Les militants EDF-GDF pompent notre énergie, mais vive le 1er mai !
Tragédie - EDF/GDF : les agents vont payer plus
C'est ce qu'on nous donnait à penser, en novembre 2010.
Le "tarif agent" dont bénéficient quelque 300.000 salariés et retraités pourrait être relevé. On parlait bien de "tarif spécial" mais c'était pourtant vécu comme une agression des patrons. Pour une fois qu'on oubliait Sarkozy !
Les groupes EDF et GDF Suez voulaient donc relever le "tarif préférentiel", c'est-è-dire "réduit", pour parler clair, de privilégiés, dont bénéficient ces centaines de milliers d'actifs, sans compter les retraités du secteur, a révélé le quotidien économique Les Echos, citant des "sources concordantes" !
La rhétorique est superbe. "EDF et GDF Suez se préparent à toucher à l'un des symboles du statut des employés du gaz et de l'électricité. Les deux entreprises veulent faire évoluer la structure du ‘tarif agent’", écrit le quotidien.
Un avantage sensible, symbolique et tout ce qu'on voudra, mais injuste
Lors de la précédente tentative de modification de ces tarifs spéciaux, lorsque les entreprises avaient tenté d'y 'toucher', au début des années 1980 et des septennats du socialiste Mitterrand. Ces tarifs spéciaux constituent "un des éléments du pacte social". Comme ces choses-là sont bien dites: plus elles sont énormes, plus elles sont imparables !
Pour mieux faire passer cette réforme, les deux groupes "vont laisser passer les élections professionnelles, qui débutent ... chez EDF, et engager le débat en 2011". EDF n'a pas souhaité commenter ces informations.
Le "tarif agent" dont bénéficient quelque 300.000 salariés et retraités pourrait être relevé.
Les groupes EDF et GDF Suez voulaient faire participer solidairement 300.000 privilégiés à l'effort collectif en prenant les 93% de grévistes (en 1983) pour des socialistes sociaux.
Des aristocrates, avant 1789; les fonctionnaires, après
Jeudi 7 avril 2011
A la prochaine grève, faudra-t-il leur offrir les derniers 5% de leur gaz et l'électricité ?
Tragédie - EDF/GDF : les agents vont payer plus
C'est ce qu'on nous donnait à penser, en novembre 2010.
Le "tarif agent" dont bénéficient quelque 300.000 salariés et retraités pourrait être relevé. On parlait bien de "tarif spécial" mais c'était pourtant vécu comme une agression des patrons. Pour une fois qu'on oubliait Sarkozy !
Les groupes EDF et GDF Suez voulaient donc relever le "tarif préférentiel", c'est-è-dire "réduit", pour parler clair, de privilégiés, dont bénéficient ces centaines de milliers d'actifs, sans compter les retraités du secteur, a révélé le quotidien économique Les Echos, citant des "sources concordantes" !
La rhétorique est superbe. "EDF et GDF Suez se préparent à toucher à l'un des symboles du statut des employés du gaz et de l'électricité. Les deux entreprises veulent faire évoluer la structure du ‘tarif agent’", écrit le quotidien.
Un avantage sensible, symbolique et tout ce qu'on voudra, mais injuste
Lors de la précédente tentative de modification de ces tarifs spéciaux, lorsque les entreprises avaient tenté d'y 'toucher', au début des années 1980 et des septennats du socialiste Mitterrand. Ces tarifs spéciaux constituent "un des éléments du pacte social". Comme ces choses-là sont bien dites: plus elles sont énormes, plus elles sont imparables !
Pour mieux faire passer cette réforme, les deux groupes "vont laisser passer les élections professionnelles, qui débutent ... chez EDF, et engager le débat en 2011". EDF n'a pas souhaité commenter ces informations.
Le "tarif agent" dont bénéficient quelque 300.000 salariés et retraités pourrait être relevé.
Les groupes EDF et GDF Suez voulaient faire participer solidairement 300.000 privilégiés à l'effort collectif en prenant les 93% de grévistes (en 1983) pour des socialistes sociaux.
Des aristocrates, avant 1789; les fonctionnaires, après
Jeudi 7 avril 2011
Les agents EDF-GDF étaient donc en grève pour défendre le tarif d'électricité extrêmement avantageux dont ils bénéficient : 0,5 centime d'euro le kw/h.
Ainsi, en pleine flambée des prix de l'énergie pour tous les Français - mais pour certains Français plus que pour d'autres (qui ne sont pas ni patrons ni riches - et alors que le gouvernement essaie de mettre en place des mesures pour contrer cette flambée des prix, les agents EDF-GDF ont décidé de se mettre en grève pour défendre un privilège de longue date : le kw/h à 0,5 centime d'euro, au lieu des 12 centimes payés par les autres Français.
Une économie de 100 euros par mois
Pas moins de 300 000 fonctionnaires et retraités d'EDF et GDF bénéficient de cet avantage, grâce à une exonération de taxes et d'abonnement, leur permettant de ne payer au final que 5 à 10% de la facture. Au micro de RMC, Laurent Langlard, agent GDF et militant CGT avoue qu'"en moyenne, ça me fait une économie de 100 euros par mois". Mais considéré comme un avantage salarial, ce tarif spécial agent est soumis à l'imposition.
"Une mauvaise image auprès du public"
Une réforme préparée par EDF pourrait avoir des conséquences sur ce tarif. EDF envisage en effet d'abandonner l'exonération de taxe ou d'aligner une partie du tarif sur celui des particuliers du Tiers Etat. Cependant, Laurent Langlard prévient : "Il est hors de question qu'il y ait une remise en cause de cet avantage. La dernière fois que l'on a tenté de toucher au tarif agent en 1983, il y a eu 96% de grévistes". L'agent GDF reconnaît pourtant qu'en cette période de hausse des prix généralisée, le mouvement des salariés EDF-GDF peut avoir une "mauvaise image auprès du public".
Les entreprises et les salariés ont partie liée
Proposer à ses salariés d’acheter à prix réduit les objets ou services qu’ils produisent, c’est positif pour les entreprises : renforcement de l’esprit maison, promotion de leurs produits et meilleure prise en compte des besoins du client par des employés eux-mêmes utilisateurs. Pour les salariés, les réductions de prix doivent être attractives, mais à EDF/GDF avec le "tarif agent", on est plus proche de la gratuité que de la baisse de prix. En 2011, ces deux entreprises essayent à nouveau de ramener cette pratique à un niveau raisonnable, mais les syndicats refusent toute évolution. Ce sont pourtant les autres Français qui financent ces avantages indus.
A Air France, les salariés peuvent voyager à des tarifs très avantageux, mais à condition d’utiliser les places libres au moment de l’embarquement. Cet avantage provoque un manque à gagner mais ne coûte pratiquement rien aux compagnies aériennes. Chez les constructeurs automobiles, la réduction de prix est d’environ 25%, correspondant en partie aux coûts économisés en frais de vente et de transport des voitures neuves et de reprise des occasions. À EDF et GDF le taux de réduction est record. Et non pas indécent, mais outrageant.
Les dépenses d’électricité et de gaz représentant environ 5% des dépenses des ménages, un ménage disposant de 4.000 euros de revenus par mois et dont un des membres est salarié d’EDF/GDF économise environ 200 euros par mois. Cela ne présente pourtant aucun avantage pour EDF et GDF, leurs salariés consommant plutôt plus (gaspillent ?) que les autres clients, y compris aux heures de pointe, et ne constituant en rien une publicité pour leur entreprise. Et pas davantage pour les syndicats qui soutiennent et encouragent.
A première vue, la vente à prix réduit aux salariés semble de la seule responsabilité de l’entreprise et ne léser personne. En réalité, le montant de ces "dons" échappe au paiement des charges sociales (assurance maladie, retraite, chômage, famille). Ils échappent aussi au financement de l’État, puisque ces sommes sont soustraites à l’impôt sur le revenu. D’un côté, ce système prive la solidarité nationale de financements, et de l’autre, cette minoration du revenu réel permet à une partie des bénéficiaires d’avoir accès à plus de prestations sociales telles que tarifs réduits de cantine, HLM, etc.
Le comité d’entreprise d’EDF/GDF financé à hauteur de 1% du chiffre d’affaires constitue un autre avantage en nature pour lequel les entreprises et les salariés ne paient ni charges sociales ni impôts.
Ce risque de détournement est bien connu, et les avantages en nature doivent être déclarés. Mais au lieu de déclarer les montants exacts de ces avantages qu’EDF/GDF peuvent parfaitement connaître, ces entreprises ne déclarent que des valeurs forfaitaires, très rarement réévaluées et très inférieures à la réalité.
Dans une situation de concurrence, les avantages accordés aux salariés par les entreprises sont financés grâce à la réussite de l’entreprise et la performance de ses salariés (si ce n’est pas le cas, l’entreprise court à la faillite). Mais parce qu’EDF/GDF ont été (et sont encore) en situation de monopole, les cadeaux qu’elles distribuent à leurs salariés le sont aux dépens de leurs véritables clients, les particuliers, et non pas grâce à la performance de l’entreprise.
Autre idée fausse: des avantages en compensation des faibles salaires d’EDF/GDF ?
C’est l’argument fallacieux utilisé en dernier recours par les syndicats d’EDF et GDF pourtant artisans des injustices sociales. Les salariés de ces entreprises sont mieux payés que la moyenne des autres Français. Et en incluant seulement les cotisations retraites payées par les employeurs EDF et GDF, on arrive à des coûts salariaux sans comparaison avec ceux de leurs collègues du privé.
Exemple : Salarié gagnant 2.500 euros bruts par mois.
Dans le privé, la cotisation retraite de l’employeur est de 15%, ce qui représente, pour ce salarié, un coût total de : 2.875 euros
A EDF/GDF : la cotisation retraite de l’employeur est de 70%, ce qui représente, pour ce salarié, un coût total de : 4.250 euros.
Les agents qui épargnent un millier d'euros/an tendaient le poing dans les rues
Une économie de 100 euros par mois
Pas moins de 300 000 fonctionnaires et retraités d'EDF et GDF bénéficient de cet avantage, grâce à une exonération de taxes et d'abonnement, leur permettant de ne payer au final que 5 à 10% de la facture. Au micro de RMC, Laurent Langlard, agent GDF et militant CGT avoue qu'"en moyenne, ça me fait une économie de 100 euros par mois". Mais considéré comme un avantage salarial, ce tarif spécial agent est soumis à l'imposition.
"Une mauvaise image auprès du public"
Une réforme préparée par EDF pourrait avoir des conséquences sur ce tarif. EDF envisage en effet d'abandonner l'exonération de taxe ou d'aligner une partie du tarif sur celui des particuliers du Tiers Etat. Cependant, Laurent Langlard prévient : "Il est hors de question qu'il y ait une remise en cause de cet avantage. La dernière fois que l'on a tenté de toucher au tarif agent en 1983, il y a eu 96% de grévistes". L'agent GDF reconnaît pourtant qu'en cette période de hausse des prix généralisée, le mouvement des salariés EDF-GDF peut avoir une "mauvaise image auprès du public".
Les entreprises et les salariés ont partie liée
Proposer à ses salariés d’acheter à prix réduit les objets ou services qu’ils produisent, c’est positif pour les entreprises : renforcement de l’esprit maison, promotion de leurs produits et meilleure prise en compte des besoins du client par des employés eux-mêmes utilisateurs. Pour les salariés, les réductions de prix doivent être attractives, mais à EDF/GDF avec le "tarif agent", on est plus proche de la gratuité que de la baisse de prix. En 2011, ces deux entreprises essayent à nouveau de ramener cette pratique à un niveau raisonnable, mais les syndicats refusent toute évolution. Ce sont pourtant les autres Français qui financent ces avantages indus.
A Air France, les salariés peuvent voyager à des tarifs très avantageux, mais à condition d’utiliser les places libres au moment de l’embarquement. Cet avantage provoque un manque à gagner mais ne coûte pratiquement rien aux compagnies aériennes. Chez les constructeurs automobiles, la réduction de prix est d’environ 25%, correspondant en partie aux coûts économisés en frais de vente et de transport des voitures neuves et de reprise des occasions. À EDF et GDF le taux de réduction est record. Et non pas indécent, mais outrageant.
Les dépenses d’électricité et de gaz représentant environ 5% des dépenses des ménages, un ménage disposant de 4.000 euros de revenus par mois et dont un des membres est salarié d’EDF/GDF économise environ 200 euros par mois. Cela ne présente pourtant aucun avantage pour EDF et GDF, leurs salariés consommant plutôt plus (gaspillent ?) que les autres clients, y compris aux heures de pointe, et ne constituant en rien une publicité pour leur entreprise. Et pas davantage pour les syndicats qui soutiennent et encouragent.
A première vue, la vente à prix réduit aux salariés semble de la seule responsabilité de l’entreprise et ne léser personne. En réalité, le montant de ces "dons" échappe au paiement des charges sociales (assurance maladie, retraite, chômage, famille). Ils échappent aussi au financement de l’État, puisque ces sommes sont soustraites à l’impôt sur le revenu. D’un côté, ce système prive la solidarité nationale de financements, et de l’autre, cette minoration du revenu réel permet à une partie des bénéficiaires d’avoir accès à plus de prestations sociales telles que tarifs réduits de cantine, HLM, etc.
Le comité d’entreprise d’EDF/GDF financé à hauteur de 1% du chiffre d’affaires constitue un autre avantage en nature pour lequel les entreprises et les salariés ne paient ni charges sociales ni impôts.
Ce risque de détournement est bien connu, et les avantages en nature doivent être déclarés. Mais au lieu de déclarer les montants exacts de ces avantages qu’EDF/GDF peuvent parfaitement connaître, ces entreprises ne déclarent que des valeurs forfaitaires, très rarement réévaluées et très inférieures à la réalité.
Dans une situation de concurrence, les avantages accordés aux salariés par les entreprises sont financés grâce à la réussite de l’entreprise et la performance de ses salariés (si ce n’est pas le cas, l’entreprise court à la faillite). Mais parce qu’EDF/GDF ont été (et sont encore) en situation de monopole, les cadeaux qu’elles distribuent à leurs salariés le sont aux dépens de leurs véritables clients, les particuliers, et non pas grâce à la performance de l’entreprise.
Autre idée fausse: des avantages en compensation des faibles salaires d’EDF/GDF ?
C’est l’argument fallacieux utilisé en dernier recours par les syndicats d’EDF et GDF pourtant artisans des injustices sociales. Les salariés de ces entreprises sont mieux payés que la moyenne des autres Français. Et en incluant seulement les cotisations retraites payées par les employeurs EDF et GDF, on arrive à des coûts salariaux sans comparaison avec ceux de leurs collègues du privé.
Exemple : Salarié gagnant 2.500 euros bruts par mois.
Dans le privé, la cotisation retraite de l’employeur est de 15%, ce qui représente, pour ce salarié, un coût total de : 2.875 euros
A EDF/GDF : la cotisation retraite de l’employeur est de 70%, ce qui représente, pour ce salarié, un coût total de : 4.250 euros.
Les agents qui épargnent un millier d'euros/an tendaient le poing dans les rues
Et quel était donc le mot d'ordre des sournois ?
Nul ne songeant leur supprimer cet avantage, ils ont fait grève pour dire NON à l'indexation de leur tarif spécial sur la hausse du prix de l'énergie...
De quoi faire sauter les plombs
En 2015, quand nos factures de Français défavorisés ou retraités auront augmenté de 30% - après les 50% sur les cinq années déjà écoulées - , leurs "tarif spécial" n'aura toujours pas varié.
A la prochaine grève, faudra-t-il leur offrir les derniers 5% de leur gaz et l'électricité ?
Je tiens à préciser que ce privilège de tarif est valable pour leur résidence principale mais aussi pour une résidence secondaire. Ce que vous avez oublié de dire...
RépondreSupprimervous avez oublier de préciser que les agent ERDF et GRDF achète l'électricité au prix de la production, sans les tax, ensuite au mieux de monté les citoyen contres c'est agent réfléchissez, j'ai perdu un membre de ma famille qui était agent. pour quelle cause pour rendre service au client, je pence que ce tarif est un dû pour eux, pour le service qui continu a nous apporté en dépits des risque qui prenne pour nous
RépondreSupprimerIl y aura toujours des gens qui chercherons à nuire à EDF et ses filiales .
RépondreSupprimerJe tiens à dire que la plus part de ce qui à été annoncé, n'est plus d'actualité.
Néanmoins, le tarif agent est toujours la mais uniquement pour la maison principal!
MAIS étant un futur jeune embauché (alternance) les salaires sont correcte et le sont moins dans les filiales!! Ex un jeune bts embauché ne touchera que 1700e brut soit environ 1350/1400 net sympa ? Alors que dans d'autre boites atteindre 2000e net est répandu.
Ensuite comparaison du métier de chargé d'affaire chez erdf contre un d'une boite privée, le salaire double étrange non ?
Ok, on a des avantages au niveau du CE mais par rapport au passé, il en existe de moins en moins, les camps ccas disparaissent au profits des camps subventionné. On ne peut pas partir consécutivement au même endroit, liste d'attente etc. Certes le tarif est très avantageux mais voila de mon point vue ca compense le faible salaire qu'on perçoit.
Votre comparaison avec les avantages des autres sociétés me fait bien rigolé! 25% sur une voiture neuve, c'est énorme. si on table sur une voiture familiale qui va bien 20 000 on dira, 5000 euros c'est énorme. En plus des pièces détaché et du suivis avec les réductions qui vont bien. On se retrouve facilement au niveau du tarif agent si ce n'est plus.
Et dans tout ça la qualité de service? l'entretient des réseaux? la motivation du personnel? Les plans d'interventions quand la France à été touchée par les tempêtes? Tous les agents qui se sont déplacés durant plusieurs semaines pour rétablir le courant? c'était pour qui tout ça??? La critique elle est facile, mais de mon point de vue on mérite, beaucoup aiment leurs métiers et peu le font juste pour "l'argent"! Il y a des "bras cassés" "des tires au flanc" comme dans n'importe quelle société.
Je tiens à témoigner tout mon respect aux anciens et ceux qui se sont battus pour nos privilèges. Et je crache sur tout ceux qui critique sans savoir.
Pour finir le jour ou il n'y aura plus d'esprit "service publique" et que d'autre sociétés que erdf rte reprendront l'entretient des réseaux, je rigolerai bien de toutes les critiques et plaintes qu'il y aura!
l'orthographe , allez revoir les règles d'orthographe d'abord !
RépondreSupprimerensuite, vous n'êtes pas les seuls à vous réclamer de la "gauche" !
La gauche ne doit pas être l'immobilisme corporatif qui est annonciateur d'un déclin inquiétant.
L'heure viendra où le coût du gaz et de l'léctricité deviendra si élevé, que même les agents edf/gdf devront accepter une hausse conséquente de ce tarif datant de ...1946.
Et ne dites pas qu'à ce moment-là vous ne voteriez plus à gauche.
La gauche, ce n'est pas cela, c'est se fondre dans le collectif salarial, faire oeuvre de solidarité, lorsque on a un statut "protégé".
A trop vouloir tout garder, vous finirez par perdre beaucoup plus.
et les avantages des journalistes , personne n en parle !!!!
RépondreSupprimerL'AFP et, à sa suite, les privilégiés en question n'en font ni articles, ni polémique, en effet !...
Supprimer