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jeudi 26 décembre 2019

Fusillade à Besançon dans un quartier, plaque tournante du trafic de stupéfiants

Une trentaine de coups de feu tirés à Besançon fait plusieurs blessés

Cette fusillade de Noël a éclaté dans le quartier populaire de Planoise, à Besançon (LREM)
Résultat de recherche d'images pour "Prix du Quai des OrfèvresLes cicatrices de la nuit"Elle a fait trois blessés dont deux graves, hospitalisés, tandis que les tueurs ont pu prendre la fuite et sont toujours recherchés. 
Il est 19h21, ce 25 décembre, quand des individus cagoulés et armés d'un "genre de Kalachnikov" tire sur un groupe. Sur place, rue de Fribourg, dans le quartier de Planoise, deux personnes sont  blessées: l'un, à la cuisse, est âgé de 30 ans, et l'autre, atteint de plusieurs balles au thorax, âgé de 31 ans. Ils ont été pris en charge par la Sécurité sociale au CHRU Minjoz de Besançon. Les deux trentenaires, dont on ignore s'ils cotisent, ont été opérés mercredi dans la soirée.
Une troisième individu, un mineur de 14 ans, a été blessé par l'éclat d'une balle mais "le jeune adolescent" n'était, semble-t-il, pas visé par les tireurs : un "chouffeur" en Armani ? Protégé par l'âge pénal gelé à... 18 ans ? C'est sa famille qui a contacté la police depuis l'hôpital. Il sera entendu très prochainement par la police judiciaire. 
Le reportage de L'Est républicain n'est pas piqué des hannetons..."Un ou plusieurs hommes [des vrais!] masqués auraient tiré [ce n'est donc pas sür !] à l’arme automatique sur un autre groupe d’individus rue de Fribourg, lesquels ont tiré pour riposter [tirs "entendus par des habitants locaux", sic], d'après les premiers éléments de l’enquête. Trois individus blessés sont tombés à terre, manifestement [sic !] touchés par les tirs," relate finement le canard local. "Le quartier est totalement bouclé," précise-t-il...
"J’ai pensé que des personnes [des Rois Mages ?] fêtaient Noël à l’aide de pétards",
a avoué [à la bonne heure !] à L'Est républicain un riverain, qui habite au rez-de-chaussée [détail ô combien utile] à proximité.
Du canton de Besanon-Planoise qui s'est choisi un conseiller socialiste, , Les "auteurs" [Prix du Quai des Orfèvres ?]  sont toujours recherchés
La police a ramassé une quinzaine de douilles d'un pistolet mitrailleur. Sous une voiture, elle a aussi retrouvé une grenade non explosive qui a nécessité l'intervention d'une équipe de démineurs de Colmar à 165 km et deux heures de route. La police judiciaire a été saisie pour mener l'enquête.
"Des équipes de techniciens et de démineurs ont été dépéchées [sic pour l' orthographe : on aurait pu écrire "diligentées"...] sur place. Des techniciens ont été chargés d'analyser les douilles laissées par les assaillants. Des munitions de divers types ont été découvertes, certaines de calibre 5,56 mm, d’une arme de guerre." L'AFP suggère-t-elle que les "auteurs" sont des "revenants" d'Irak ou de Syrie ?...

En fait, de multiples coups de feu ont été signalés mercredi soir à Besançon.
Dans le quartier de Planoise, on déplore au moins trois blessés pris en charge par les secours, annonce L'Est républicain, journal régional et soutien du maire LREM.
Du canton de Besançon-Planoise, qui s'est choisi un conseiller départemental socialiste du nom de Lotfi Saïd, à la suite de Barbara Romagnan (PS, puis Génération.s), on apprend qu' "on peut y admirer quelques bâtiments typiques de l'architecture des années 60", dont des barres de dix étages"...

Ce maire, Jean-Louis Fousseret, est un homme politique aux convictions fortes qui honorent son père, un des initiateurs de la commune libre de Saint-Ferjeux (quartier de Besançon). Frère de l'écologiste Alain Fousseret, membre d'Europe Ecologie-Les Verts, c'est un socialiste pur et dur, mais séduit à 72 ans par le banquier Macron.
De leur côté, les tireurs courent toujours.
La fusillade a eu lieu sur fond de trafic de stupéfiants, avance L'Est républicain. 
Des équipes de techniciens et de démineurs ont été dépéchées sur place. Des techniciens ont été chargés d'analyser les douilles laissées par les assaillants. Des munitions de divers types ont été découvertes, certaines de calibre 5,56 mm, d’une arme de guerre.

Les forces de police ont été "déployées en nombre" dans les rues environnantes, dont des agents de la Brigade anti-criminalité et de la Sûreté départementale, indique la presse. "Des riverains ont affirmé avoir observé un inconnu lancer une grenade," celle retrouvée "par la suite" par les forces de l'ordre sous un véhicule, précise L'Est républicain à ceux qui pourraient penser que l'objet pousse sur le macadam de Besançon.
Le quotidien précise utilement que "les enquêteurs analyseront les caméras de vidéosurveillance pour faire la lumière sur les faits qui font penser à un règlement de compte". 
De drogue ou de l'identité des petits gagne-petit dérangés dans leur "économie souterraine" par les grévistes CGT et Sud Rail mauvais payeursil n'est plus question. L'enquête suit son cours? mais s'inscrit dans le temps long...

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