Partout contesté, lors de son "itinérance" christique, Macron lance : "C'est un vrai bonheur, vous me voyez, je suis très heureux"
Inaudible dans sa tentative de valorisation de ses mesures impopulaires et taclé chaque jour, Macron fait de la provocation
Le chef de l'Etat qui n'en finit plus de se faire pointer depuis le début de son itinérance (Pétain, hausse de la fiscalité sur les carburants, CSG, etc ..) s'est pourtant déclaré "très heureux".
Ce déplacement devait être avant tout l'occasion de rencontrer les Français et de tenter de renouer avec eux, alors que sa popularité a chuté à 27%. Mais ses dérapages incontrôlés (sur Pétain) et ses insultes ("vous êtes ridicule", à un syndicaliste de Renault à Maubeuge), ont creusé encore un peu plus la tranchée qui le sépare de la population. Les Français étaient indifférents à sa venue en régions, mais la plupart ont désormais sorti les poings fermés des poches.
Mais celui qui assure "entendre" la plainte des Français ne veut rien écouter, seulement parler, faire de la "pédagogie" pour les "gens qui ne sont rien" et qui ne comprennent rien à sa politique, trop "cyniques", les syndicalistes, "illettrés", les défavorisés, ou séniles, les retraités.
VOIR et ENTENDRE un résumé des principales confrontations entre Macron, provocateur, et la population, excédée, avec laquelle il prétend renouer, mais à laquelle il promet que ça va encore "secouer" :
Excusez la pub imposée par la chaîne privée; la suite vaut peut-être ce pensum.
On aura noté, outre le ton et l'ambiguïté de la journaliste de BFMTV, les contre-vérités de ce balourd de Benjamin Grivreaux et le contraste entre le commentaire, les affirmations de Macron et les images.
On aura noté, outre le ton et l'ambiguïté de la journaliste de BFMTV, les contre-vérités de ce balourd de Benjamin Grivreaux et le contraste entre le commentaire, les affirmations de Macron et les images.
Un homme placé en garde à vue pour avoir insulté Macron à Arras

Après avoir terminé son cinquième jour "d'itinérance mémorielle" sur les traces de la Grande Guerre, le président de la République a cru bon d'aller titiller la foule avant de quitter Arras, jeudi.
A sa sortie de l'hôtel de ville, il a été acclamé par plusieurs dizaines de militants convoqués, qui ont scandé à tue-tête des "Merci Macron!" ou encore "Macron, président !". Mais après avoir posé pour des selfies avec les ravis, le chef de l'Etat a été ramené sur terre par un homme, comme le rapporte La Voix du Nord.
"Prends mon kebab, je pars en garde à vue"
Derrière le cordon "sanitaire" de supporteurs LREM extatiques alignés pour scander le nom du président à la manière maoïste, des huées s'élevèrent au fond de la place, couvrant le chant des partisans. Disons plutôt le choeur des esclaves à Macron.
"Prends mon kebab, je pars en garde à vue"
Derrière le cordon "sanitaire" de supporteurs LREM extatiques alignés pour scander le nom du président à la manière maoïste, des huées s'élevèrent au fond de la place, couvrant le chant des partisans. Disons plutôt le choeur des esclaves à Macron.
Badge de la France Insoumise bien apparent au revers de son blouson rouge, une militante peste contre "la bourgeoisie arrageoise qui acclame le chantre d’un libéralisme qui est en train de nous tuer à petit feu".
Un autre habitant qui avait enfilé le gilet jaune fluo qu’il portera le 17 novembre dénonce "un convoi d’au moins quinze bagnoles. Ça se voit que ce n’est pas lui qui paie le carburant ! "
Un autre habitant qui avait enfilé le gilet jaune fluo qu’il portera le 17 novembre dénonce "un convoi d’au moins quinze bagnoles. Ça se voit que ce n’est pas lui qui paie le carburant ! "
"Va t’faire égorger, sale fils de p...", aurait lancé l'homme à destination d'Emmanuel Macron, selon le media local. Un coup de sang qui lui a valu d'être immédiatement interpellé, puis placé en garde à vue.
Loin de se laisser impressionner, l'individu aurait donné un sac plastique à sa compagne, avant de monter dans le fourgon de police, en lui disant: "Valérie prends mon kebab, je pars en garde à vue". Selon France 3, l'homme âgé de 30 à 40 ans aurait été en état d'ébriété et en possession de stupéfiants au moment des faits.
Emmanuel Macron quitte la mairie d’Arras. Un type l’insulte de loin, il est embarqué par les policiers: « Valérie, je te file mon kebab, je pars en garde à vue ». Réplique de la soirée...— Patrick Sauce (@SaucePatrick) 8 novembre 2018
Bibi-le-Bienheureux est juste content de ne pas passer inaperçu...
Pour celui qui a proféré des menaces de mort et insulté le président Macron , ce sera un ...rappel à la loi.
Dans les lycées et collège, les professeurs n'ont plus qu'à se tenir à carreau...
Pour celui qui a proféré des menaces de mort et insulté le président Macron , ce sera un ...rappel à la loi.
Dans les lycées et collège, les professeurs n'ont plus qu'à se tenir à carreau...
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