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mardi 21 mai 2013

La planète se réchaufferait moins vite que les esprits écolos

L'alarme au réchauffement climatique serait moins justifiée que prévu


Revers pour les dictateurs Verts
Près de Caen, le 13 mars 2013
Le réchauffement climatique 
est-il bien crédible ?


Le ralentissement constaté de la hausse des températures depuis le début de ce siècle jette la suspicion sur le lobby du réchauffement climatique extrême de la planète. Le pire est moins probable dans les décennies à venir, selon une équipe d'experts internationaux de l'Université d'Oxford.


Limiter la hausse, c'est dans les cordes de Hollande ! 
Certes, le phénomène du réchauffement climatique se poursuit, ajoutent-ils, et les gouvernements devront prendre des mesures énergiques s'ils veulent limiter à moins de 2°C la hausse des températures par rapport à l'ère pré-industrielle.
"Les taux de réchauffement les plus extrêmes, selon les simulations réalisées sur cinquante ou cent ans, semblent moins probables", précisent les chercheurs d'Oxford dans la revue Nature Geoscience.

Après Ségo, Duflot et Batho
Le rythme du réchauffement mondial s'est en effet ralenti, après de fortes hausses dans les années 1980 et 1990,  même si les dix années les plus chaudes depuis le milieu du XIXe siècle ont toutes été constatées depuis 1998.

Les scientifiques s'interrogent sur les raisons de ce ralentissement car les émissions de gaz à effet de serre n'ont pourtant cessé de croître ces dernières années, en raison notamment de l'essor industriel de la Chine.

L'étude de l'évolution des températures entretient la psychose verte

Fumer du cannabis produit du CO2
et nuit gravement à la planète
Par rapport à l'ère pré-industrielle, un doublement des concentrations de gaz carbonique dans l'atmosphère provoquerait une hausse des températures entre 0,9 et 2 degrés Celsius, peut-être dans le milieu de ce siècle, si on se fonde sur les tendances actuelles, expliquent les experts.

Ces estimations sont inférieures à celles présentées en 2007 par le Giec (Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat), qui tablait dans son quatrième rapport d'évaluation sur une hausse de 1 à 3°C.
Le Giec a été créé en novembre 1988, à la demande du G7, par deux organismes de l'ONU, l'organisation météorologique mondiale (OMM) et le programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE).
Pour le Giec, un doublement de la présence de gaz carbonique dans l'atmosphère ferait grimper la température de 2°C au minimum, de 4,5°C au maximum, en tenant compte de la fonte des glaciers et de l'absorption par les océans que cela entraînerait pendant des siècles.
La récente étude d'Oxford, qui a été menée par des scientifiques britanniques, américains, canadiens, australiens, français, allemands, suisses et norvégiens, ne contredit pas cette prévision du Giec à long terme.

Haro sur le dioxyde de carbone
Batho met toute son énergie
au développement durable
Pour la première fois depuis le début de relevés réguliers en 1958, la teneur en dioxyde de carbone de l'atmosphère a atteint ce mois-ci la barre des 400 parties par million (ppm) dans une station d'observation de Hawaï qui fait référence.
Quatre cents parties par million signifie qu'il y a 400 molécules de dioxyde de carbone pour chaque million de molécules dans l'air. Le fait que ce seuil, considéré comme un niveau dangereux par la plupart des climatologues, ait été atteint, devrait peser lourd aux négociations internationales sur les changements climatiques.

Depuis la révolution industrielle, les températures ont augmenté d'environ 0,8°C.

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