POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

mardi 14 mai 2013

PSG champion: un "printemps arabe" à Paris

De violents incidents ont éclaté du Trocadéro aux Champs-Elysées, lundi soir

De violents affrontements entre excités en tous genres et CRS ont éclaté lundi soir

Ils ont gâché les cérémonies au Trocadéro
 pour le troisième titre de champion de France du Paris Saint-Germain et provoquant une polémique sur le dispositif de sécurité mis en place. Des heurts ont fait des blessés, un autocar de touristes a été pillé au pied de la tour Eiffel et des voitures et des vitrines ont été vandalisées sur les Champs Elysées. 


Les risques  étaient prévisibles car, comme pour le Nouvel An, les fêtes sur Paris tournent habituellement en violences gratuites. La préfecture de police avait pris des mesures de routine.

Pourquoi sinon a-t-elle simplement interdit les Champs-Elysées aux supporteurs ? Les a-t-elle sous-estimés, alors qu'elle diabolise les opposants aux mariage" pour tous.

Annulation de la cérémonie prévue mardi soir sur le parvis de l'Hôtel de Ville.

Aveu de l’ampleur des exactions et de l'impréparation de la police de Hollande, le club et son parrain Nike ont annulé "pour des raisons de sécurité" la mini-croisière que devaient faire les joueurs sur la Seine pour exhiber leur trophée aux supporteurs, selon une porte-parole de l’équipementier.



Derrière des hooligans 
se cachaient des "jeunes" 
venus de tous les horizons 
et de certains quartiers. 
Et s'ils préparaient 
le "grand soir" ?


Pour toute réponse aux violences, "il n’y aura plus de manifestation festive sur la voie publique pour le PSG", a déclaré le préfet de police de Paris, Bernard Boucault, 65 ans, dressant un bilan de 30 blessés, dont trois membres des forces de l’ordre et 21 interpellations pour jets de projectiles et dégradations.

Le 30 mai 2012, le président Hollande a-t-il été bien inspiré de nommer à la tête de la police parisienne un ancien directeur de ...l'École nationale d'administration (ENA) ?

Devoir de mémoire: la gauche dans l'opposition
s'opposait à une législation interdisant

les masques et les cagoules sur la voie publique:


 Le décret "anti-cagoules" est applicable


Evolution de la "fête"

Les premiers incidents avaient éclaté vers 18h20 avec des jets de fumigènes sur les stewards du club, puis des supporteurs avaient escaladé un échafaudage installé le long du palais de Chaillot, retardant les festivités. 
Peu après, pendant que les joueurs en costume recevaient leur trophée en quatrième vitesse, des perturbateurs ont déployé une banderole "Liberté pour les ultras",
en référence à la politique de sécurisation du Parc des Princes mise en place il y a trois ans par le précédent président du PSG Robin Leproux (2009-2011), en réaction à de nombreux débordements.

Les joueurs ne sont finalement restés que cinq minutes sur le podium, sans s’adresser à la foule qui a également envahi la tribune réservée à la presse, avant de regagner le Parc des Princes où ils ont passé la soirée.

Lundi soir, sur la célèbre avenue méconnaissable entre le verre brisé jonchant le sol, les fumigènes, les explosions de pétards et les crissements de pneus, de nombreux commerces et restaurants ont fermé prématurément, à l’image du Fouquet’s, devant lequel la Croix-Rouge posait une perfusion à une personne blessée. "Il n’y a pas de détresse vitale, c’est une personne blessée dans une bagarre", a indiqué un médecin de la Croix-Rouge, déclarant qu'entre le Trocadéro et les Champs-Elysées, son organisation a pris "une cinquantaine de personnes en charge", aucune en danger vital.

 Le calme était revenu un peu plus tôt sur la place de Trocadéro, rouverte à la circulation vers 21 heures, même si en contrebas, des supporteurs continuaient alors à faire face aux forces de l’ordre sur le pont menant à la Tour Eiffel, où certains ont même pillé un autobus de touristes, selon des images de télévision.

Jusqu’à 23 heures, la police a réagi en procédant à des interpellations,  en général de jeunes masqués ou encagoulés, sur les Champs-Elysées.


Or, les violences du lundi soir étaient prévisibles 


Ni le préfet de police, ni le ministre de l'Intérieur
ne lit Libération...
Des échauffourées avaient en effet déjà eu lieu la nuit précédente  sur les Champs-Elysées dimanche soir, après la victoire du PSG à Lyon (1-0), synonyme de titre. Ils avaient déjà entraîné 21 interpellations, trois gardes à vue et 16 blessés parmi les forces de l’ordre, selon une source policière.

Le quotidien socialiste Libération avait rapporté que parmi les trois personnes placées en garde à vue, deux l’ont été pour "bris de vitres et vol en réunion", et une troisième pour "dégradation volontaire par incendie", selon la même source.

Au total, sept vitrines ont été endommagées et 16 membres des forces de l’ordre blessés, a précisé la même source.


En restant les bras ballants, Manuel Valls et son préfet de police envisageaient-ils des débordements pour stigmatiser la droite extrême?







4 commentaires:

  1. C'est sûr que l'ennemi public numéro 1 c'est bien la manif pour tous...
    Consternant ce gouvernement et Valls, il est juste inquiétant, vous avez vu ce regard de fou qui lui échappe de temps en temps...
    Mais bon, ceux-la seront tous relâchés et on continuera à inquiéter des mères de famille parce qu'elles ont un sweatshirt rose...

    Et si la Police/Gendarmerie/CRS nous racontait un peu ce qui se passe en vrai dans les banlieues ? Et si on nous disait quelles sont les directives reçues par les troupes pour ne pas parler des fusillades en proche banlieue ni de l'augmentation alarmante de la criminalité en France ?

    Hollande et son omerta... heureusement on a "sauvé" Dailymotion... mouarf

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Consternant ce gouvernement et Valls, il est juste inquiétant, vous avez vu ce regard de fou qui lui échappe de temps en temps...

      vous auriez pu ajouter le visage couvert de sueur.........ce matin face à Elkabach il avait l'air d'un fou, regard fou , cheveux en désordre, visage trempé de sueur...........agressif comme pas possible......
      Je me demandais, a quoi marche t il ?

      Supprimer
  2. Mais ce ne sont que de petites bousculades.............tout ça c'est a cause de la misère sociale ........y a pas à dire............

    Tant que les politiques de tous bords ne diront pas ça suffit............les choses iront en empirant...........

    Maintenant quand on ne veut pas présenter ses papiers en voiture on fonce sur le flic.............bientôt dans la rue on lui enfoncera un couteau dans le bide.............

    RépondreSupprimer
  3. tirs à balles réelles ?

    RépondreSupprimer

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):