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mardi 16 octobre 2018

Hier, ces nouveaux ministres de Macron tapaient encore sur ...Macron

Le pire de l'ancien monde est de retour

Franck Riester, Marc Fesneau, Didier Guillaume récompensés pour leur critiquesou opportunistes réduits au silence

En 15 jours d'attente de la formation de la nouvelle équipe gouvernementale, par communiqué et la 3° en moins de 18 mois, ce mardi,
certains media ont eut le temps de sortir de leurs archives de vieilles déclarations de Didier Guillaume, Marc Fesneau et Franck Riester

Et elles ne manquent pas de sel.
Ce nouveau gouvernement compte ainsi huit nouveaux entrants, parmi lesquels trois qui avaient des mots très cruels pour l'auteur de leur promotion : l'ex-Républicain Franck Riester, nommé ministre de la Culture, le chef de file des députés MoDem Marc Fesneau, ministre des Relations avec le Parlement, et le sénateur ex-socialiste Didier Guillaume qui remplace Stéphane Travert à l'Agriculture, pour tenter de rallier les écologistes. D'un bord politique différent d'Emmanuel Macron, pour deux d'entre eux, les trois hommes avaient épinglé le chef de l'Etat. 

Quand Didier Guillaume voulait qu'Emmanuel Macron participe à la primaire de gauche.
En novembre 2016, alors futur directeur de campagne de Manuel Valls, Didier Guillaume avait aligné Emmanuel Macron pour son refus de se soumettre à la primaire de gauche.lors de la campagne présidentielle,  "S'il était si sûr de lui, il l'aurait gagné", estimait-il, comme le relève Le Huffpost.
Le vainqueur de la primaire fera plus de voix que de personnes aux meetings d'Emmanuel Macron", raillait également le socialiste en janvier 2017.

Le sénateur de la Drôme n'en est pas à son premier "volte-face", relève le site d'informations. 
En janvier 2018, celui qui présidait le groupe socialiste au Sénat depuis 2014 avait annoncé son départ de la vie politique, pour prendre la tête du comité d'organisation chargé de piloter la coupe du monde 2023 de rugby, avant de changer d'avis, de planter les sportifs et de revenir au Sénat, au groupe du Rassemblement démocratique et social européen.

Quand Marc Fesneau émettait des doutes sur la politique de Macron à Bercy

Centriste proche de François Bayrou, le nouveau ministre des Relations avec le Parlement n'a pas toujours été sur la même ligne qu'Emmanuel Macron, surtout lorsqu'il était ministre de l'Economie (2014-2016). Il était notamment de ceux qui considérait que la loi Macron n'était pas "une révolution".
Fesneau a changé son fusil d'épaule en 2017, quand le MoDem s'est allié au candidat En Marche! pour les présidentielles. Après la victoire d'Emmanuel Macron, Marc Fesneau, a été élu député du Loir-et-Cher, soutenu par le parti présidentiel, grâce à un accord d'appareils.

Quand Franck Riester ne pariait pas un seul fifrelin sur Macron, un candidat "flou"

ncien cadre des Républicains,
 le député de Seine-et-Marne, Franck Riester est devenu soutien "constructif" de la majorité après l'élection d'Emmanuel Macron, en tant que chef de file du parti juppéiste 'Agir' à l'Assemblée. 

Mais avant ce revirement de situation et de veste, le garagiste devenu ministre de la ...Culture ne roulait pas pour le locataire de Bercy : il lui cassait sa caisse. Selon lui, la démission du ministère de l'Economie était "logique vu son bilan catastrophique comme conseiller et ministre de l'Economie".
"Emmanuel Macron c'est plutôt flou. Sa grande loi, on en retient la libéralisation des bus. Ce n'est pas extraordinaire", constatait-il par ailleurs fin octobre 2016.

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