Zapatero se désolidarise de ses camarades français
Le chef du gouvernement espagnol, José Luis Rodriguez Zapatero, a affirmé que les expulsions de Rom par le gouvernement français n'avaient pas été ordonnées pour des raisons ethniques, a rapporté aujourd'hui le respectable Wall Street Journal, quotidien financier américain.
Un entretien avec les journalistes que les media européens partisans n'ont pas pris la peine de lire: cf. l'article que PaSiDupes a consacré à la propagande anti-française de Libération, l'un des journaux de la gauche française.
Le socialiste Zapatero persiste et signe
Un entretien avec les journalistes que les media européens partisans n'ont pas pris la peine de lire: cf. l'article que PaSiDupes a consacré à la propagande anti-française de Libération, l'un des journaux de la gauche française.
Le socialiste Zapatero persiste et signe
"Les mesures ont été adoptées dans le cadre de la loi. Les principes d'intégration doivent fonctionner, mais l'ordre public doit également être respecté dans les camps qui n'ont pas les conditions sanitaires ou sécuritaires adéquates", a-t-il ajouté.
C'était la première fois que le chef de l'exécutif espagnol s'exprimait aussi clairement sur le sujet.
Un socialiste objectif !
Courage politique
Très reconnaissant du soutien actif de la France dans la lutte anti-ETA et du rôle prépondérant joué par Nicolas Sarkozy pour que l'Espagne puisse participer au G-20, Zapatero n'avait pas trouvé matière à critiquer le président français lors du Conseil européen la semaine dernière.
Presse partisane
Il aura fallu que le Wall Street Journal se fasse l'écho de la prise de position du chef de gouvernement socialiste de l'Espagne, hier mercredi 22 septembre, pour que Libération rapporte ses propos, mais, à la différence du journal financier américain, en s'obstinant à critiquer l'application de la loi votée par les représentants du peuple français.
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