Martine Brochen-Aubry serait accro au Dr. Bunga-Bunga
Dans le quarteron de tête, Dominique Strauss-Kahn, alias D$K, reste le candidat préféré des sympathisants de gauche , avec 38% des intentions de vote à la primaires du PS, tout directeur général du FMI qu'il soit.
Il devance Martine Aubry (22%), François Hollande, aka. Pays-Bas (très bas) arrive en troisième position avec 18%, et Désirdavenir Royal, quatrième (12%), avec le tiers des voix, elle est dans tous ses états !
Malmenée dans les sondages, Martine Aubry est allée à la mi-avril se ressourcer quelques jours dans un grand hôtel de Marrakech en compagnie de ses parents.
Strauss-Kahn s’est bien entretenu avec la patronne du PS durant son passage de février à Paris, mais seulement par téléphone et non de visu.
Martine Aubry l'a confirmé mais s'est empressée de la banaliser. "Dominique, je le vois à chaque fois qu’il vient à Paris, donc je l’ai vu comme je l’ai vu il y a peu de temps et comme je le reverrai dans peu de temps. Je l’ai au téléphone tous les trois, quatre jours, nous discutons", a-t-elle expliqué.
Alors, une rencontre discrète avec DSK, qui possède un ryad dans la Medina, était-elle prévue au Maroc, lors de la visite de "bien-être" ? Une piscine privée a en effet tout a priori pour la séduire, à Marrakech comme à Lille...
VOIR et ENTENDRE la Ch'tite Aubry qui s'est confiée à Laurent Gerra:
D$K a-t-il tenté de submerger Pays-Bas ?
Dominique Strauss-Kahn pose les jalons d’un retour en France
En février, entre la fin du G 20 et le passage au 20 Heures de France 2, DSK s’est ménagé un entretien avec François Hollande, le dimanche à midi dans le quartier de Montparnasse.
« C’est Strauss qui a appelé François pour lui proposer de le voir », indique Stéphane Le Foll, le directeur de campagne de Hollande. Le patron du FMI voulait jauger la détermination du député de Corrèze qui, parti de très loin, est maintenant pointé dans les sondages parmi les outsiders sérieux pour 2012. Si, avec Aubry, le « pacte de Marrakech » semble tenir, rien ne bride en revanche l’ambition de François Hollande qui a confirmé à son interlocuteur son intention de jouer sa carte personnelle jusqu’au bout, c’est-à-dire jusqu’au vote des sympathisants de gauche qui seront appelés, en octobre lors des primaires, à désigner le candidat du PS à la présidentielle. « Nous n’étions pas favorables à ces primaires, mais maintenant pas question de faire machine arrière sous le prétexte ridicule que cela ferait le jeu des divisions », assure Le Foll.
La température monte en strauss-kahnie
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