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jeudi 14 mars 2019

La Syrie incapable d'élever les enfants de djihadistes étrangers nés sur son sol, selon des pétitionnaires français

Des radicalisés lancent une pétition pour "rapatrier" les enfants des islamistes

Un collectif d'individus sans légitimité,
artistes, 
magistrats, journalistes ou avocats, associés à des élus, vient de lancer une pétition pour demander le "rapatriement" des enfants des djihadistes français 

Ils ont choisi de combattre l'Occident au côté de l’Etat islamique (EI) ou bénéficient du droit du sol en Irak ou en Syrie.
Les enfants du djihadiste français Jean-Michel Clain, abattu par un raid aérien de la coalition en février,
photographiés avec leur mère, abandonnés par l’État islamique en Syrie. 

"Un collectif d’acteurs de la société civile' s'est laissé pousser sur le devant de la scène par les initiateurs de cette pétition, les avocats pénalistes Marie Dosé- Lévy et Henri Leclerc, tous deux fortement marqués à gauche, 
Marie Dosé-Lévy, antisioniste, en conflit d'intérêts, comme avocate de plusieurs femmes ayant collaboré à Daesh, et qui s'est faite connaître avec le procès de Denis Baupin, mari d'Emmanuelle Cosse, pour agression sexuelle sur quatre femmes (classé sans suite, pour prescription), et la loi anti-casseurs, 
et Henri Leclerc, 84 ans, proche de la socialiste Martine Aubry, ancien président de la Ligue française pour la défense des droits de l'homme (soutien de membres des "brigades rouges", organisation terroriste d'extrême gauche italienne, auteure de nombreux attentats et assassinats), défenseur des immigrés, soutien de l'artiste Bertrand Cantat, assassin de la comédienne Marie Trintignant, et beau-frère de l'écologiste radicale Cécile Duflot, et conseil de l’ex-boxeur Christophe Dettinger, accusé de violences volontaires sur des gendarmes lors d'une mobilisation de Gilets jaunes,  
la pétition réclamant le retour des enfants des djihadistes partis combattre en Irak et en Syrie.

Elle compte une vingtaine de signatures de noms connus, dont : 
Benoît Hamon, chômeur à la tête de la coquille vide Génération.s, le député Dominique Potier, Georges Fenech (LR né en Tunisie) ou Daniel Cohn-Bendit, prosélyte pédophile (son livre Le Grand Bazar, évoque ses activités d’aide-éducateur au jardin d’enfants autogéré de Francfort.)
mais aussi des magistrats et des journalistes tels que les magistrats honoraires Josiane Bigot, Présidente de l'association Themis (qui vise à sensibiliser les enfants à leurs droits), ainsi que présidente de l'association Oberholz, qui accueille et héberge des jeunes relevant de l'Aide Sociale à l'Enfance (ASE) et de la Protection Judiciaire de la Jeunesse (PJJ), et Jean-Pierre Rosenczveig, président du tribunal pour enfants de Bobigny et auteur, en qualité de conseiller au cabinet de la secrétaire d'Etat à la famille Georgina Dufoix, d'un rapport proposant la reconnaissance officielle par les DDASS de lieux de vie, tel Coral, accusé de pratiques pédophiles (impliquant notamment l'écrivain Gabriel Matzneff, prosélytisme pédophile, Dominique Attias, avocate née à Tunis, ou le trotskiste révolutionnaire et pro-palestinien Edwy Plenel,

ainsi que des artistes et autres membres du show-business spécialistes des pétitions comme le trotskiste Romain Goupil, soutien de ...Macron, Elie Chouraqui, issu d’une famille juive algérienne, Anny Duperey, marraine auprès de l'association SOS Villages d'enfants depuis 1993, Valeria Bruni Tedeschi, comédienne, Philippe Caubère, comédien, Philippe Torreton, marié à la journaliste Elsa Boublil (née d’un père tunisien et d’une mère hollandaise, violée d'abord par le rabbin qui l'initiait au Talmud, puis entre sept et douze ans par son professeur de clarinette), avec qui il a deux autres enfants, Jeanne et Simon, ou Ariane Mnouchkine, 80 ans, dont les grands-parents paternels, sont d'origine juive russe et déportés depuis le camp de Drancy, signataire avec 150 intellectuels d'un texte qui appelait à voter pour Ségolène Royal en 2007 et militante contre l'occupation du Tibet par les Chinois.

Depuis que les troupes de la coalition arabo-kurde ont entrepris de déloger les 
 djihadistes de Daesh du dernier bastion islamiste qu’ils occupent dans l’est de la Syrie, la plupart des femmes et les enfants des combattants islamistes ont pris la fuite ou se sont rendus aux coalisés. 


Le collectif demande à l’Etat français "de tout faire" pour rapatrier la centaine d’enfants français détenus au Kurdistan syrien sous contrôle de l'état souverain de Syrie qui lui refuse l'autonomie.
Les instigateurs de la pétition soutiennent la thèse que ces enfants "dont plus des deux tiers ont moins de six ans" sont "victimes du choix des adultes" qui ont décidé de trahir la France pour combattre dans les rangs djihadistes de Daesh.
La France est le pays le plus touché par les attentats djihadistes commis en Europe et aux Etats-Unis depuis la proclamation du 'califat' de l'Etat islamique, le 29 juin 2014, selon une étude internationale publiée en juin 2017. 258 personnes ont perdu la vie été assassinées  dans treize attentats islamistes en France entre mars 2012 et décembre 2018.
Des bombes à retardement, en toute hypothèse

Les pétitionnaires n'envisagent pas qu'en grandissant ces enfants puissent vouloir venger leurs parents tués. "Ces enfants ne deviendront des bombes à retardement que si la France persiste à refuser leurs rapatriements : en Syrie, Daesh et les groupuscules terroristes n’attendent qu’une chose, les récupérer, argument-ils, alors que ces groupuscules sont en voie d'éradication,  pour mieux les former à devenir des enfants soldats et à haïr les valeurs que nous portons", raconte le site qui héberge la pétition rédigée par Henri Leclerc et Marie Dosé.

Ces épouses des djihadistes et leurs enfants attendent la fouille
par la coalition arabe-kurde des Forces démocratiques syriennes (FDS)
 à proximité de Baghouz, le 27 février


Les Français, contre le retour des enfants d'islamistes tués en djihad 

Les pétitionnaires jugent que "nos institutions sont prêtes à les accueillir, 
qu’il s’agisse de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), des pédopsychiatres, des éducateurs, et des familles d’accueil spécialement formées à cet effet", mais en sous-effectif chronique, selon les mêmes, en fonction des causes.

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On notera que certains pétitionnaires ne s'identifient pas clairement (et peuvent généreusement signer plusieurs fois ?): ainsi derrière le signataire "Marc Georges", libraire (indépendant), ci-contre, se cache Georges-Marc Habib, gérant de la librairie L’Atelier depuis 1993 dans dans le 20e arrondissement de Paris et directeur de la revue 'Page des libraires'.

Le 14 mars, plus de 3.800 personnes avaient ainsi répondu à l’appel du collectif en signant la pétition pour le retour des enfants des islamistes tués en "guerre sainte" et armée.

Une très large majorité de Français se déclare contre leur accueil
Le pouvoir ne s’est pour l’instant pas prononcé clairement sur la question du retour des djihadistes français et de leurs enfants, déclarant qu’il jugerait au cas par cas, .
Une étude Odoxa-Dentsu Consulting est en revanche très explicite.
Réalisée pour le compte du Figaro et de Franceinfo fin février, elle souligne en effet que 82 % des sondés sont favorables à ce que les djihadistes français soient jugés en Syrie. 67 % des sondés souhaitent également que les enfants des terroristes restent en Irak et en Syrie.

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