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vendredi 1 mai 2015

Léonard Trierweiler repasse une couche au portrait de Hollande par sa mère

Le fils de l'ex-maîtresse présidentielle exploite le filon Hollande 

L'adolescent ne se contente pas d'échanges de tweets pourris avec le fils Sarkozy: 
désormais, Léonard Trierweiler accorde des entretiens...

Ses propos intéressent Canal+: l'irrévérencieux Mouloud Achour, étonnamment !


A travers ses pseudo-souvenirs, le fils de..., côté alcôve, rectifie le portrait qu'en donne sa mère bafouée en prêtant au président les réflexes d'un petit bourgeois radin, soucieux de faire des économies: "Parfois à l'Élysée, ça lui arrivait d'éteindre lui-même toutes les lumières : 'Ça coûte trop cher'.
Le ton est donné et l'entretien a clairement pour objectif de dorer la limande au fond de la poële. L'apprenti politicien ne s'en tient d'ailleurs pas là. "La première fois que je l'ai vu, il nettoyait notre piscine", se souvient Léonard Trierweiler, alors qu'il a 9 ans et que sa mère est toujours mariée à son père, Denis (ci-contre à droite), qui se fait passer pour traducteur de philosophe, mais fait profession de journaliste.

Petite tête et gros nez

Le fils cadet de l'ex-concubine présidentielle - qui en a eu trois d'un second mariage de 15 ans - dresse un portrait soi-disant gratiné du président Hollandeassorti d'anecdotes insignifiantes sur la vie à l'Elysée, de sa rencontre avec le locataire du palais jusqu'à la séparation avec sa mère. 

Léonard a de qui tenir et il se fabrique aussi des rendez-vous amoureux à l’Elysée et passe au crible sa relation twitto-épistolaire qu’il entretient avec Louis Sarkozy : "Je crois que j’avais sa chambre (…) Il avait laissé des pistolets à billes (…) et des altères aussi…" Le petit Valoche y aurait-il, quant à lui, laissé son orthographe ?

Dans l'entretien, Léonard Trierweiler revient aussi sur la révélation du magazine Closer en janvier 2014. Il apprend "l'affaire Julie Gayet" sur Internet et, à ce moment-là, la seule chose qui comptait c'était sa mère, raconte le jeune homme, protecteur. Et ça fait de l'audimat?  Sur l'hospitalisation de Valérie Trierweiler, il a ces mots impérissables : "C'était difficile, mais il a fallu faire avec". Pour se protéger, il se coupe alors des réseaux sociaux. Ouf...

"La girouette ne tourne pas, c'est le vent qui tourne." 
On peut être un "vieux con" à tout âge
Malgré son passé avec sa mégère de mère, Léonard Trierweiler assure François Hollande de son...soutien s'il se représente en 2017. Et si le petit gâte-sauce quitte son école de cuisine à bac+5 après y être entré avec un CAP, on saura d'où lui vient ce talent... 
Il votera alors pour la première fois : "Je crois en ce qu'il fait. Je ne sais pas comment ça se fait que ça ne marche pas. J'ai l'impression qu'il a l'air sincère, qu'il fait tout pour que ça se passe bien; il travaille tout le temps, mais rien ne se passe". Ca lui donne pourtant confiance et parfois envie de le soutenir encore cinq ans, mais c'est quand on est un jeune qui connaît la vraie vie et qu'on est assuré d'un emploi à la sortie d'une école qui vous a ouvert ses portes sur piston. Le jeune décrypteur de menus avance cependant un conseil politique: "Il doit changer. On peut pas être normal et Président, je pense". Le changement maintenant, n'était-ce pas déjà en 2012 ? A son âge, le fougueux petit gars ne serait-il pas juste un peu nostalgique des ors de la République ! Cuistot à l'Elysée en 2017 ? Et le Dîner de cons 2...


Qui croire d'une Valoche blessée ou d'ado ébloui ?

Herbert Léonard jeune ?
Comme on peut le lire dans Le Monde ou Paris Match, qui publia les bonnes feuilles du bouquin de Madame-mère, François Hollande, président élu de la gauche sous la bannière socia­liste, est plein de haine des riches et méprisant des classes popu­laires dont est issue Valé­rie Trier­wei­ler, à la fois par ses parents modestes et par ses grands-parents, des banquiers que, tous autant qu'ils sont, il avouent ne pas aimer, qu'ils soient grands, tels les actionnaires du journal socialiste Le Monde, ou petits, dont il fait ses ministres, comme Emmanuel Macron, freluquet à la voix flûtée et au regard louche.
Fille d’une cais­sière de pati­noire et d’un père inva­lide qui ne perce­vait qu’une maigre pension -selon le roman à la Eugène Sue de Valoche- l’ex-première favorite raconte que François Hollande la surnommait "Cosette" par dérision et s'est moqué de ses origines modestes -et du petit twitter- avec un manque de respect insultant. L’amuse gueule publié dans Paris Match rapporte que lors d’un dîner familial de Noël à Angers, le chef de l’Etat aurait lancé à sa compagne : "Elle n’est quand même pas jojo la famille Masson­neau [nom de jeune fille de Valé­rie Trier­wei­ler] ! " La dinde a dû passer de travers… Ou les ortolans car, malgré les apparences et son ventre gras et mou,  le "président normal" ne mange pas n'importe quoi: il exige des plats raffinés et rejette ce qui n'est pas à son goût. Il ne consomme que du frais et c'est ainsi que Valoche est répudiée.
Alors que le candidat Hollande en campagne décla­rait la guerre au monde de la finance, son ex-compagne raconte que François Hollande n’en appré­cie par pour autant les gens de peu de moyens. "Il s'est présenté comme l'homme qui n'aime pas les riches. En réalité, le Président n'aime pas les pauvres, constate-t-elle dans l’ex­trait publié par Le Monde. Lui, l'homme de gauche, dit en privé : "les sans-dents" très fier de son trait d'humour." Après une telle révé­la­tion choc, François Hollande risque juste­ment d’en prendre plein les dents…

Pourquoi donner la parole aux premiers sots venus ?

Les allées du pouvoir sont le terreau de cette graine de socialiste. Ses privilèges ont laissé leur empreinte et l'ado n'est donc pas troublé d'apprendre que la France est pour François Hollande un pays de "sans-dents" (comprendre "les pauvres" qu'il appelle pudiquement "les défavorisés" devant les caméras), et les travailleurs français des "illettrés", selon Emmanuel Macron, ex-banquier (comme les aïeux du petit arrogant) et ministre de l'Économie de Manuel Valls, ou de faux chômeurs qui trichent, de l'avis François Rebsamen, ministre du Travail.

Le petit Léo à sa maman, ou l'histoire d'un pochage au court bouillon du socialisme nanti 
Un ado "normal" serait révolutionné d'apprendre qu'un élu du peuple tue le temps dans l'hémicycle en jouant au Scrabble en réseau avec Jérôme Guedj (qui plus est président de Conseil général). Or, le sens critique aigu mais unidirectionnel du Nanard de Valoche s'accommode que Thomas Thévenoud soit également affligé d'une pathologie nouvelle qui frappe sélectivement les socialistes exemplaires de basela "phobie administrative": ce mal excuserait les oublis et retards de déclarations fiscales de "godillots" du PS. D'autres ressemblent à des girouettes, d'autres seraient otages des lobbys (les anciennes ministres Delphine Batho et Cécile Duflot découvrent le pot aux roses dans leurs bouquins respectifs)... Bref, notre pays est devenu L'Enfer de Dante ou le Nom de la rose d'Umberto Eco. Léo ne le sait pas mais il en parle.

Léonard est apprenti-cuisinier à l'école Ferrandi (CCI), Paris 6e, qui recrute par chance dès le CAP. Le petit marmiton s'y est fait une spécialité d'assaisonner aux petits oignons l'opposition de droite. C'est ainsi que Louis Sarkozy, Isabelle Balkany ou encore Nadine Morano passent à la casserole et le people ado ne connaissent pas le feu doux: le  tweet-clash du virtuose carbonise et colle au plat.

Il aurait refusé de participer à l'émission Objectif Top Chef, mais c'est qu'il ne "souhaite pas faire de télé pour le moment, raconte-t-il, et certainement pas si c'est simplement pour son nom,"  si décrié soit-il, car porté par la personnalité -hors gouvernement-  la plus détestée en France. L'ado a été placé au milieu de grandes filles, épouse de footballeur ou ex-Miss France, pour une photo qui ne doit rien à de présumés talents cachés, mais à la notoriété conférée par la couche présidentielle. Il ne manquait qu'Enora Malagré, Roselyne Bachelot ou Audrey Pulvar. Léonard Hanouna était bien là, mais Cyril, quant à lui, sait qu'il est trop drôle....

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