Comme la "visite-surprise de Gasny, près de Grand Bourgtheroulde (Eure), celle de Saint-Sozy (Lot) était prévue, mais pas annoncée...
La presse "libre et indépendante" joue le jeu du pouvoir contre les citoyens
Macron -- très blond tout-à-coup -- est "en visite surprise" (France bleu) dans l'école primaire et maternelle de Saint-Sozy (Lot) où
les élèves de quatre communes différentes sont soumis au ramassage scolaire
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Peut-elle se plaindre de réactions vives de la population, cette presse vendue ?
BFMTV écrit "Emmanuel Macron s'est invité au conseil municipal de Gasny, près de Vernon. Une surprise avant de poursuivre son déplacement dans l'Eure pour l'organisation du Grande débat national" (15 janvier 2019).
Camille Langlade, chef du service politique, met beaucoup d'énergie à mentir aux Français :
Tenez-vous bien, le maire de Vernon, en 2014-2015, fut ...Sébastien Lecornu.
Autres 'infox' (CNews et lalsace.fr) qu'Antoine Krempf (Le Vrai du Faux) ne dénoncera pas davantage que celle de sa chaîne de service public, ci-dessus :
Macron se fera tacler à Gasny, dont le maire est DVG, "qui n'avait pas été prévenu de la visite", selon l'internaute.fr (groupe Le Figaro) :
Rebelote dans le Lot : le service de com' de l'Elysée récidive
En déplacement "pour rencontrer des maires et élus locaux" (sic), le président de la République aurait encore effectué une "visite surprise" dans une école de Saint-Sozy, dans le Lot, vendredi 18 janvier, annonce l'AFP, reprise par Orange Actu.
Dans le même temps, la situation s'est tendue à Souillac, où des affrontements ont opposé forces de l'ordre et manifestants privés de débat avec celui qui prétend être à l'écoute des Français. Emmanuel Macron était attendu dans la ville en milieu d'après-midi.
Malgré l'interdiction manifester, des dizaines de personnes se sont rassemblées à Souillac vendredi matin, en amont de la venue du chef de l'État. Des "gilets jaunes", retraités et individus masqués se sont opposés aux policiers et gendarmes sur place. Deux personnes ont été interpellées et les forces de l'ordre ont distribué des coups de matraque, ont indiqué des journalistes de l'AFP. La tension est ensuite retombée.
Avant ces heurts, les manifestants avaient entonné la Marseillaise et scandé "Macron démission". "Il y a des gendarmes partout. Ce matin j'ai été chercher des œufs et ils ont voulu me les confisquer, c'est n'importe quoi", a lancé Daniel, un retraité et "gilet jaune".
Emmanuel Macron est attendu à Souillac à 15 heures pour poursuivre le grand débat devant des élus ruraux invités. La ville de 3.750 habitants a été placée sous haute surveillance pour la venue du président : bien que les équipes de l'Elysée ne soient pas des 'black bloc', les commerces sont en majorité fermés, le marché a été annulé et les manifestations interdites.
Camille Langlade est encore en première ligne de la désinformation stalinienne.
Avant d'écouter les doléances de 600 maires, comme il l'avait fait mardi dans l'Eure pour le lancement du grand débat national, "Emmanuel Macron a effectué une visite surprise dans une école primaire du Lot, à Saint-Sozy", à une quinzaine de kilomètres de Souillac, écrit l'AFP, copiée-collée par les fainéants de la presse hexagonale.
En compagnie du ministre de l'Education, Jean-Michel Blanquer, et du ministre chargé des Collectivités territoriales, Sébastien Lecornu, le président a discuté avec des parents d'élèves, avant de passer une demi-heure dans une classe de CE1-CE2.
N.B.
Damien Fleurot (chef du service politique de Cnews) a avoué ce midi que les visites-surprises du président ne sont pas improvisées. Elles ne sont simplement pas annoncées : Macron a-t-il renoncé à faire de la pédagogie avec certains Français ? Jupiter aurait-il peur des "gueux" ?
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