Info


lundi 30 mai 2011

Vaulx-en-Velin: le maire PCF hisse le drapeau palestinien à la mairie

Le maire PCF refuse de le retirer: le préfet saisit la justice



Faut-il un passeport pour se rendre
de France à Vaulx-en-Velin,
M.Jean-Jack Queyranne,
président (PS)
de région Rhône-Alpes ?


Depuis près d’un an, la ville arbore le drapeau palestinien sur son fronton


Bien que la Palestine ne soit pas un état, le drapeau palestinien flotte à la façade de l’hôtel de ville de Vaulx-en-Velin, à côté des drapeaux français, européen et celui de la ville, depuis le 30 juin 2010. « C’est un acte de soutien à toutes celles et ceux qui veulent relancer le processus de paix, en Palestine comme en Israël », assure le maire communiste, Bernard Genin (Front de Gauche), malgré l'exclusion du drapeau israëlien.
Le maire partisan part lundi directement dans la ville palestinienne de Beit Sahour, jumelée à Vaulx-en-Velin, sans étape en Israël.

L’initiative avait à l’époque fortement heurté le CRIF (Conseil représentatif des institutions juives de France) : « Nous avons alerté les plus hautes autorités de l’Etat. Sur le fronton de la mairie, c’est le drapeau de la République qui doit flotter. On peut être pro-Palestinien, mais on ne doit pas attiser les haines, il y en a déjà trop. Cela me paraît dangereux, surtout dans une ville où l’on voit un exode de la population juive, souvent agressée. Il y a quinze ans, 250 familles juives vivaient à Vaulx-en-Velin, et elles sont aujourd’hui 35. C’est un échec du vivre ensemble. Quand le drapeau a été installé, nous sommes intervenus auprès du ministre de l’Intérieur, M. Brice Hortefeux à l’époque, qui avait été choqué », affirme Marcel Amsellem, président du CRIF Rhône-Alpes.

En septembre 2010, le préfet, Jacques Géraud, envoya un premier courrier au maire pour lui demander d’enlever le drapeau palestinien. La lettre reste sans réponse.

Nouveau courrier en janvier 2011 du nouveau préfet, Jean-François Carenco, qui fait la même demande. Le maire se fend en mars d’une belle lettre où il explique sa position, mais refuse fermement d’enlever le drapeau. Le préfet a saisi le tribunal administratif. La date de l’audience n’est pas encore fixée.

« Le principe de neutralité des services publics s’oppose à l’affichage de signes politiques, religieux ou philosophiques », explique la Préfecture, en se fondant sur la jurisprudence concernant la commune de Sainte-Anne, en Martinique, qui avait hissé un drapeau indépendantiste.

Vaulx-en-Velin, ville palestinienne


« On préfère la solidarité à la neutralité. Comprenne qui pourra d’ailleurs quand le préfet nous parle de laïcité sur ce dossier. Si nous sommes obligés d’enlever le drapeau, nous le ferons : le tribunal tranchera, et on aura l’occasion d’organiser des rassemblements et des manifestations », affirme l'agitateur Bernard Genin, qui dénonce avec vigueur les propos du CRIF : « Le drapeau palestinien devant notre mairie n’exacerbe en rien des actes antisémites. De tels raccourcis sont dangereux ».

L'élu communiste n'est pas un provocateur: c'est même visiblement un pacifiste !

Jospin multiplie les réunions dînatoires: après Hollande, Aubry

Lionel Jospin, nourri aux frais du PS

Il y a quelques jours, le candidat socialiste malheureux à la présidentielle de 2002 s'était déjà fait offrir un repas hypo-calorique par François Hollande. Considérant la perte de poids -vingt kilos- de son hôte, l'ex-premier secrétaire du PS, devait avoir des réserves: pour partager la table de Flamby 1er, il faut maintenant aimer le concombre !

Aujourd'hui 30 mai, il s'est bien rattrapé.
Lionel Jospin a déjeuné avec Martine Aubry
au Récamier, le très huppé restaurant du 7e arrondissement de Paris: à la carte, comptez entre 30 et 54 euros.
Si la patronne du PS n'a pas encore annoncé son intention de se présenter aux primaires socialiste en vue de l'élection à la magistrature suprême en 2012, son déjeuner avec le toujours très écouté retraité de l'île de Ré indique bien que les grandes manœuvres se poursuivent au PS.



Ce havre de paix
est la cantine de Martine Aubry

Mais pour l'instant, Lionel Jospin reste neutre et n'a pris position ni pour le député de Corrèze ni pour la maire de Lille.
D'autres repas en perspective ?

ONU: la Haut Commissaire aux droits de l'homme stigmatise l'Union Européenne

Immigration : la Haut Commissaire aux droits de l'homme à l'ONU critique l'Europe

Lundi 30 mai, la Haut Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme,Navi Pillay a critiqué, ce qu'elle appelle la 'rhétorique mise en place ces derniers mois, en particulier en Italie et en France', qui tendrait à dépeindre les migrants 'comme un fardeau dont il conviendrait de se décharger sur d'autres'.

Dans son discours à l'ouverture de la 17e session du Conseil des droits de l'homme, la responsable onusienne a aussi évoqué le "printemps arabe" en Afrique du Nord, 'qui une fois de plus a démontré la vulnérabilité des migrants' qui sont 'soumis à la violence et la discrimination'.

Elle s'en est par ailleurs prise également à la 'réponse réflexe' mise en place 'dans l'espace Schengen en général et dans certains pays particuliers, comme le Danemark' , qui a annoncé récemment sa décision de rétablir des contrôles douaniers permanents à ses frontières nationales.
Cette 'réponse à la crise actuelle ne répond pas au vrai défi de travailler ensemble pour assurer le respect de tous les droits des personnes, où qu'elles se trouvent et quelle que soit la manière dont elles sont arrivées', a-t-elle estimé, déconnectée des difficultés des travailleurs en Europe occidentale.

'Il est important de rappeler que la charge d'accueillir les migrants, les réfugiés et les autres personnes déplacées fuyant les troubles en Afrique du Nord continue d'affecter de manière disproportionnée les pays de la région', a toutefois admis Navi Pillay.

La Haut Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme a estimé qu'il était 'temps que tous les pays affrontant ces défis, dont les pays de l'Union européenne, apportent un soutien efficace dans le respect de leurs obligations internationales'.

Navanethem Pillay (née en 1941 en Afrique du Sud) est une avocate d'origine indienne.
Ancienne militante contre la politique d'apartheid, première femme nommée à la Haute Cour d'Afrique du Sud en 1995 et actuelle Haut-Commissaire des Nations Unies aux droits de l’homme, elle fut présidente du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) de 1999 à 2002.
Juillet 2010
L'ONU et les ONG craignaient un exode des migrants Zimbabwéens fuyant "les menaces de violences xénophobes en Afrique du Sud après la Coupe du monde de football", indiquait alors à Genève l'Organisation internationale pour les migrations (OIM). Lien Jeune Afrique
La Haut Commissaire de l'ONU n'a jamais exercé aucune fonction élective.

Le collectif RESF étend son activité aux couples sans enfants


RESF s'aménage une Convention européenne des droits de l'homme sur-mesure


En violation de la CEDH sur laquelle ils s'appuyaient,
les activistes de ce réseau de collectifs, d'associations et de citoyens vigilants soutenus par des syndicaux et de partis politiques mène des actions de déstabilisation politique en instrumentalisant le droit à une « vie familiale normale », mais désormais au-delà de son but légal déclaré.

Le Réseau éducation sans frontières, ou RESF, était supposé se consacrer aux migrants d'âge scolaire (au sens large, de la maternelle à l'université), avec le soutien du SNU-ipp ou le SNES (FSU) et de la FCPE ou de l'UNEF, pour imposer sur le sol de France leurs parents en situation illégale.
Lien PaSiDupes: RESF, des activistes

Or, RESF diversifie son activité en toute illégalité
Le collectif apporte aujourd'hui son soutien à un couple de Somaliens - sans enfant -
qui vient d’arriver à Nîmes. Il s’agit de Soleyman, 29 ans, et de sa compagne Farhidja, 24 ans.

Le couple somalien a bien appris la leçon des enseignants de RESF
D'abord, il serait menacé d’assassinat par des proches, pour non appartenance à la même ethnie. De bonnes raisons, vraies ou fausses, pour demander l'asile politique.

Ensuite, pour que triomphe l'amour, il a quitté précipitamment la Somalie en guerre civile, comme le font des Lybiens. Ainsi, son histoire comporte-t-elle déjà tous les critères nécessaires et suffisants devenir de bons réfugiés politiques.
Mais, en bonus, il raconte l'histoire de sa cavale qui l'a conduit il y a trois mois, au Kenya, pays frontalier, où, avec l’appui intéressé de personnes peu recommandables, précisent-ils, des passeurs, ils disposaient néanmoins des moyens de prendre un vol de Nairobi à Marseille, où ils ont pu atterrir, sans encombre le 21 mai, et rendre les faux papiers qui leur avaient permis de franchir les contrôles. Ils ne parlent pas un mot de français, un peu d’anglaisà deux, et les passeurs leur ont dit d’aller à Nîmes où ils ne connaissent personne. La France n'a aucun passé colonial avec la Somalie.
Ils ont vagabondé dans les rues de la ville du denim en se faisant le plus discrets possible, avant d’être pourtant repérés par ...RESF !

La rencontre avec RESF ne doit rien au hasard
Musulmans venus d'Afrique orientale, rien ne destinait les deux Somaliens à la France, mais bien informés, ils ont été particulièrement bien inspirés de passer trois nuits devant les locaux du 115. RESF ne pouvait les manquer, puisqu'il s'agit d'un lieu d'accueil des personne sans abris de Nîmes. A cette occasion, il fallait donc stigmatiser le sénateur-maire UMP de la ville, Jean-Paul Fournier, en mobilisant la population sur le sort du couple sorti de nulle part, par la volonté d'un passeur, et le scénario de RESF comporta donc ces trois nuits sur le trottoir, et, quitte à dramatiser encore davantage, l'épreuve était suivie du cadeau de deux nuits d’hôtel offertes, avant qu'il doive libérer la chambre le 30 mai.

RESF politise la détresse humaine

Selon ce réseau radical, la France agit en violation des traités internationaux
en refusant de prendre en charge les réfugiés du monde entier à leur arrivée. "Il faut dénoncer ces pratiques qui ont déjà valu à la France d’être condamnée à 67 reprises", lancent les militants du collectif.

Or, la France, c'est aussi le Gard, dont le président PS du Conseil général, Damien Alary (au brushing impeccable, un proche de Georges Frêche et 5e vice-président du Conseil régional de Languedoc-Roussillon), ne manquent pas de moyens propres de premier secours.

En région, comme au plan national,le parti socialiste ne s'est encore pas montré à la hauteur de son discours.

PS: Jean-Noël Guérini, son directeur de cabinet mis en examen pour destruction de preuves

Des preuves auraient compromis le président du CG des Bouches-du-Rhône

La Fédération PS ne doit donc pas sa puissance à sa seule vertu

Le directeur de cabinet du président socialiste du Conseil général des Bouches-du-Rhône, Jean-Noël Guérini, a été mis en examen lundi pour « destruction de preuves ».

Rémy Bargès est soupçonné d'avoir procédé au changement du parc informatique des membres du cabinet de Jean-Noël Guérini quelques jours avant une perquisition des gendarmes au Conseil général, en novembre 2009, dans le cadre de l'instruction menée sur des marchés publics présumés frauduleux, impliquant le frère du président, Alexandre Guérini, au point que ce dernier est déjà à l'ombre.
Lien Le Nouvel Observateur

« Aucun lien avec Alexandre Guérini », assurément

L'avocat du présumé innocent, Me Olivier Lantelme, a pour sa part estimé que ce délit supposé n'avait « aucun lien avec les affaires d'Alexandre Guérini », le frère du président du Conseil général. Autant dire que si cette affirmation était vérifiée, les affaires Guérini prennent une ampleur accablante.

Préalablement à cette mise en examen, Alexandre Guérini avait bénéficié d'une libération discrète.
L'homme d'affaires en décharges publiques du département administré par son frère (et au-delà) avait versé une caution de 300 000 € avant d'être autorisé à quitter le 17 mai la maison d'arrêt neuve de Luynes, près d'Aix-en-Provence, où il était incarcéré depuis le 1er décembre 2010, dans le cadre d'une enquête sur des marchés publics présumés frauduleux dans la région marseillaise.
Il a été mis en examen pour
- abus de biens sociaux,
- détournement de fonds et de biens publics,
- recel,
- corruption active,
- trafic d'influence
- et détention de munitions.
Il reste sous contrôle judiciaire et son passeport lui a été confisqué.
Sans doute peut-on aisément comprendre que des charges aussi légères aient pu justifier son retour à l'air libre, bien que son influence se soit pourtant exercée aussi au Conseil général où, pour le réseau d'affidés des deux frères, il obtenait des logements auprès de l'Office HLM départemental ou des emplois dans des maisons de retraite.
Ô surprise, malgré les affaires mafieuses au CG13, Jean-NoNo s'est fait ré-élire à la présidence des Bouches-du-Rhône: y aurait-il quelque chose de pourri au pays des déchets Guérini ?
Cet expert socialiste en déchets a été exfiltré de la prison dans un véhicule de l'administration pénitentiaire aux vitres fumées.
Un privilège rare compatible avec l'éthique des nantis de gauche.

samedi 28 mai 2011

Des Lybiennes enceintes mettent le pied en Europe


Italie: après un répit, de nouveaux bateaux de réfugiés à Lampedusa




Immigration de peuplement:

hausse du taux de natalité
exogène en France,

désormais conseillé
en circuit fermé

avec réduction de
personnel indigène.



Passez le "printemps arabe" en Europe. Et plus si affinités...


Environ 1.450 migrants, pour l'essentiel des réfugiés arrivant de Libye, ont encore débarqué entre vendredi et samedi soir
sur la petite île italienne de Lampedusa (sud), selon les garde-côtes et la police douanière.

=> Quelque 609 personnes, dont 41 femmes, parmi lesquelles 4 enceintes et sept enfants, ont été récupérées par des vedettes au sud de Lampedusa alors qu'elles se trouvaient sur un bateau dont le gouvernail était cassé.

=> Un total de 138 autres migrants a été secouru par des bateaux de la capitainerie du port et de la police.

Dans la nuit de vendredi à samedi, un bateau était arrivé avec à son bord 347 personnes dont 27 femmes et un enfant. En difficulté, il avait été secouru au large de l'île par des vedettes des garde-côtes et de la police.

Auparavant, deux autres bateaux partis des côtes libyennes avec respectivement à leur bord 247 et 175 personnes avaient été escortés depuis le Canal de Sicile jusqu'à l'île.

=> Les sauveteurs étaient également venus au secours d'une petite embarcation venant de Tunisie avec 55 immigrés à son bord, arrivée sur la minuscule île de Pantelleria, proche de Lampedusa.

Tous les migrants ont été conduits au centre d'accueil de Lampedusa qui dépasse désormais sa capacité avec plus de 1.800 personnes.

=> Par ailleurs, une dizaine de migrants de nationalité inconnue ont été interceptés en Sardaigne, à Sant'Antioco. Ils ont affirmé aux carabiniers que 3 de leurs compagnons partis avec eux avaient disparu.

Des milliers de réfugiés fuyant la guerre en Libye, non pas vers l'Egypte ou un pays arabe du Golfe, mais vers l'Europe, et pour la plupart des travailleurs immigrés originaires d'Afrique et d'Asie, ont débarqué en masse ces dernières semaines sur l'île de Lampedusa.

Le gouvernement italien dispatche les illégaux

Face à cet afflux de réfugiés, après les immigrés venant de Tunisie, les autorités italiennes ont instauré un système de rotation de ferries qui transportent les étrangers de Lampedusa vers d'autres centres d'accueil dans le reste du pays.

Selon la protection civile italienne, quelque 39.000 migrants, dont environ 20.000 immigrés tunisiens, sont arrivés depuis le début de l'année sur les côtes italiennes.
C'est-à-dire en Europe.

=>

=> La révolution arabe exporte si bien qu'on s'interroge sur ses bienfaits !


=>

Pour DSK, des féministes réclament l'indulgence !


Les méandres de l'esprit féministe



Toute vertu serait féminine et les critiques adressées à DSK porteraient atteinte au féminisme. Délirant.

Refusons le féminisme victimaire

Dominique Strauss-Kahn n'est sans doute pas un modèle de tempérance virile, mais la mise à mort à laquelle nous assistons n'est pas le meilleur hommage que la police des moeurs rende aux femmes, encore moins à la victime. Le viol est un crime, et toutes celles qui en ont été victimes doivent être protégées et défendues, sans exception [sic], par toute la société. Mais, inversement, vouer un homme à la damnation [laïque?] avant d'avoir prouvé son délit rend doublement victime la femme outragée [la victime est déclarée coupable par ses consoeurs mais la loi protège son violeur de la présomption d'innocent]. L'acharnement des médias [accusés, au détriment de la femme, de manquement à l'auto-censure démocratique en usage en pareille circonstance, obsédés par le féminisme antisexiste [l'obsession s'est déplacée d'un DSK ultra-libéré sur la presse libre par intermittence], condamne les protagonistes du drame à une exhibition qui les place l'un comme l'autre sous une lumière obscène. [Une lapidation, en somme]

A trop vouloir défendre notre sexe, on [anonyme] dégrade notre esprit. Les monstres de vertu développent parfois des âmes de tortionnaires ["On" est prêt à lâcherle monstre du nazisme sous-jacent sur le martyr en résidence surveillée de grand luxe]. L'inculpation de M. Strauss-Kahn lui promet plus de soixante-dix ans de cachot. Presque autant que pour un génocide ! [Le sort de la femme de chambre est-il isolé, exceptionnel et avatar d'une simple pulsion virile?] L'ogre Barbe-Bleue est coupable d'avoir "génocidé" sexuellement des milliers de femmes.["Monstre des Balkans", sors de ce corps!] Jadis, devant les charmes d'une femme, même le droit de cuissage était innocenté. C'était horrible. Et d'autant plus injuste que le blâme en retombait sur la femme, qui, accusée de provocation, expiait en pleurant sa faute au couvent. [Nostalgie du 20e siècle, avant la libération de la femme soumise au mâle, au père, au mari; mais encore, par chance, au grand frère...] Aujourd'hui, c'est l'inverse. Le diable, caché sous la beauté insolente des femmes, a changé de sexe, il n'est plus femelle, il est mâle, synonyme de satyre poilu, bouc difforme, bourreau des sexes.[Il semblerait que ce bouc puant soit apparu au 21e]

Le couvent des hommes, c'est la prison pour délinquants, aux portes de laquelle les femmes offensées font claquer leur fouet de dompteuses sur l'échine de la bête ligotée. C'est inhumain. Allons-nous, chaque fois qu'un homme cède au péché, nous transformer en Erinyes (déesses grecques de la vengeance) sans pitié ? Quelles que soient les turpitudes de son sexe impétueux, cet homme, même s'il était coupable, n'a-t-il pas droit à la défense de sa dignité ? Nous est-il interdit de tressaillir [du Racine !] à la vue de cette curée ? Même le Jugement dernier sera plus miséricordieux dans sa sentence. [Et hop, aux orties, la présomption d'innocence: nous avons versé dans la tragédie antique, avec DSK en anti-héros de l'écrivaine, défenseuse du saligot socialiste vertueux]

La sexualité féminine est désormais l'objet d'un marchandage qui va bien au-delà de la prostitution. [ La travailleuse noire serait-elle accusée de mercantilisme libéral ? ]Le corps de la femme est de nouveau une forteresse intouchable, qui monnaie sa vertu en espèces sonnantes et trébuchantes. [Ainsi, pour cette féministe orientale, toute femme serait vénale !] N'y a-t-il pas dans tout cela un peu des excès des prudes gendarmées des siècles puritains ? [L'islam radical serait à l'abri de ce puritanisme, surtout si, en effet, référence est faite au 'Grand Satan' américain...]

Je ne la crois pas morale, ni noble, la pitié qu'on réserve aux seules créatures de son sexe. [Et voilà que DSK inspire la pitié - il se serait passé de ce type de compassion - de féministes magnanimes: c'est nouveaux: ça vient de sortir dans Le Monde !] La race féminine, si elle ne sait plus compatir aux misères de la race masculine [supériorité de l'être féminin sur la bête humaine accablée par ses attributs virils], me fait penser à l'insensibilité des Blancs à l'égard des Noirs, parce que leur peau n'est pas de même couleur. [Alors, celle-là, elle était aussi inattendue qu'incontournable] Une femme qui ne sait pas se mettre aussi dans la peau d'un homme a perdu le sens de sa propre humanité. [Tout ce verbiage pompeux pour, au final, nous déclarer que nous sommes tous égaux, ma soeur ?] La révolution féminine fut un modèle d'humanisme et d'intelligence. Elle a enterré la hache de guerre contre les DSK de tous pays, mais continue la lutte intérieure au milieu féministe...] Au contraire de toutes les révolutions qui ne se soucièrent jamais des sévices infligés aux vaincus, les femmes surent s'émanciper du joug masculin sans violence, sans cruauté. [Avec la participation active des hommes, burnés certes, mais néanmoins intelligents] Elles brisèrent leurs chaînes, mais elles sauvèrent l'humanité des liens. [Dans son lyrisme illuminé, la dramaturge n'aurait-elle pas, un instant, occulté l'Iran ?] Leur libération n'a pas été une destruction de l'autre. Qui l'autre ? L'homme, le sexe fort. Elles l'ont maintenu dans ses droits, dans son intégrité, sa dignité. [Isabelle

Et, à travers lui, le genre humain tout entier. Le propre de la femme est le souci de l'altérité. Son génie lui a permis d'inscrire le féminisme dans l'horizon du genre humain tout entier, et pas dans la défense exclusive de son sexe.

Il est naturel que l'émotion des femmes bénéficie d'abord à la victime. Mais une femme est plus qu'une femme qui pleure sur elle-même, elle est un homme qui pense pour les autres. Si elle accepte sans révolte le supplice d'un réprouvé, elle perd ce qu'elle avait de meilleur contre l'injustice, sa force d'empathie. Elle s'était élevée par l'esprit, la voici rabaissée par l'instinct. Elle s'enferme dans sa condition sexuée, dans sa nature femelle, sur la scène où l'homme est un animal de foire.

J'ai honte que les femmes se servent de leur solidarité de victime pour être des bourreaux sans merci. J'ai honte que, à peine sorties de l'ombre du servage, elles soumettent l'homme à la lumière sordide d'une nouvelle Inquisition. J'ai honte que, en protégeant une femme, elle ne protège pas aussi l'homme de l'abjection publique du déshonneur. J'ai honte que, pour arracher une victime à l'humiliation, elles s'accordent le droit d'humilier sans remords.

J'ai honte que, en bénissant leur sexe, elles aient le goût de maudire l'autre. Le sexe masculin appartient à la condition humaine, et, quel que soit son crime, rien n'autorise la condition féminine à l'en exclure. J'ai honte pour les femmes quand un inculpé est pendu sans jugement au gibet d'une arène planétaire, fût-ce pour le droit des femmes. Aujourd'hui un homme, un pécheur, brûle sur un bûcher, et les femmes se taisent. Un homme est dans la fosse aux lapidations, et les pourfendeuses de la lapidation se taisent. Un homme expie le supplice de son sexe impénitent, et les femmes se taisent. Ce silence vengera-t-il les blessures de la victime ? Je ne sais pas, mais il rendra un son vil dans la trompette de notre victoire. La vertu de la femme ne se bâtit pas sur la déchéance de l'homme. C'est mal défendre la cause des femmes que de céder aux foules punitives.

Aux hommes maintenant, et non plus aux femmes, la culpabilité du désir, le crime d'Eros, les tourments de la chair, qui les condamnent à croupir sur la paille d'une geôle. Quelle que soit la légalité de ce procès, je ne puis m'empêcher d'en trouver l'exécution effroyable. Beaucoup d'hommes, dans l'histoire, ont pris la défense des femmes. Je n'aurai plus honte d'être une femme si les femmes acceptent, au nom de leur propre cause, au nom du souci réciproque des sexes, au nom d'une seule et même condition humaine, de défendre, à leur tour, un homme. [A tous les autres DSK à venir nous souhaitons la même compréhension supérieure de Hélé Béji.

C'est dans ...Le Monde du 26.05.11 (Mis à jour le 27.05.11 !)

VOIR et ENTENDRE maintenant les manifestantes féministes, le 22 mai dernier à Paris, qui manquent cruellement de pitié pour l'homme (Clémentine Autain, Isabelle Alonso ou Caroline de Haas):

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L'auteur de cet article, Hélé Béji (1948), est une nièce de Habib Bourguiba. C'est aussi la sœur du producteur de cinéma et homme d'affaires Tarak Ben Ammar et la tante de Yasmine Torjeman-Besson, épouse de l'ancien ministre français de l'Immigration, de l'Intégration et de l'Identité nationale Éric Besson.
Fondatrice du Collège international de Tunis, Hélé Béji est enfin l'auteure d'"Islam Pride : derrière le voile".

jeudi 26 mai 2011

Quand DSK s'offusquait de l'appartement de la famille d'Hervé Gaymard


L'odieux socialiste français dans toute son impertinence



Chez DSK:

à l'Elysée,
il se serait senti
à l'étroit


Dominique Strauss-Kahn faisait en 2005 un show édifiant Sur France 2

Sur le plateau de « 100 minutes pour convaincre », Monsieur Anne Sinclair accablait alors Hervé Gaymard et remportait facilement l'adhésion des Français de base. L'individu s'interrogeait, avec dans la voix les accents de l'indignation sincère: «Comment se fait-il que vous ne vous soyez pas rendu compte que le fait de louer un appartement qui valait dix fois le SMIC par mois était quelque chose qui était inacceptable ? », tonnait Strauss-Kahn.

Hervé Gaymard devait rendre des comptes sur son duplex de fonction de 600 m² qui défrayait alors la chronique. Le ministre de l'Économie du gouvernement Raffarin expliqua alors qu'il ne s'attachait pas aux contingences matérielles: « Dès que j'ai su le prix de cet appartement, je me suis dit que je n'allais pas y rester.» Gaymard avait un genou à terre, quand, le
regard froid et le sourcil froncé, Strauss-Kahn lui envoya l'estocade. « Je ne comprends pas que vous ne vous soyez pas aperçu que payer un loyer de 14.000 euros par mois, pour un logement de fonction, ne vous ait pas choqué du tout. Il y a un problème d'éthique personnelle.»

Victoire à la Pyrrhus

La roue tourne et DSK est au pilori
Jeudi,étaient diffusées en ­boucle les images de l'appartement de 600 m ² loué à New York, pour 35.000 euros (50.000 dollars) de loyer mensuel, par l'ancien directeur général du FMI. Certes, reprochait-on à Hervé Gaymard le loyer d'un appartement financé sur fonds publics pour sa famille nombreuse, mais que les DSK-Sinclair s'offrent la même surface - inutile - pour deux, ne peut susciter l'approbation des petites gens. Il échappe en outre à l'entendement de l'homme de la rue qu'Anne Sinclair bafouée récompense le comportement dissolu de son mari en mettant son immense fortune à sa disposition.

On n'atteint même des sommets dans l'éthique socialiste quand on songe que ce cas pathologique était connu de tous au PS, que la gauche l'envisageait parfaitement bien comme candidat unique pour prendre la République à la hussarde comme une femme de chambre: il n'y aurait "pas eu mort d'homme" !

VOIR et ENTENDRE l'odieux personnage dans son numéro télévisuel d'éthique socialiste:

Devoir de mémoire
35.000 euros par mois font toujours rêver les Sicards...mais les mots peuvent revenir comme des boomerangs.

François Hollande n'a-t-il pas exploité le filon DSK à sa suite?
Lien PaSiDupes:"Je n'aime pas les riches, j'en conviens ! ."
Et pourtant: lien PaSiDupes
Quel sera le prochain boomerang de François Hollande ?





Big Brother / Obama épie DSK




Proposition
Faut-il construire des prisons sur le modèle de la résidence surveillée du présidentiable socialiste ?
Lien vers la visite de la cellule dorée de DSK: en 3D...
VOIR et ENTENDRE la prison dorée en video

Une video à l'attention de " Sauvons les riches"

et de Jeudi noir: lien PaSiDupes


ou de DAL qui pourrait squatter les lieux pour les sympathisants de la gauche démagogue défavorisée... Lien PaSiDupes
Mais n'oublions pas qu'en revanche le frère de Jean-Noël Guérini, président PS du CG 13, Alexandre Guérini, homme d'affaires des poubelles des Bouches-du-Rhône et du Var n'utilise pas son appartement HLM, puisqu'il est en prison...
Lien PaSiDupes




Qui sont ces 10% de fraudeurs aux allocations familiales ?

La République politiquement correcte interdit de dévoiler l'identité des fraudeurs

La presse est généreuse avec l'argent de l'administration, mais fait peu cas de l'apport du contribuable

Son indulgence ne laisse de surprendre en temps de crise et d'efforts de résorption de la dette publique:
à l'heure de l'interdiction des statistiques éthniques, on peut même penser qu'elle entretient une embarrassante suspicion.
En effet, le coût réel des 10% de fraudes détectées en 2010 pèse moins sur la CAF que sur les nantis - d'un emploi - et davantage sur les allocataires exclus des prestations familiales, au profit des fraudeurs, en grande détresse sociale supposée, et dont la gauche démagogue fait son fonds de commerce. Le fisc sait où trouver les uns, mais la République généreuse peine à retrouver les autres et tient ces exploiteurs de la solidarité sociale dans un intolérable anonymat discriminatoire, paré des vertus probables du droit à la dignité, voire d'un humanisme dévoyé à toutes les sauces, si toutefois il ne s'agit pas de culpabilité post-coloniale.

Les 100 millions d'euros détournés de l'administration, c'est de la misère en plus pour la collectivité.

Tandis qu'en publiant un rapport de la Caisse nationale d'allocations familiales Le Parisien/Aujourd'hui en France estime que la fraude "reste toutefois faible", l'opposition responsable, que le dicton social (favori des anarcho-syndicalistes révolutionnaires) "qui sème la misère récolte la colère" arrange, assure les fraudeurs de sa compassion politicienne.

Les fraudes aux allocations familiales continuent de progresser
En 2010, 13.114 cas de fraudes ont été recensés contre 11.733 l'année précédente, soit une progression de 10%, selon Le Parisien/Aujourd'hui en France sur la foi d'un rapport de la Caisse nationale d'allocations familiales (CNAF). La progression atteint 5,3% en termes de masse financière, selon ce document qui a été présenté mardi aux administrateurs de la CNAF. Mais si le nombre de fraudes continue à croître, il progresse à un rythme moindre : en 2007, la hausse avait atteint 73%. Le taux actuel n'est pas communiqué...

En 2009, 96,16% des sommes auraient été versées à bon droit, mais environ 200.000 allocataires seraient auteurs d'une fraude, selon le rapport cité par le quotidien.


Et parmi les aides versées, le Revenu minimum d'insertion (remplacé depuis 2009 par le Revenu de solidarité active), l'allocation de parent isolé et l'allocation de soutien de famille sont les prestations qui font l'objet du plus grand nombre de fraudes. Au total, 563 amendes pénales et 362 peines de prison ont été prononcées pour ces fraudes. Impressionnant, non ?

La lutte contre les fraudes s'intensifie

Toutefois, les pertes réelles issues de ces fraudes sont minimes dans la mesure où près de 90% des sommes seraient ensuite récupérées.
Si on ne veut pas tenir compte des frais de personnel nécessaires aux contrôle et au recouvrement. Le quotidien souligne ainsi que moins de 100 millions d'euros sont effectivement perdus par les administrations. Et les administrations, c'est qui ?
Il faut toutefois y ajouter le coût de la lutte contre la fraude puisque plus d'un millier d'agents sont mobilisés pour remplir cette tâche soit un coût de gestion de la fraude de l'ordre de 32,3 millions.

Et la hausse du nombre de fraudes repérées s'explique notamment par une intensification de cette lutte. En 2010, 41,7% des informations fournis par les allocataires ont été contrôlées contre seulement 35% en 2007. Le président de la CNAF, Jean-Louis Deroussen, note en outre que « globalement les contrôles sont très efficaces ». Mais insuffisants et peu dissuasifs.

Autre élément : près d'un tiers des contrôles fait suite à des dénonciations.
Parmi les contribuables solidaires, la colère monte.



Le PS soutient encore DSK, mais sacrifie les Français à ses intérêts politiciens


Le PS soutient DSK, le regard tourné vers 2012


Mais qu'est-ce qui lui prend?
L'effet DSK ?




Martine Aubry a fixé la ligne: défense de leur camarade, mais surtout poursuite du travail en vue de la campagne présidentielle.

Derrière la "stupéfaction", il faut bien préparer l'après-DSK.
Quelques heures après l'arrestation de Dominique Strauss-Kahn, Martine Aubry avait fait passer un message clair à ses camarades socialistes: "Restez unis et responsables." Pour une fois, le discours a été suivi à la lettre. Pas une voix discordante depuis le "coup de tonnerre". Des mots, qui reviennent en boucle: "stupéfaction", "terrible nouvelle", "décence",... Les frondeurs habituels du PS ont coupé leur portable ou font savoir qu'ils ne commentent pas la situation.

A Solférino, les quelques élus croisés sont sonnés. Christophe Borgel, secrétaire national aux élections et proche de DSK, fixe la cour depuis le 1er étage, le regard dans le vide. Il peut y voir des dizaines de journalistes se presser sur le perron pour tenter de rentrer dans le siège du parti.

Mais, il n'y a plus de place dans la salle de presse. A l'intérieur, une cinquantaine de personnes est assise à même le sol. Benoît Hamon entre dans la pièce, le visage sombre, les traits tirés. Il se place derrière le pupitre et lit, non sans mal, une courte déclaration: "Comme tout le monde, j'ai été moi-même frappé, abasourdi par cette information, comme tous les socialistes, comme tous les citoyens qui ont appris cette nouvelle dimanche à l'aube. Nous disposons à cette heure-ci d'informations très parcellaires, incomplètes et de versions contradictoires."

Le porte-parole reprend ensuite les principes énoncés par Martine Aubry dimanche matin: respect de la présomption d'innocence, prudence sur les conclusions à tirer et poursuite du travail mené en vue de la présidentielle.

Aubry tient le cap
[l'affaire DSK et le sort des femmes ne retiennent pas son attention]

Ce troisième point est capital pour la direction socialiste, qui soutient DSK, certes, mais qui insiste surtout sur la poursuite du travail en vue de la présidentielle. "Le PS n'est ni décapité, ni affaibli", affirme Harlem Désir, numéro 2 du PS.

A son arrivée à Solférino, en début d'après-midi, Martine Aubry dit la même chose: "Nous voulons savoir la vérité et en même temps être là pour les Français. C'est ce que j'ai fait depuis trois ans et c'est ce que je vais continuer à faire avec tous les socialistes."

La première secrétaire veut montrer qu'elle tient le choc, et que même dans l'orage, elle maintient le cap. C'est pour cela qu'elle a fait avancer le bureau national du PS à midi ce mardi 17. Elle pourra ainsi le présider - alors qu'elle ne devait même pas en être - avant de s'envoler pour Bordeaux, puis Toulouse, afin d'y présenter le projet socialiste.

Une attitude qui réjouit ses soutiens: "Elle fait le job. Dans ces moments-là, le PS a besoin d'une patronne et il l'a depuis deux ans", confie Olivier Dussopt, député de l'Ardèche, qui se refuse toutefois à aborder les conséquences politiques de cette affaire. "Il faut rester calme, ne pas surinterpréter"[, clame-t-il de sa voix flûtée].

Le collectif Solférino 2012, qui regroupe les soutiens de Martine Aubry, envisage pourtant de se réunir ce mercredi, comme toutes les semaines. Car, une fois la stupeur passée, il faudra bien replonger dans la primaire. Ce mardi midi, Jean-Christophe Cambadélis sous-entendait que l'hypothèse DSK n'était pas éteinte: "Dominique Strauss-Kahn va parler et ses amis seront à ses côtés, avec ses proches. Nous serons à ses côtés, nous le défendrons, nous ne pouvons pas croire à sa culpabilité et il sera bientôt au milieu de nous. Sous une forme ou sous une autre, avec DSK, nous l'espérons, le traumatisme sera surmonté. Nous le devons à la France et à la gauche."

"L'énorme branlée que vient de prendre le PS"

Cette option n'est pourtant plus envisageable. Alors que faire ?
Maintenir la primaire et prendre le risque de ressusciter les candidatures de certains strauss-kahniens (Moscovici, Collomb, Valls)?

La solution, portée par de rares voix au PS, serait de substituer à toutes ces ambitions une figure tutélaire. Aubry la patronne ? Elle a affirmé que la primaire serait maintenue aux mêmes dates. Fabius, le vieux sage? Il a toujours dit que les mieux placés étaient DSK et Aubry, difficile de revenir sur ses propos. Et puis, il traîne l'affaire du sang contaminé. Il a été blanchi en 1999, mais son nom reste associé à ce drame sanitaire.

A l'UMP, on a déjà fait son choix. "Martine Aubry va y aller et c'est elle qui gagnera les primaires, assure-t-on au sommet du parti. Fabius ? Ils ne prendront jamais ce risque."

Pour le reste, c'est silence radio au parti présidentiel. Jean-François Copé se contente d'affirmer que "c'est au PS de déterminer les conséquences politiques que doit avoir cette affaire". Hors micro, d'autres savourent sans fausse pudeur "l'énorme branlée que vient de prendre le PS".

lundi 23 mai 2011

Primaires: la faute du PS, apparatchiks et sondeurs


Les militants socialistes sont à la rue !

Agoravox a commis cet article que PaSiDupes vous livre...

Le Parti Socialiste Français n'en finit pas de mourir de ses contradictions et de ses erreurs.
L'enquête US montrera peut être que le possible penchant "pervers" de DSK pour la "coercition sexuelle"
[ça doit faire très mal, ça !] était connu de ceux qui fréquentaient l'ancien ministre. [mais seulement des damoiselles, craignons-nous d'espérer, au rythme où les révélations fuitent...] S'ils sont avérés, comment en effet croire un instant que connaissant ces comportements déviants, les socialistes n'aient pas pensé à faire le ménage en éliminant un candidat si dangereux pour leur image ? [On dirait que c'est tout droit sorti de PaSiDupes]

Certes, en France une femme de ménage n'aurait eu aucune chance de voir sa plainte aboutir contre DSK
[un socialiste dont les syndicats de la magistrature recommande la protection rapprochée] , mais DSK était aux Etats-Unis....pays où ses penchants potentiels [sic !] sont durement [merci au Viagra] punis surtout quand les enjeux politiques sont importants.[Selon Agoravox, la femme de ménage de couleur n'est pas punie: elle est honorée et reconnaissante !]
Lien PaSiDupes

Cette erreur socialiste est dramatique pour la campagne de 2012
[s'ils le disent, n'est-ce pas...], car elle éclaire deux problémes du PS : l'absence de stratégie de conquête et la rupture avec les classes laborieuses.

La rupture avec la classe laborieuse

[Un paradoxe, du point de vue de l'employée de service]
Comme dans l'affaire Polanski où tout les ténors PS ont volé au secours du cinéaste, les cadres du PS sont tellement coupés des réalités que, pour eux, ils ne trouvaient apparemment rien de repréhensible à ce que DSK était supposé faire. Si c'est vrai, cela montre un tel décalage avec l'opinion "ciblée", doublé d'un sentiment d'impunité ahurissant, qu'il est urgent qu'il y ait un très gros ménage à Solferino.

Cette explication n'a rien de très improbable dans le sens où les media traditionnels plutôt à gauche - télé ou grand journaux - ont plus présenté DSK comme une victime présumée que comme un coupable présumé oubliant totalement la gravité de l'accusation et de l'acte. Cette banalisation du viol, déja à l'oeuvre avec l'affaire Polanski, se double d'une justification de faite d'une justice "de classe" qui permet aux uns de faire ce qu'ils veulent et aux autres de payer pour des délits - eux- mineurs.

[On ne peut pourtant lui reprocher de ménager sa peine: il paie de sa personne au-delà des 35 heures autorisées...]

Cela renforce aussi dans l'opinion l'idée que le PS ne s'intéresse pas aux victimes alors que le théme de l'insécurité est un théme majeur de la campagne. Manuel Valls, Mr "Propre" du PS et sécurité, aura du mal à sortir les muscles
[pas plus que son "corps caverneux", au demeurant], après ses déclarations larmoyantes "pour DSK" sans un seul mot pour la présumé victime.

L'absence de stratégie de conquête du pouvoir




Avec les militants,
ils en seraient plutôt
au coït interrompu


Pour conquérir le pouvoir, on forge un homme [ou 'fabrique', plus simplement, et on nique, plus prosaïquement] - et une légende autour - en adéquation avec ses valeurs. " On caste" celui qui pourra mieux les incarner, quitte à repeindre une partie de sa vie, à lui conseiller fortement de se séparer de certains vices ou encore en éloignant certains témoins gênants qui ne rentrent pas dans le cadre.

Depuis 81, la politique s'est professionalisée et l'image de l'homme devient la carte de visite de ses idées qu'on le veuille ou non ; l'ère de la communication, l'ère de l'instantané, l'ère de l'internet va de plus en plus con-fondre l'homme et son projet, ce qui n'a au final rien de bien choquant : les temps sont ainsi.

Dans ce contexte là, comment les socialistes pouvaient-t-ils penser qu'un directeur général du FMI, "tireur fou"
["braguette folle", selon les termes d'Emmanuel Todd] et "bling bling" [ou plutôt "gauche caviar"] pouvait incarner des valeurs de gauche, d'une manière durable et surtout sans se prendre un tir nourri [malheureuse expression, non ?] d'une droite qui avait une cible si facile ?... [ce qui ne se vérifie pas objectivement, car la majorité n'est vraiment pas rancunière: elle travaille, reste dans la décence et ne tire pas à jet continu sur les ambulances]

Le PS français n'a décidemment pas fini de sombrer dans sa propre bêtise ....l'affaire DSK nous le démontre une fois de plus.

dimanche 22 mai 2011

DSK et Madoff: mais qu'ont-ils donc en commun ?




Madoff, Sarkozy et DSK, cherchez l'intrus

L'opposition tombera d'accord pour désigner intrus de ces dernières années Nicolas Sarkozy, rassembleur de la gauche, mais pour les mauvaises raisons que l'on sait.
En attendant, c'est le socialiste Dominique Strauss-Kahn, ci-devant directeur général du FMI, qui est sous les verrous.

Retour de manivelle

Tartine Aubry, on s'en souvient, s'était livrée à une comparaison hasardeuse.
Elle avait trouvé un point commun à N. Sarkozy et Bernard Madoff, l' "escroc du siècle" !
(
lien PaSiDupes)

Comme Natifassou Diallo, la femme de ménage du Sofitel de Manhattan, si elle avait su, l'amère de Lille aurait tourné la langue dans sa bouche et se serait épargné cette allusion perverse qui lui retombe aujourd'hui sur le nez.
La presse et les humoristes feront-ils amende honorable ? A-t-on déjà trouvé l'équivalent à ce dessin de Goubelle concernant DSK, le rupin pervers ?

La comparaison aurait été mieux appropriée à DSK

On a en effet appris qu'il partagent le privilège d'une astreint par le tribunal du port d'un ...bracelet électronique !

Point commun entre Aubry et DSK ?

Le mensonge
Les deux complices avaient pris les militants du PS pour des demeurés en leur dissimulant le pacte qu'ils avaient passés à Marrakech, selon lequel aucun des deux comploteurs n'aurait agi contre l'autre.
Mais il fut découvert mais les militants n'ont toujours pas tiré les conséquences de leur entente secrète qui faisait des concurrents et des adhérents les dindons de la farce et des primaires une supercherie à la socialiste.
Point commun entre Aubry et Sa Cynique Majesté Royal ?

Le mensonge, encore
En octobre 2010, la présidente du Marais poitevin n'avait-elle pas poussé les jeunes à descendre dans la rue contre les retraites, pour nier la vérité ensuite ?
Lien PaSiDupes: l'appel à la révolte
Manuel Valls (PS) avait condamné ce comportement: lien PaSiDupes

Ainsi la boucle est-elle bouclée
Tous des escrocs politiques, de Madoff à Aubry, en passant par Marie-sEGOlène Royal.
L'intrus parmi les 'escrocs' est donc bien Sarkozy.

samedi 21 mai 2011

Parachute doré pour DSK, patron socialiste du FMI


La 'golden boy' social a aussi une 'niche fiscale', Anne Sinclair

Jeudi, Dominique Strauss-Kahn a démissionné de son poste de Directeur général du FMI.

" J'entends protéger cette institution que j'ai eu l'honneur de servir avec dévouement et j'entends particulièrement - tout particulièrement - consacrer toutes mes forces, mon temps et mon énergie à prouver mon innocence", écrivait Dominique Strauss-Kahn dans sa lettre de démission.

En démissionnant du FMI, Dominique Strauss-Kahn va toucher entre 318.000 et 349.000 dollars. Ce parachute doré est explicitement prévu par les termes de son contrat, conclu en septembre 2007, à l'origine, avant agression sexuelle et dont les détails sont disponibles ici, comme le rappelle ABC.
Cette "Separation Allowance", valable en cas de démission, comme de licenciement, correspond à environ 60-65% de son salaire annuel et ne semble soumise à aucune condition.






Pas même une obligation fiscale
?




Le contrat prévoit aussi une retraite qui pourrait se monter à 318.000 dollars par an, à vie.
Une rente: le socialiste s'enrichit en dormant, en prison.
Le contrat ne prévoit rien en cas de condamnation

"Les termes de l'accord ne semblent pas prévoir le retrait de ces dispositions pour quelque raison que ce soit - y compris le fait d'être accusé ou reconnu coupable d'agression sexuelle", écrit ABC News.
Stabilité de l'emploi (cinq ans) et impunité garantie: que demande le peuple ?


Le parachute doré, c'est aussi pour la gauche