Le candidat parasite de la gauche
Le journal socialiste du soir rappelle à Jean-Pierre Chevènement qu'il est au soir de sa vie.
A 72 ans, l'ancien ministre laissait entendre qu'il pourrait se lancer dans la course à la présidentielle en 2012. Il a confirmé son intention sur Europe 1, mercredi 4 mai.
"Faire bouger les lignes"
Le sénateur de Belfort assure que sa candidature ne vise pas à gêner le PS.
"Les socialistes auraient tort d'avoir peur, je veux leur bien, je souhaite qu'ils se mettent à la hauteur de la situation".
Selon lui, encore faudrait-il que le PS accepte une redéfinition du rôle de l'Europe et une lutte contre le "plan d'austérité perpétuel" qui s'offre comme perspective, selon lui, à la France et l'Allemagne.
J.-P. Chevènement critique également Dominique Strauss-Kahn
Il a la conviction qu'il sera candidat et lui reproche principalement son "irréalisme" sur l'UE.
VOIR et ENTENDRE l'entretien de J.-P. Chevènement avec J.-P. Elkabach ce matin sur Europe1:
"Faire bouger les lignes"
Le sénateur de Belfort assure que sa candidature ne vise pas à gêner le PS.
"Les socialistes auraient tort d'avoir peur, je veux leur bien, je souhaite qu'ils se mettent à la hauteur de la situation".
Selon lui, encore faudrait-il que le PS accepte une redéfinition du rôle de l'Europe et une lutte contre le "plan d'austérité perpétuel" qui s'offre comme perspective, selon lui, à la France et l'Allemagne.
J.-P. Chevènement critique également Dominique Strauss-Kahn
Il a la conviction qu'il sera candidat et lui reproche principalement son "irréalisme" sur l'UE.
VOIR et ENTENDRE l'entretien de J.-P. Chevènement avec J.-P. Elkabach ce matin sur Europe1:
Chevènement, stigmatisé par le PS
Le sénateur de Belfort était déjà candidat lors de la précédente présidentielle, en novembre 2006.
Un mois après, en décembre, il la retirait après un accord politique avec le PS. Il avait ensuite fait campagne aux côtés de Ségolène Royal.
Il faut parfois savoir se boucher le nez.
Accusé d'avoir concouru par sa candidature à la défaite de Lionel Jospin en 2002, Le bouc émissaire Chevènement assure que cette fois ce ne sera pas le cas. "Le 21 avril n'existe que parce qu'il y avait à l'époque un Front national qu'on n'avait pas vu venir" , estime-t-il, renvoyant dos à dos PS et UMP, qui " devraient s'interroger d'abord sur leur responsabilité " dans la montée du FN.
Il faut parfois savoir se boucher le nez.
Accusé d'avoir concouru par sa candidature à la défaite de Lionel Jospin en 2002, Le bouc émissaire Chevènement assure que cette fois ce ne sera pas le cas. "Le 21 avril n'existe que parce qu'il y avait à l'époque un Front national qu'on n'avait pas vu venir" , estime-t-il, renvoyant dos à dos PS et UMP, qui " devraient s'interroger d'abord sur leur responsabilité " dans la montée du FN.
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