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jeudi 18 avril 2013

La raffinerie Petroplus ferme, mais Hollande se consacre au mariage homo

Hollande, meilleur destructeur que sauveteur 

Deux des quatre dossiers de reprise de la raffinerie Petroplus  avaient été jugés recevables
 

A Petit-Couronne (Seine-Maritime) on voulait y croire. Il s'agissait des propositions du Panaméen NetOil et le Libyen Murzuq Oil. 


L'intersyndicale CGT-CFDT-CFE-CGC s'était aussitôt félicitée de cette décision qu'elle réclamait. "C'est très bonne nouvelle", a déclaré, à l'issue de la réunion du comité d'entreprise à la raffinerie, Jean-Luc Brouté, secrétaire général du syndicat CGT.


Des salariés menés en pédalo

VOIR et ENTENDRE un reportage BFMTV du 7 février 2013:



Le tribunal de commerce de Rouen a rejeté mardi les deux dernières offres de reprise de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne (Seine-Maritime), liquidée en octobre. Le sort de cette usine de 470 salariés est donc scellé.


La procédure de licenciement collectif des salariés sera déclenchée dans les jours prochains, a indiqué le groupe.

F. Hollande, L. Fabius et G. Bachelay, 
tout sourire avec Yvon Scornet
avant la présidentielle
Ouverte en 1929, la raffinerie avait déposé son bilan le 24 janvier 2012 à la suite de la faillite de sa maison-mère suisse. Sa liquidation avait été prononcée en octobre par le tribunal de commerce de Rouen, qui avait toutefois autorisé la poursuite de l'activité jusqu'à ce jour.

Les deux offres de reprise rejetées


"Malheureusement, les repreneurs n'ont pas été en mesure de lever l'ensemble des ambiguïtés, l'ensemble des doutes qui résidaient dans leurs offres : en conséquence, le tribunal n'a pu que rejeter les offres qui nous étaient présentées aujourd'hui", a indiqué Me Jean-Pierre Valentin, l'avocat du comité d'entreprise. Quelques cris "nationalisation !", ont fusé immédiatement après cette annonce dans la foule de 300 personnes rassemblée devant le tribunal, où s'étalait une banderole "non à la mort du raffinage".


Après avoir repoussé la date limite de dépôt des offres de repreneurs  huit reprises depuis le dépôt de bilan de la raffinerie en janvier 2012, le tribunal  a rejeté les deux offres de reprise, celle du Panaméen NetOil, sur les rangs depuis juillet 2012, et celle de Murzuq Oil, apparu ces dernières semaines. "Je rentre chez moi en Libye, je suis déçu", a affirmé le président de Murzuk Oil, Mabrouck Jomode Elie Getty. "On a respecté les choses de A à Z, on nous demandait d'avoir de l'argent, du pétrole et l'avenir pour les salariés, je ne peux pas faire plus."

VOIR et ENTENDRE Montebourg tacler François Hollande:

Hollande," le principal défaut du Parti socialiste", selon Nono...

"Les repreneurs n'ont pas apporté les garanties"
"C'était aux repreneurs de faire la preuve de leur sérieux, hélas il n'en ont pas apporté les garanties, cette décision est un crève-coeur", a commenté le compassionnel député PS de Seine-Maritime Guillaume Bachelay.

Le directeur de la raffinerie Philippe Billant a indiqué pour sa part qu'un liquidateur avait été nommé, qui "vendra les actifs isolés". Selon lui, il est encore trop tôt pour déterminer l'avenir du site qui pourrait être déconstruit ou transformé.

VOIR et ENTENDRE un compte-rendu consacré à la fermeture définitivement de Petroplus :

Le gouvernement promet le reclassement des salariés 

Après la fermeture de la raffinerie Petroplus, le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a reconnu sur RTL ce jeudi que "l'Etat peut beaucoup. Mais il ne fait pas des miracles". A la manière d'un Lionel Jospin. 
"C'est un échec pour la France parce que nous n'avons pas réussi collectivement, les juges du tribunal de commerce, les administrateurs judiciaires, le gouvernement, les organisations syndicales, qui ont travaillé ensemble", a constaté le brasseur de vent qui affirme s'être "battu pendant un an" pour rien

Pourtant, "si c'était à refaire, je le referais", poursuit le sémillant démondialiseur qui affirme avoir 1900 dossiers d'entreprises en difficulté sur son bureau.


Arnaud Montebourg : "L'État ne peut pas faire... par rtl-fr

Le Premier ministre, Jean-Marc 
Ayrault, a déclaré mercredi que l'Etat "recherchera un repreneur jusqu'au bout" pour la raffinerie Petroplus, en assurant que le gouvernement ne voulait "pas laisser tomber maintenant" le personnel de l'entreprise. 

470 salariés sont concernés. 
La procédure de licenciement collectif des salariés sera déclenchée "dans les jours prochains", a précisé le groupe mardi.


1 commentaire:

  1. Rah la la la la alors, il va falloir que CerveauMou Premier revienne dans les media tout vous expliquer, par ce que vous n'avez toujours rien compris; heureusement que grâce aux Ministère de la Ré-Education de Peillon et de la Sexualité Indéterminée de Vallaud-Belkacem, les nouvelles générations vont être soigneusement endoctrinées dès le berceau.

    La fermeture d'usines et d'entreprises n'est pas un problème, et la perte d'emplois pour des milliers et des milliers d'ouvriers (au masculin-- parce qu'on leur a imposé ce genre, les pauvres) est une chance pour la condition féminine (que les personnes aient accepté le genre que leur a imposé la grande Nazie la Nature, ou l'aient choisi).

    Lisez bien, relisez et répétez et apprenez par coeur, sinon on viendra vous chercher et vous mettre en prison pour avoir commis de tels dérapages (in)dignes des "heures les plus sombre de l'histoire"...

    D'une part, les méchants ouvriers machistes qui prétendent travailler à l'usine à la place des femmes, pourront maintenant faire des taches de femmes, de la même manière que les petits enfants-de-genre-0 seront obligés de jouer à la poupée et de se faire des couettes, et les petits enfants-de-genre-0 seront obligés de jouer à la guerre et de se taper dessus.

    (Note pour les "sale réacs" qui n'ont pas encore assimilé: "garçon" et "fille", c'est fasciste; il faut dire "genre 0", tant que "ça" n'a pas encore choisi, et "ça", pas "ils" ou "elles" pour un groupe homogène ou "ils" pour un ensemble hétérogène-- si l'on veut bien me pardonner l'usage de ce sale préfixe, en attendant l'invention d'un nouveau).

    Ensuite, les femmes, puis leurs enfants-de-genre-0 qui auront choisi le genre 1 (ou 2; on ne sait pas encore quel numéro sea attribué à quoi), pourront travailler dans les usines nouvelles, une fois les réaménagements effectués.

    "Quels réaménagements?", demandez-vous?

    Vous êtes désespérant...

    Transformer ces industries en usines à enfants, voyons!

    Bergé l'a expliqué: les femmes iront louer leurs ventre!
    Les hommes fourniront le matériau nécessaire dans une usine, et il sera injecté aux femmes dans une autre usine-- évitant ainsi l'ignoble méthode attardée, si répugnante, et profondément homophobe qu'ont les réacs fachos, collaborateurs de la Nature Nazie, de produire des enfants.

    Le Ministère de l'Elevage et de la Distribution se chargera de la suite: les bons Français (de Gauche, LGBTI ou simplement adhérents du Parti et d'au moins un syndicat) auront droit aux meilleurs produits gratuitement; pour quelques euros de plus (à la charge des autres, voyons!), ils pourront choisir certaines options (couleur de la peau, des yeux, ...); les mauvais Français (le reste) auront le droit d'acheter cher les mauvais produits (invendus, rendus car défectueux, ou jetés et recyclés après... "usage"... par certain(e)s).

    Cette nouvelle fermeture d'usine n'est donc pas une catastrophe mais un nouveau beau grand pas vers le Paradis Socialiste Français!
    Plus d'ouvriers (masculins) exploités car plus d'ouvriers! (Comme pour le racisme après suppression du mot "race")
    Le plein emploi pour les femmes et les hommes, à parité!
    Le bonheur familial pour les (bons) Français (ceux de Gauche, quoi)!

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