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mardi 16 avril 2013

Notre-Dame-des-Landes, une politique socialiste de la terre brûlée

La "gauche molle" compense avec la force brutale  

Radicalisation du gouvernement
Des affrontements entre forces de l'ordre et opposants au projet de construction de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes près de Nantes ont fait des blessés lundi, trois policiers et un manifestant, a-t-on appris de source policière.
Les heurts ont éclaté vers 07h00 au niveau du Chemin de Suez qui mène à la Châtaigneraie, lieu de rassemblement des opposants au projet.

Les manifestants ont jeté des bouteilles et des cocktails molotov sur les forces de l'ordre qui cherchaient à les déloger et ont fait usage de gaz lacrymogène et de grenades assourdissantes.

Un gendarme, brûlé superficiellement par un cocktail molotov, et un manifestant touché au visage ont été conduits à l'hôpital. Deux autres gendarmes ont été blessés.

Le projet de construction de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, porté par le Premier ministre

L'ancien maire de Nantes, Jean-Marc Ayrault, ne démord pas de cet aéroport bien qu'il ait donné lieu à des heurts parfois violents ces derniers mois sur le site du futur aéroport.
L'exécutif reste sourd sur ce dossier comme il s'entête également sur le projet de modification du Code civil sur le mariage et la filiation homosexuels, opposant le mépris aux contestataires. Pourtant la presse ne critique pas la présence d'enfants sur les lieux de la lutte des écologistes radicaux comme ils ne s'en privent pas à propos des familles manifestant contre la filiation homosexuelle. 

Ayrault a réaffirmé la semaine dernière sa volonté de construire son Ayrauport toute en promettant que le projet sera amendé pour tenir compte des critiques des rapports commandés pour apaiser la contestation sur le terrain.

Le rapport de la commission de "dialogue" remis au gouvernement la semaine dernière (video ci-dessous) confirme la nécessité d'un nouvel aéroport tout en émettant des réserves sur l'argumentaire du projet.

Pas de dialogue avec les Français de droite.
Pas de commission de "dialogue" pour les citoyens de seconde zone.

La presse de gauche, dont Caroline Fourest, s'accommode de cette discrimination anti-démocratique qui fait se soulever le peuple de France.

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