La candidate de la gauche à la présidentielle de 2007 était déjà nulle en 1981... rapporte à Pierre-Louis Basse cette députée apparentée socialiste (1981-1984) -et féministe - en novembre 2008 sur Europe 1.
En 1981, François Mitterrand avait désigné Marie-sEGOlène Royal interlocutrice pour un grand meeting intitulé « Quel président pour les femmes ?».
Mais cela n'a visiblement pas été appréciée par Gisèle Halimi qui se lâche : « Ségolène Royal, très vite, je n'en ai plus voulue. Elle était nulle.»
VOIR et ENTENDRE le témoignage qui souligne aussi qu' "il ne faut pas qu'on croie que la cause des femmes c'est de promouvoir une femme parce qu'elle n'est pas biologiquement un homme"... :
Gisèle Halimi, née Taïeb, milita pour l'indépendance de son pays, la Tunisie, et aussi pour l'Algérie, et au côté de Simone de Beauvoir, en faveur de la dépénalisation de l'avortement. Gisèle Halimi est également une des fondatrices de l'association altermondialiste ATTAC en 1998.
Elle est membre du comité de parrainage du Tribunal Russell sur la Palestine dont les travaux ont commencé le 4 mars 2009 et l'activiste palestinien Marouane Barghouti lui a demandé d'être l'un de ses avocats.
Elle se déclara déçue par un Mitterrand qu'elle juge machiavélique.
Elle est membre du comité de parrainage du Tribunal Russell sur la Palestine dont les travaux ont commencé le 4 mars 2009 et l'activiste palestinien Marouane Barghouti lui a demandé d'être l'un de ses avocats.
Elle se déclara déçue par un Mitterrand qu'elle juge machiavélique.
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