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jeudi 14 mai 2015

Lycée Montaigne: des photos de la ministre de l'Education, visionnées par des collégiens pervers portés sur les attouchements

Le Parisien et Le Point n'ont plus tenu la porte des WC des filles

Cinq collégiens précoces se rinçaient l'oeil sur Najat Vallaud-Belkacem
?

La "théorie du genre" éveille la curiosité des pré-ados
Ce qui est banal en Seine-Saint-Denis est extraordinaire à la cité scolaire de Montaigne. Voisin du bureau (VIIe arrondissement) de leur ministre, Najat Vallaud-Belkacem, l'établissement du 6e arrondissement, au coeur de Paris, est un lieu d'apprentissage réputé tranquille, bien qu'en novembre dernier un parent ait frappé un élève du lycée avec un extincteur et que ce lycée se situe toutefois au 93e sur 109 au niveau... départemental.
Après la mort de Rémi Fraisse sur le site squatté de Sivens (Tarn), la situation avait dégénéré au lycée Montaigne à Paris. Armelle Malvoisin, présidente de la PEEP Montaigne, expliqua: "Des parents se sont mis à vouloir faire l'ordre eux-mêmes. Ce parent a pété littéralement un plomb et a agressé un élève, ce que nous condamnons effectivement". Le jeune homme a été hospitalisé. "Le gros problème c'est qu'il n'y a personne pour assurer l'ordre et la sécurité aux abords des établissements.", a ajouté Armelle Malvoisin.

Le Parisien révèle la vie secrète de ce "paisible" établissement, ce matin, à l'occasion de la fête de l'Ascension. Passons sur l'affirmation du malsain François Gapihan qui flaira aussitôt un possible élément supplémentaire de scandale, puisque BFMTV n'en est plus à un près: non, la cité scolaire n'est pas un établissement privé... Il s'agit d'un établissement public local d'enseignement. Bien tenté Little Mr Bad...
Reste que des fillettes, scolarisées dans l'établissement, auraient été victimes d'attouchements par cinq garçons, âgés de 10 et 11 ans.

Affaire pendante depuis... plusieurs mois
Des parents avaient alerté la ministre et, face à l'inertie de la ministre Najat Vallaud-Belkacem, ce sont encore les familles des fillettes qui ont mis l'affaire sur la place publique par courrier adressé au proviseur et au rectorat en avril dernier. Dans ce document, l'une des mères décrit "une situation d'insécurité physique et psychologique dans laquelle se trouvent les filles de la classe en raison d'attouchements et de propos obscènes de la part de certains garçons". 
Le Parisien précise que deux mains courantes ont été déposées par des parents au commissariat et que certaines familles ont également saisi des fédérations de parents d'élèves.
VOIR et ENTENDRE la représentante de la PEEP, organisation modérée, qui trouve systématiquement que "le ministère a bien travaillé"...:

Travaux pratiques transversaux  à la récréation

Un autre père de famille rapporte que ces mêmes garçons regardaient aussi des vidéos pornographiques "YouPorn sur leur iPhone 6", dans la cour de récréation. Un problème dont a été informée Armelle Malvoisin, présidente d'une des fédérations de parents de Montaigne. Cette organisation n'est pas nommée: seule la fédération dominante -très marquée à gauche- bénéficie de la publicité de la presse.  Alors que la FCPE détourne le regard, la PEEP a renouvelé sa demande que l'usage des téléphones portables soit interdit au sein de l'établissement, comme c'est le cas dans de nombreux établissements publics de Paris.

Les cinq garçons mis en cause sont passés en conseil de discipline ce lundi. 
Les deux "meneurs" -sur lesquels aucun élément d'information n'a filtré- ont été "exclus définitivement avec sursis", ce qui signifie qu'ils seront bannis du collège à la prochaine faute commise. Il n'est pas non plus précisé dans quel milieu éducatif les deux pervers seront accueillis: ne sont-ils pas astreints à l'obligation scolaire?

Un troisième a été exclu temporairement, tandis que les deux derniers se sont, eux, vu infliger des travaux d'intérêt pédagogique. Et, concrètement, ça consiste en quoi?
Des séances de prévention autour de la relation fille-garçon devraient par ailleurs être organisées au collège: on est à des années lumière de la "théorie du genre"...
Et pourquoi pas une... cellule psychologique ?

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