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mercredi 24 avril 2013

Le mariage homosexuel s'ouvre, mais Florange et Aulnay ferment

Hollande, la parole sans les actes 


"Longue langue, courte main."


Un texte de la gauche autorise le mariage homosexuel en France

Le ministre des Relations avec le Parlement continue d'afficher l'arrogance du pouvoir
et clame que le gouvernement ne craint "pas du tout" une censure constitutionnelle de la loi ouvrant le mariage aux couples homosexuels, car le gouvernement "a pris toutes les précautions". 

Comme France Info lui demandait mercredi si le pouvoir socialo-écolo est inquiet de l'avis du Conseil constitutionnel, saisi par la droite, 
Alain Vidalies (PS), Alain Vidalies a répondu: "non, pas du tout. Le Conseil est souverain, naturellement" mais "le gouvernement est serein".
"Il y a déjà eu une décision sur le fond, rendue à l'occasion d'une Question Prioritaire de Constitutionnalité, dans laquelle, au fond, le conseil disait que c'est évidemment au législateur et à lui seul de répondre sur le fond", a affirmé le responsable socialiste. "Après, il y a toujours des incertitudes...", néanmoins.
"On a pris toutes les précautions pour que le Conseil ne prenne aucune décision contre ce texte", a estimé l'élu landais, "y compris sur les questions d'adoption". 
Les sénateurs de l'opposition et les députés UMP ont saisi mardi le Conseil constitutionnel sur le projet de loi sur le mariage homosexuel, peu après son adoption définitive par l'Assemblée.
VOIR et ENTENDRE Alain Vidalies assurer qu'il n'est "pas du tout" inquiet d'une censure


Le pouvoir socialiste tourne la page de la sidérurgie lorraine
"Mise à mort" des hauts-fourneaux de Florange, titre Le Monde.fr
Mercredi 24 avril 2013, Hollande tourne sournoisement une page de l'histoire industrielle française avec la mise à l'arrêt définitive des hauts fourneaux de Florange, une étape symbolique que certains syndicalistes veulent célébrer par la pose d'une stèle en mémoire des "promesses non tenues" de François Hollande. "Pendant [ce temps], derrière nous, ils seront en train de porter le dernier coup dans la mise à mort de notre outil de travail", a résumé mardi Walter Broccoli, représentant FO ArcelorMittal à Florange. 

Le gaz alimentant  les deux cathédrales d'acier du site d'ArcelorMittal, le P3 et le P6, sera coupé entre mercredi et jeudi, au cours d'une procédure qui durera 48 heures. "Ça veut dire qu'on ne pourra plus redémarrer les hauts fourneaux, à moins d'investir dans de nouvelles installations", analyse François Lopera, de la CGT.  La procédure complète de mise sous cocon de l'usine à chaud, qui devrait être achevée d'ici à la fin de juin. Cette fermeture d'une partie de l'usine, qui conserve ses activités dites "à froid" (packaging et automobile), était prévue dans l'accord conclu à la fin de novembre entre Monteboug pour le gouvernement et Mittal, numéro un mondial de l'acier, qui la jugeait inéluctable en raison du contexte économique.

Le texte assurait également qu'il n'y aurait aucun licenciement sec
pour les 629 salariés concernés (sur les quelque 2 500 du site), 206 d'entre eux ayant atteint l'âge de la retraite depuis la signature de l'accord, alors que la promesse de reclassement des 423 salariés encore en activité sera l'objet des prochaines négociations sociales.

Engagement de François Hollande
VOIR et ENTENDRE le candidat Hollande polémiquer, promettre et lier son sort à celui de Florange:

discours_hollande_florange par Lexpansion

L'accord prévoyait par ailleurs l'engagement d'ArcelorMittal d'investir 180 millions d'euros en cinq ans dans la filière à froid. "Ces engagements seront tenus et j'en serai, avec le gouvernement, le garant", avait assuré Hollande en décembre. Mais pour les syndicats, qui reprochent au gouvernement d'avoir capitulé face à la stratégie industrielle à court terme de Mittal, cet accord est un échec. C'est ce qui a valu au premier ministre Jean-Marc Ayrault le titre de "traître" par Edouard Martin, militant CFDT devenu le chef de file médiatique du combat des "Florange".

Après l'abandon du projet Ulcos, ArcelorMittal a assuré qu'il poursuivrait ses programmes de recherche en France, autour d'un nouveau projet baptisé Lis. Lundi, le groupe a annoncé 32 millions d'euros supplémentaires d'investissements dans ce programme par le biais d'un partenariat public-privé, mais les possibles applications industrielles ne seront pas connues avant six ans, durée de la mise sous cocon des hauts-fourneaux.

Hollande sera-t-il encore là pour constater la validité de ses promesses ?

PSA pourrait fermer l'usine d'Aulnay dès 2013 au lieu de 2014, selon son directeur financier

Un employé en intérim à l'usine d'assemblage PSA d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le 10 avril 2013. 
Un employé en intérim à l'usine d'assemblage
PSA d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), le 10 avril 2013
Une annonce qui anticipe une fermeture prévue pour 2014. 
Après celle de Renault-Vilvorde (Belgique) par L. Jospin, la fermeture de l'usine PSA d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) par F. Hollande pourrait intervenir dès 2013, selon le directeur financier du groupe automobile français. Quelques minutes plus tôt, le constructeur a annoncé un chiffre d'affaires en baisse de 6,5% au premier trimestre 2013, mercredi 24 avril. Il s'établit à 13,03 milliards d'euros. 
Jean-Baptiste de Chatillon, le directeur financier de PSA Peugeot Citroën, a mis en cause la grève qui paralyse le site d'Aulnay depuis l'annonce de sa fermeture, en juillet 2012. "Le fait qu'un petit nombre de personnes continuent à perturber notre usine pourrait nous obliger [à la fermer]", a-t-il averti. Et d'ajouter que le constructeur s'est déjà organisé pour produire la C3, normalement fabriquée à Aulnay, sur le site de Poissy, dans les Yvelines.

De mauvais chiffres au 1er trimestre 2013
En annonçant la baisse du chiffre d'affaires, PSA dit sa crainte que le marché européen puisse "être plus difficile qu'attendu", en 2014. Cela pourrait l'amener à "de nouvelles mesures opérationnelles", sous la forme d'un accord de compétitivité sur ses sites en France. PSA Peugeot Citroën vise un retour à l'équilibre de sa trésorerie opérationnelle fin 2014.

La gauche est toujours plus active dans le sociétal et  le coulage de la famille et que dans le social et  le sauvetage des entreprises.

1 commentaire:

  1. humour du jour

    " Autoradio :

    Un gars achète une nouvelle voiture... (De nos jours je ne lui conseille pas)

    > Le vendeur lui indique qu'elle est équipée d'un autoradio à commande vocale nouvelle génération.... et lui fait une démonstration.
    > - Choisissez un chanteur demande-t-il au client
    > - Halliday ! dit l'acheteur..
    > L'autoradio lui demande : "Johnny ou David ?"
    > L'acheteur, interloqué... répond : "Johnny." et l'autoradio diffuse une chanson du Jojo national...
    > Le gars demande au vendeur s'il peut faire un nouveau test.
    > Le vendeur : " OK, vous allez voir, la radio répond à tous les coups ! "
    > L'acheteur lance : "Iglesias ?"
    > L'autoradio demande : "Julio ou Enrique ?"
    > L'acheteur en reste baba et dit : "Julio" et la radio passe "tout n'a pas changé !"
    > Enchanté, le gars prend la voiture, sort du garage et se fait couper la route par un abruti qui manque de l'accrocher.
    > Le gars crie au chauffard : "Enculé, connard, trou du cul !!!"
    > Et la radio lui demande : "Hollande, Aubry, Ayrault, Duflot ou Mélenchon ? "


















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