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lundi 22 avril 2013

Mariage homosexuel: les images diffusées étaient reductrices et les chiffres truqués

Les photos trafiquées de la Préfecture de Police font l'objet d'une enquête

L'insoutenable traquenard du vote



Alors que la désinformation fait rage sur les media engagés,  la chronique de  Bernard Seillier, publiée le 15 avril 2013 par Le Figaro laisse sans voix. L’ancien sénateur de l’Aveyron dénonce la procédure " à main levée ", qui, au Sénat, a permis le vote du projet de loi autorisant le mariage homosexuel. 

Il dénonce une évidente une mystification, signes d’une inquiétante décadence de la vie parlementaire. Si le projet de loi est passé au sénat, grâce à deux voix de l'UMP, malgré un vote à main levée, c'est qu'il y a eu entente préalableUne "entente préalable (...) pour qu’il n’y ait pas de scrutin public susceptible de révéler le véritable vote de chacun et vraisemblablement l’absence de majorité pour adopter le texte." 

La manipulation d'une vidéo


Un documentaire, relayé par les opposants au projet de loi, affirme que
les clichés de la police pris lors de la manifestation géante du 24 mars ont été falsifiés dans le but de minorer l'ampleur de la mobilisationLe flou des clichés, de très basse qualité, pris avenue de la Grande Armée à Paris, est tel que les images laissent à penser que l'avenue était vide de tout manifestant sur plusieurs dizaines de mètres. De quoi mettre en doute le comptage des organisateurs: 1,4 million de manifestants revendiqués, contre 300.000 selon la police.


Les photos 
les plus impressionnantes 
mentaient

La thèse du trucage des photos de la préfecture est développée dans un documentaire d'une dizaine de minutes diffusé sur la page Facebook d'une petite maison de production parisienne, Tprod. L'auteur du reportage, le journaliste indépendant Pierre Barnérias, a été alerté de l'existence possible de photos retouchées par un blogueur proche du mouvement de la Manif pour Tous. Le journaliste a soumis les clichés de la Préfecture de police à un technicien, qui les a analysés avec un logiciel capable de repérer les trucages photo. "Je peux confirmer que toutes les photos n'ont pas eu le même traitement", explique-t-il. Certains fichiers "ne sortent pas directement de la caméra" de l'hélicoptère de surveillance de la police, et auraient été modifiés. "Rien n'a été ajouté ou gommé, mais des choses ont été tellement mélangées qu'elles n'apparaissent plus".

Quand la réalité cachée
dépasse la fiction
La préfecture et l'Agence France Presse démentent.

L'Agence France Presse admet d'abord que "les photos sont tellement compressées qu'il en résulte une déperdition d'informations qui pouvait laisser penser qu'elles avaient été retouchées", mais elle estime aujourd'hui qu'il n'y a eu aucun trucage, après avoir pu visionner à la préfecture de police la vidéo dont sont tirés les clichés. "Après une série de vérifications, l'AFP a conclu que les images aériennes de la manifestation du 24 mars mises à disposition par la préfecture de police de Paris n'avaient pas été manipulées", explique le directeur de l'information de l'agence. 
Quant au logiciel utilisé, il ne serait pas performant sur les captures d'écran de mauvaise qualité, selon un journaliste de France Info.

La préfecture de police a elle affirmé dans un communiqué que "la rumeur d'une falsification des photographies aériennes de la manifestation du 24 mars [...] est sans fondement".


Quatre laboratoires étrangers ont planché sur les photos et donc sur les
chiffres stupéfiants de la Préfecture de police.





La conclusion est sans appel : ces vingt-quatre photos très basse définition, dans un format inconnu, ont été retouchées. Grave, monsieur le ministre de l'Intérieur ! 


Un mot d'ordre de "radicalisation" du mouvement 

L'accusation était trop systématique pour être objective.
Elle revenait en boucle sur toutes les chaînes de radio et de télévision et si, paresseusement, les salles de rédaction se laissent imposer les biais des agences de presse,  aucune, pour une fois, n'aurait dû s'abaisser à relayer une contre-vérité aussi criante que celle du Ministre de l'Intérieur, qui maintient le chiffre de 300.000.



VOIR et ENTENDRE Chantal Jouanno (UDI) dramatiser des métaphores prises au pied de la lettre pour diaboliser les opposants au projet de saccage du Code civil et de la famille:


Mais la vérité n'est pas nécessairement du côté du plus grand nombre. 

Manuel Valls sait qu'il y avait au moins 1,5 millions de manifestants. Quelle chaîne va reprendre le scoop de Frigide Barjot ce matin sur RTL ? Qui parlera de ces photos retouchées ? S'il y avait eu dialogue comme le disent à qui veut l'entendre Erwann Binet et sa bande, pourquoi l'État a-t-il besoin de mentir ?


1 commentaire:

  1. Elle est mure pour prendre sa carte au ps..............

    sarko a encore mal joué avec celle-là...............avez vous ces manières dans sa façon de parler..........

    pauvre cherie 2 flics pour elle toute seule.........ça me rebecte tous ces opportunistes de droite comme de gauche .....cette bonne femme se sent menacée.......moi ma mére elle se sent menacée tous les jours en allant faire ses courses
    depuis qu'on lui a volé son porte monnaie.....par un mec entré derriere elle dans la copropriété.....

    Quel mérite a t elle pour etre sénatrice si ce n'est de se gaver comme autres et voter pour que des orphelins soient fabriqués pour les homos................

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