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mardi 21 mai 2013

Le gloubiboulga de la presse officielle gave les Français, à gerber

Les socialos prennent les Français pour des gogos


Le camp du Bien est devenu l'ami du Mal
Le Syndicat de la magistrature nous a mis au parfum. Déjà que le SM, c'est tout un programme dans le genre déviant, mais cette fois les magistrats sont plus graves qu'austères, à défaut d'être sévères. Bruts de décoffrage, leurs sérénités nous ont dit en termes crus, mais choisis pour apaiser, ce qu'ils pensent de leurs concitoyens, singulièrement ceux de droite et pas que ? Ca change du langage abscons (!) de la basoche, même que ça dépote, car ces justiciers-là sont proches de la rue: ils la fréquentent assidûment depuis 2008, côté caniveau. Ne squattent-ils pas des locaux inoccupés de la pétaudière de CriCri Taubira ? Si le langage des magistrats s'est soudainement éclairci en libérant leur pensée profonde, ainsi que leur aptitude à interpréter la loi avec équité, les media n'ont pas en revanche fait leur coming-out.

Politiques et media de gauche s'emploient à rendre incompréhensibles de la masse les événements les plus transparents. Elle n’est dupe de rien, mais se détournait simplement jusqu'ici. Il tend désormais à se rebiffer. De plus en plus, il s'en prend physiquement aux journalistes et le mépris qu'affiche Mélenchon à leur endroit n'y est pas pour rien. Les menaces anonymes se multiplient. Les balles et la poudre parlent dans les boîtes à lettres des journalistes, aussi bien que des responsables politiques.


Lien PaSiDupes Menaces de mort: la gauche s'affranchit du principe de présomption d'innocence


Quand les parlementaires ne représentent plus que leur parti, le peuple cherche à reprendre le pouvoir qu'il a perdu en le déléguant


Certains hommes politiques pourraient être les prochaines cibles de rappels à la démocratie. L'honnêteté intellectuelle part en effet en quenouille. Nombre de débatteurs se livrent à des caricatures lapidaires de type Twitter, mais les images diffusées parlent d’elles-mêmes, le savent-ils suffisamment. Vous prenez un Jean-Christophe Cambadélis (PS), apparatchik nanti mais radical et violent. Parce que les media lui tendent encore des micros, il a trouvé le moyen d'établir une "connexion" entre les incidents en marge des manifestations contre le mariage homosexuel et les "hooligans" venus des banlieues et auteurs de violences urbaines au Trocadéro, lundi 13 mai. Lien 


Nombreux ont été journalistes sermonneurs qui, comme le cumulard des media, Nicolas Domenach, de Marianne, (qui parvient à surpasser Jean-François Kahn dans le manichéisme primaire), ont
tenté de dissimuler ou de relativiser le raid des cités qui ont profité de la fête pour se livrer à une razzia sur les Champs Elysées où la police les a laissés débouler, de peur du pire. Les media soumis à la pensée unique ont accompli leur basse besogne en attribuant la responsabilité exclusive des exactions aux supporters du PSG, tous des ultras. Les Parisiens ont vu et entendu ce que les media dissimulent à la France profonde. Car c'est aux cris de "On est chez nous !", "Paris est à nous !", que les nouveaux barbares sont venus pour casser, voler, se battre, terroriser. Mais les pleutres de la presse hésitent à couvrir ces casseurs encagoulés de l'approbre du qualificatif de fachos. Ils se refusent à voir le danger montant pour la République, consacrés (!) qu'ils sont à leur mission de démolition de la contestation pacifique de la loi Taubira par des jeunes de conviction.
VOIR et ENTENDRE la réalité des provocations de la gauche lors de la Manif pour tous du 5 mai à Rennes:


Ceux que l'idéologie dominante incite à rendre compte contre l'évidence et que le refus de l'objectivité aveugle sur ces violences "urbaines" venues des quartiers "sensibles", ceux-là provoquent la sensibilité des plus modérés et leur mépris des faits comme des personnes les expose à des réactions d'humeur somme toute naturelles, si ce n'est légitimes.

A lire la presse, il semble qu'il n'y ait d'humanité et de sensibilité que dans la canaille. La peur du gouvernement d'un Mai 68 tardif le 26 mai 2013 à Paris mobilise les camarades syndiqués des salles de rédaction. Les actions mobilisations ponctuelles partout sur le territoire interpellent les négationnistes. Prenant la mesure de l'ampleur de la fronde, ils sont devenus moins péremptoires sur l’essoufflement annoncé du mouvement, mais soit ils dramatisent la prise de parole du peuple, soit ils salissent la contestation du mariage gay. 
La vague de fond que Hollande a soulevée à travers la société ébranle les certitudes des politiques et des journaleux. Les éléments de langage qu'ils ont servilement colportés à la suite de l'AFP et Reuters ont brouillé leur vision et la capacité de discernement des "décrypteurs", ces pro de la désinformation. 

L’erreur serait de ne voir dimanche que le baroud d'honneur d’une droite radicale
La gauche ne doit pas s'y tromper. A vouloir à tout prix serrer les rangs derrière Hollande et une supposée avancée sociétale qui assurerait tout bêtement l'égalité entre homos et hétéros, elle sacrifie ses enfants à qui elle ne donne pas la parole. Seuls les lobbys et les casseurs du modèle occidental y trouvent leur compte. 

Ce sont des citoyens agressés dans leurs traditions et leurs convictions qu'ils sont allés provoquer. Leur mépris les a mobilisés: le gouvernement a tenté de leur imposer le silence et refusé le référendum. Le Parlement a pris l'opposition par surprise en accélérant l'examen du projet. 

Ainsi, la majorité présidentielle n'a-t-elle pas seulement bafoué la démocratie en 2013, mais a également fracturé le pays durablement, en mettant à mal non seulement une institution séculaire, mais aussi les valeurs fondamentales d'une civilisation. L’électorat démocrate-chrétien, récemment acquis à François Hollande, fait partie de ces indignés, porteurs d’une possible révolte. Le pouvoir socialiste et son valeureux ministre de l’Intérieur pourront bien matraquer, gazer, arrêter indistinctement les protestataires policés, jeunes et vieux, le plus souvent adeptes de la non-violence, et les provocateurs de toute tendance en laissant entrer les loups de banlieues dans Paris, la colère la colère n'est pas prête de tomber. 

La France excédée a de bonnes raisons de se prévaloir de la légitime défense et la répression du 26 laissera des traces profondes et durables.


1 commentaire:

  1. Chut!!!!!!!!!!!!!!!!!

    http://www.lepoint.fr/politique/la-ceremonie-que-l-elysee-aurait-voulu-garder-secrete-23-05-2013-1671261_20.php

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