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mardi 12 mars 2019

Castaner compare Mélenchon à ...Bouteflika

Mélenchon cite le peuple algérien en exemple aux Français face à Macron

Ministre polémiste sur Twitter, le controversé Castaner tacle Mélenchon


Le binôme de Nuñez a comparé la longévité politique du leader de LFI avec celle du président algérien. Le bouffon de Beauvau ne sait plus comment se discréditer. Quelques heures après l'annonce de la renonciation du président algérien Abdelaziz Bouteflika, qui finalement ne briguera pas de cinquième mandat, les réactions politiques se sont multipliées, y compris en France.



Des propos très dégradants pour la fonction supposée se tenir au-dessus de la mêlée, mais qui se retournent au final contre Christophe Castaner. Retranché derrière son écran, toujours via le réseau socialle ministère de l'Intérieur qui fait tirer sur ses concitoyens a semoncé le député des Bouches-du-Rhône, 67 ans, comparant, de manière plutôt déplacée, la longévité de sa carrière politique et celle du dirigeant algérien, 82 ans, frappé par un AVC et atteint d'un cancer à l'estomac.
Une caricature qui a stupéfait les internautes. 
La plupart affirment ne pas comprendre le rapport entre les deux hommes. Certains même, sur le ton de l'humour, pensaient être tombés sur un compte parodique de Christophe Castaner. Ou sur un troll de LREM - cf. PaSiDupes: LREM nie mener des opérations anonymes sur la toile - Un salarié de LREM se cache-t-il sous pseudo derrière la diffusion d'images de vidéosurveillance liées à l'affaire Benalla ?

Lourd contentieux de coups entre Castaner et Mélenchon

En début de soirée, dans un court message sur Twitter, c'est le leader de la France insoumise Jean-Luc Mélenchon qui félicita le peuple algérien pour sa "mobilisation" massive", estimant qu'en "France, on devrait y réfléchir" face à Macron.

Fin 2018, quelques jours après les perquisitions mouvementées au domicile de Jean-Luc Mélenchon, Castaner avait estimé que chacun devait "assumer de rendre des comptes quand la justice le souhaite."

Plus récemment, en marge des rassemblements des Gilets jaunes, le meneur de la France insoumise critiquait ouvertement les violences policières sur ordres du ministre, face à la révolte sociale des Gilets jaunes, estimant que l'ex-socialiste passé dans le camp Macron va "laisser une trace de sang", faisant référence aux incidents mutilations liées aux LBD.


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