La presse se charge de condamner toute critique de l'opposition
L'AFP titre PSG : "Valls pris pour cible par l'UMP, Goasguen veut sa émission"
L'AFP titre PSG : "Valls pris pour cible par l'UMP, Goasguen veut sa émission"
"L'UMP a pris pour cible le ministre de l'Intérieur Manuel Valls, accusé d'"amateurisme" et d'"inertie" face aux casseurs de la fête du PSG, Claude Goasguen, député-maire du XVIe arrondissement où se trouve le Trocadéro, demandant même sa démission," peut-on lire dans la dépêche d'agence.
Fillon se réserve en effet la liberté de "sanctionner les responsables"

Les témoignages sont pourtant unnanimes
Le préfet de police assure qu'il a parfaitement géré. Il a évidemment contesté toute impréparation, en se fondant sur les effectifs mobilisés,800 policiers, selon lui.
Il s’est également interrogé sur la pertinence du choix fait selon lui par la Ligue de football professionnel (LFP) et le PSGd’organiser la cérémonie au Trocadéro “avec en fond de tableau la Tour Eiffel qui est le symbole du club”, plutôt qu’au Parc des Princes plus facile à sécuriser. Le club avait déjà retenu ce site emblématique pour présenter sa recrue galactique Zlatan Ibrahimovic l’an dernier.
Or, ce choix a été opéré en concertation, lorsque le club et la ligue se sont vu interdir les Champs-Elysées...
Un responsable de la Croix-Rouge sur place corrobore l'amateurisme de l'exécutif devant BFM TV.
"Les supporteurs étaient bien plus nombreux que prévu, on a dû s’adapter en faisant appel à des bénévoles". Alliance, le second syndicat des gardiens de la paix, et Synergie, le second syndicat d’officiers, ont aussi confirmé que l’ampleur de l’événement avait été “sous-estimée”.
L’UMP, elle, a dénoncé la responsabilité du gouvernement et notamment “l’inertie inadmissible de Manuel Valls”, le ministre de l’Intérieur, par la voix de son secrétaire général adjoint Geoffroy Didier.
Claude Goasguen, député-maire UMP du XVIe arrondissement, où se trouve le Trocadero, a même appelé Manuel Valls à “assumer” sa responsabilité et à démissionner.
Le ministre soutient que le dispositif de sécurité était “important”, malgré des violences qu'il avait banalisées en "bousculades" pour un déploiement hors de proportions, si on suit son raisonnement...
Il a promis que “tous les moyens d’enquête disponibles seront mis en oeuvre dans les jours à venir pour identifier et confondre les casseurs à partir des bandes de vidéoprotection recueillies”.
Et pourquoi pas une petite commission d'enquête parlementaire, comme le réclame Bernard Accoyer ?
Un responsable de la Croix-Rouge sur place corrobore l'amateurisme de l'exécutif devant BFM TV.
"Les supporteurs étaient bien plus nombreux que prévu, on a dû s’adapter en faisant appel à des bénévoles". Alliance, le second syndicat des gardiens de la paix, et Synergie, le second syndicat d’officiers, ont aussi confirmé que l’ampleur de l’événement avait été “sous-estimée”.
L’UMP, elle, a dénoncé la responsabilité du gouvernement et notamment “l’inertie inadmissible de Manuel Valls”, le ministre de l’Intérieur, par la voix de son secrétaire général adjoint Geoffroy Didier.
Claude Goasguen, député-maire UMP du XVIe arrondissement, où se trouve le Trocadero, a même appelé Manuel Valls à “assumer” sa responsabilité et à démissionner.
Le ministre soutient que le dispositif de sécurité était “important”, malgré des violences qu'il avait banalisées en "bousculades" pour un déploiement hors de proportions, si on suit son raisonnement...
Il a promis que “tous les moyens d’enquête disponibles seront mis en oeuvre dans les jours à venir pour identifier et confondre les casseurs à partir des bandes de vidéoprotection recueillies”.
Et pourquoi pas une petite commission d'enquête parlementaire, comme le réclame Bernard Accoyer ?
Mais quoi qu'il se passe, les socialo et leurs petits copains ne sont jamais responsables de rien................c'est bien connu............c'est toujours la faute des autres..............
RépondreSupprimervous avez raisons, jamais responsable
RépondreSupprimerMais le pauvre Manu... vous vous rendez pas compte, tout usé qu'il était par ces révolutionnaires de familles bourgeoises non violentes... Un coup à lui gâcher son escapade amoureuse avec le brave Nono.
RépondreSupprimerJoli pays :-(