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samedi 2 mars 2019

A Toulouse, des manifestants infiltrés parmi les Gilets Jaunes préparent des "bombes" anti-flics très spéciales

L'extrême gauche prépare des "bombes" à la mode anti-Maduro et zadiste

Un syndicat de police 
a dénoncé l'utilisation de "bombes à excréments" contre les forces de l'ordre
Lancés sur les forces de l'ordre, ces "bombes" les couvrent d'excréments, procédé utilisé par les zadistes de N-D-des-Landes 
Il a ainsi donné des idées aux très raffinés contestataires de Toulouse, ville de culture gauchiste. Sur les réseaux sociaux, des casseurs infiltrés parmi les Gilets jaunes annoncent la préparation de ce que l'on nomme des "Cacatov". La photo circule depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux : de petits ballons jaunes, a priori, remplis d'une mixture marronnâtre, accompagné de ce commentaire "Toulouse prépare ses bulletins de vote pour samedi. On souhaite un bon appétit aux CRS !"

Des coktails molotov au "caca"
Ces "bombes à excréments" appelées "Cacatov" sont la variante écologique des "cocktails molotov". Des projectiles que des opposants à la politique anti-sociale de Macron compteraient utiliser à nouveau pour la mobilisation du samedi 2 mars 2019 à Toulouse.
Un agent de police aurait été "la cible d'un jet d’excréments sous forme liquide en marge de la manifestation de l’acte 15," à Paris, selon Le Parisien.

Des méthodes dénoncées par le syndicat UNSA Police SDSS. 
Ce syndicat possède une sous-section catégorielle consacrée à la police de proximité parisienne de la Sous Direction des Services Spécialisés.

"Abjecte ! UNSA Police section SDSS dénonce des actes prémédités et… dégoûtants !", a tweeté le syndicat le soir du samedi 23 février au sujet du jet qui aurait eu lieu place du Trocadéro. Contacté dimanche soir, un délégué syndical précise que son "collègue a été visé par un bocal, de la taille d’une bouteille d’1 ou 2 litres, qui contenait de la crotte de chien mélangée à de l’eau". Les faits se sont déroulés, explique-t-il, alors que des collègues procédaient à l’interpellation de deux personnes. Ces derniers ne sont donc pas les auteurs du jet de matières fécales, comme pouvait le laisser penser le message Twitter de samedi soir.


Des antécédents historiques...  
Ce type d’action a déjà été utilisé au printemps 2017 contre le président bolivarien Nicolás Maduro, successeur de Chavez, au Venezuela,  et, en avril 2018, lors de l'évacuation de la ZAD de Notre-Dame-des-Landes.

Au bout de six semaines de mobilisation, les Vénézuéliens ont à leur tour troqué leurs cocktails Molotov contre cette arme artisanale et non létale, à la différence des LBD 40.
Aux yeux de la justice, ce geste dégradant constitue une violence et peut être puni de trois ans d’emprisonnement et de 45.000 euros d’amende.

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