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samedi 25 septembre 2010

Christian Pierret, candidat de plus aux primaires socialistes

La liste commence à se faire longue

Christian Pierret s'est déclaré candidat à l'investiture socialiste pour 2012
Dans une émission de sa télévision locale de Saint-Dié (Vosges), Déodat TV, reprise par le quotidien régional Vosges-Matin , cet ex-secrétaire d'Etat, puis ministre délégué à l'Industrie sous le gouvernement Jospin (1997-2002), a expliqué dans une déclaration à la télévision locale de sa ville sur internet, Déodat TV, reprise par le quotidien régional: «Je serai un candidat social démocrate modéré».

Le maire de Saint-Dié indique notamment vouloir faire entendre sa voix sur les thèmes de l'énergie ou sur «une vision économique axée sur l'innovation».
La primaire socialiste est prévue à l'automne 2011 et il aurait 66 ans en 2012.

Le Lorrain
n'a pas peur de la foule


Qui sont ses rivaux et quelles étaient les estimations de leurs chances début juin 2010 ?

1- Martine Aubry (35%)
2- Dominique Strauss-Kahn (30%)
3- Ségolène Royal (19%)
4- François Hollande (10%)
5-Manuel Valls (5%)
6-Pierre Moscovici (1%)
7-Laurent Fabius (0%)
et Pierret est encore non classé, mais plus on est de fous, mieux on est !


Son parcours

Né en 1946 d'un père directeur de société (ingénieur des Arts et Métiers et de l’École navale), Christian Pierret qui a profité du milieu privilégié d'une famille bourgeoise catholique, est lui-même sorti de l'ENA. D'abord au côté de Jacques Delors, père de Martine Aubry, il est ensuite responsable du CERES (animé par Jean-Pierre Chevènement, en particulier) qui permet à François Mitterrand d’accéder aux responsabilités de Premier secrétaire PS au Congrès d’Epinay en 1979. En 1982, il se rallie à Pierre Mauroy et à Laurent Fabius. Il ne cache pas son appartenance à la franc-maçonnerie dans la Grande Loge nationale française.

Ses casseroles
Depuis la fin des années 1980, Christian Pierret a fait l'objet de plusieurs procédures pour lesquelles les jugements rendus ont levés les accusations dont il faisait l'objet, lui accordant 5 non-lieux et 3 relaxes (affaire des pompiers de Saint-Dié, détournement de fonds publics dans l'affaire de l'ARDIES et corruption et complicité d'abus de biens sociaux dans l'affaire concernant l'emploi de collaborateurs par la Lyonnaise des Eaux).

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