Coup de chaud pour la garde rapprochée de Trump à Paris
Les services de police du prétentieux se disaient au top...
Une faible femme parvient toutefois à tromper leur vigilance
#BalanceTaFemen qui te harcèle. Trois militantes Femen se sont dénudées parmi les journalistes accrédités et ont également déjoué la sécurité des commémorations du 11-Novembre à Paris dimanche, avant de s’afficher seins nus au passage de la limousine de Donald Trump sur les Champs-Elysées. L’une d’elle s’est notamment fait passer pour une journaliste sélectionnée pour l’événement. C'est énorme, quand on sait que les journalistes sont physionomistes et se connaissent parfaitement entre eux pour être un petit nombre très stable d'élus des services de l'Elysée. C'est énormissime, sachant que 10.000 policiers, des professionnels de la sécurité politique, étaient mobilisés pour prévenir les risques et empêcher toute menace ou passage à l'acte visant un responsable politique français ou étranger.

Cette femme a été reconnue sur une photo comme l’une des trois Femen interpellées après leur intrusion au passage du cortège. Le groupe féministe nie avoir quel que rapport que ce soit avec cette personne et l’Elysée se refusait à tout commentaire en fin de journée.
Le ministre de l’Intérieur assure que ni la sécurité du cortège, ni celle du président américain n’avait été menacé
"Elles ont été immédiatement neutralisées", a déclaré Christophe Castaner. Ce commando était donc bien constitué de trois éléments et non pas d'une seule activiste, comme certains titres et articles de presse tendent à le faire croire. Qualifiant leur irruption "sans arme et sans menace" d'"opération de communication visuelle" pratiquée par les Femen pour manifester, il a conclu : "L’essentiel, c’est que la sécurité du cortège et du président des Etats-Unis n’a été en rien menacée," a minoré Castaner, après coup.
La Femen a bel et bien réussi à tromper la sécurité, puisqu'elle a réussi à sauter les barrières, à courir jusqu’au milieu de la chaussée et à s'approcher du cortège officiel. Cette militante, à la poitrine dénudée peinte de l’inscription "Fake peacemakers" (Faux pacificateurs), s’es immobilisée les bras en l’air face aux voitures officielles. Elle a été arrêtée par trois membres des forces de l’ordre "dix secondes plus tard", assure-t-on.
Les militantes ont été "immédiatement" interceptées par les forces de l’ordre après avoir sauté les barrières

La préfecture de police a confirmé l’arrestation des trois militantes. Elles étaient en garde à vue pour "exhibition sexuelle". Car "Fake peacemakers, real dictators (Faux , vrais dictateurs") est un slogan éminemment sexuel...
Lors de leurs précédents happenings, elles ont toujours été relâchées sans autre forme de procès. C'est ainsi qu'elles récidives régulièrement et ont souvent pu escorter Hollande.
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