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lundi 30 avril 2012

Le socialiste AllĂšgre votera Sarkozy le 6 mai 2012

Ce proche de Jospin choisit Nicolas Sarkozy


L'ancien ministre socialiste de l'Education nationale du gouvernement Jospin (PS), Claude AllÚgre appelle à voter Nicolas Sarkozy le 6 mai 2012, afin de battre François Hollande qu'il juge incapable de diriger la France.

VOIR et ENTENDRE la déclaration de Claude AllÚgre qui explique son choix:

DÚs janvier 2012, Claude AllÚgre, l'ancien ministre de l'Education nationale de Jospin, annonça dans son livre "Sarko ou le complexe de Zorro " (Plon) qu'il voterait Sarkozy.



" Si j'avais Ă  voter demain matin, je voterais Sarkozy,
car je le crois mieux capable de rĂ©sister Ă  la crise qu'un Hollande hĂ©sitant, imbriquĂ© dans une structure de campagne compliquĂ©e et qui n'a pas Ă  ce jour montrĂ© au sein mĂȘme de son parti d'aptitude Ă  surmonter les crises  ", Ă©crit Cl.AllĂšgre. " Voyez au delĂ  de l'accord Verts-PS, sa façon de mĂ©nager systĂ©matiquement la chĂšvre et le chou ".

AllÚgre rappelle qu'il n'avait pas voté en 2007
" Cette fois-ci, je ne pourrais voter Sarkozy qu'Ă  deux conditions : qu'il prĂ©sente son nouveau quinquennat comme un rassemblement de tous les Français, une sorte d' " union nationale " ; qu'il ne se laisse pas entraĂźner par la droite de l'UMP dans des propositions ou des postures idĂ©ologique sur la sĂ©curitĂ©, l'immigration, la fiscalitĂ© ou l'Ă©conomie qui seraient contraires Ă  mes convictions de toujours ", poursuit CL.AllĂšgre, dans son livre d'entretiens avec le journaliste Dominique de Montvalon. Ailleurs dans l'ouvrage, M. AllĂšgre dĂ©coche une flĂšche contre M. Hollande :
"  Si la France se dote demain, ce que je souhaite, d'un gouvernement d'union nationale, Hollande serait pour le coup un excellent ministre des affaires sociales. Il manƓuvrerait Ă  plaisir les centrales syndicales et n'aurait pas Ă  dĂ©cider  ".
A l'ElysĂ©e, on se fĂ©licite du livre de Claude AllĂšgre sur Nicolas Sarkozy
" Il a un regard lucide qui sera trÚs utile pour Nicolas Sarkozy ", commente un proche du président.

Claude AllÚgre a trouvé la réponse à ses questions préalables
Il confirme son choix de janvier.

2012, le 1er mai des travailleurs qui cotisent

Travail et solidarité sociale

Demain,

TOUS PLACE des DROITS de L'HOMME !

Le comte de Paris appelle Ă  voter Sarkozy, bien que progressiste

Le Comte de Paris a choisi Nicolas Sarkozy

Monseigneur le comte de Paris vient d'apporter publiquement son soutien Ă  Nicolas Sarkozy pour le vote du 6 mai prochain, via son compte Twitter .

Dans son tweet postĂ© vers 13 heures,  le chef de la maison royale de France dĂ©clare " En ces temps troublĂ©s autant qu’opaques, la France a besoin d’un capitaine compĂ©tent parce qu’expĂ©rimentĂ© pour redevenir une France forte. "

A 15h20 le comte de Paris ajoute: " LES CAPETIENS ONT CONSTRUIT UNE FRANCE FORTE. ELLE DOIT LE RESTER ".

DSK, vedette de l'anniversaire du socialiste Julien Dray


DSK provoque un mouvement de foule à la soirée d'anniversaire de Juju Dray



Julien Dray soigne son coeur au bar

Je compte vivement sur votre prĂ©sence et il va s’en (sic) dire qu’aucune excuse et aucune absence ne sera tolĂ©rĂ©e ou acceptĂ©e. Bises et Ă  samedi. Juju. "
C’est par ce mail que Julien Dray a invitĂ© ses amis Ă  fĂȘter son anniversaire samedi au bar-club J’ose, 147, rue Saint-Denis, dans le 2e arrondissement de Paris.  
                               
PrĂšs de 150 dĂ©favorisĂ©s socialistes victimes de la crise ont rĂ©pondu Ă  l'invitation du dĂ©putĂ© de l’Essonne qui avait dĂ» annuler, Ă  la suite d’un malaise cardiaque, une fĂȘte le 31 mars. Le restaurant-bar a Ă©tĂ© ouvert dans un ancien sex-shop, entre une sortie de parking public et l’entrĂ©e du passage du Grand-Cerf. DerriĂšre la vitrine vert turquoise, le J’ose (son patron se prĂ©nomme JosĂ©) se dĂ©ploie sur trois niveaux avec un bar-lounge au rez-de-chaussĂ©e, un restaurant franco-thaĂŻ au premier Ă©tage et une discothĂšque en sous-sol.
En souvenir de l’histoire du lieu, le patron proposait des menus " coquins " (" prĂ©liminaires " pour les entrĂ©es ou " orgasme " de desserts), mais ces clins d’Ɠil suggestifs ont dĂ» ĂȘtre abandonnĂ©s sous la pression des habitants de ce quartier chaud en plein renouveau.


Quelle fut ambiance samedi soir ?

Celle d’un anniversaire Ă  Juju, avec petits-fours et champagne ", pour conjurer le racisme, glisse un participant qui avait probablement dĂ©setrtĂ© une manif de SOS Racisme ou de Sauvons les riches.
ArrivĂ©s parmi les premiers vers 22 heures, Dominique Strauss-Kahn et son Ă©pouse Anne Sinclair s’installent au premier Ă©tage -le purgatoire-, en compagnie de deux amis, les dĂ©putĂ©s de Paris Jean-Marie Le Guen et Jean-Christophe CambadĂ©lis, et de Nathalie Bidermann, une communicante d’Euro RSCG. " J’ai Ă©tĂ© un peu surpris de tomber sur eux, raconte un invitĂ©. Anne Ă©tait trĂšs dĂ©tendue, DSK Ă©tait heureux d’ĂȘtre lĂ , tout en reconnaissant que cette pĂ©riode de sa vie n’était pas la plus gaie. " Parmi les people, les acteurs Michel Boujenah et Yvan Attal, le journaliste Jean-Pierre Elkabbach, bien que classĂ© Ă  droite,  HĂ©lĂšne (de la sĂ©rie « HĂ©lĂšne et les garçons »), MC Solaar, Daniela Lumbroso, etc


De nombreuses personnalitĂ©s politiques Ă©taient aussi de la fĂȘte

Outre des Ă©lus de la rĂ©gion Ile-de-France, quelques tĂ©nors du PS, dont Marie-sEGOl'haine Royal, venue avec sa fille (son fils Thomas Hollande est arrivĂ© plus tard). Selon la lĂ©gende, quand elle aurait su que DSK Ă©tait prĂ©sent, elle se serait rĂ©fugiĂ©e au bar, puis serait partie peu aprĂšs 23 heures sans l’avoir vu. " Je n’ai jamais dĂźnĂ© avec lui, je ne l’ai pas vu, pas saluĂ© ", insiste-t-elle, cherchant mĂȘme Ă  intimider les incrĂ©dules en menaçant de poursuites quiconque la contredirait.
En revanche, Manuel Valls, directeur de la communication de la campagne Hollande, ne nie pas ĂȘtre venu le saluer Ă  sa table.
Quant Ă  Pierre Moscovici, directeur de campagne, il est restĂ© boire un verre avec deux amis au rez-de-chaussĂ©e et n’aurait officiellement pas vu DSK. " Je ne savais pas qu’il Ă©tait lĂ . Si j’avais su
 ", assure-t-il, sans en dire plus. Lorsque le socialiste Claude Bartolone , un proche de la Ch'tite Brochen-Aubry et de Lolo Fabius, et le vert Jean-Vincent PlacĂ©, candidat au porte-feuille de l'environnement, ont dĂ©barquĂ© aprĂšs minuit, l’ex-favori des sondages Ă©tait dĂ©jĂ  reparti.


En quittant le club coquin vers 23h30, DSK ne rasait pas les murs

 
" Il y a eu un mouvement de foule lorsqu’il est sorti.

Tout le monde voulait faire des photos, alors on l’a fait poser devant le restaurant la MĂ©mĂ©, sur le trottoir d’en face, pour Ă©viter d’avoir les sex-shops en arriĂšre-plan ", tĂ©moigne, amusĂ©, un fĂȘtard socialiste. " DSK prenait appui sur sa richissime Ă©pouse. Des jeunes femmes qui dĂźnaient prĂšs de lĂ  lui ont fait signer des autographes et ont posĂ© Ă  ses cĂŽtĂ©s. Certaines l’ont embrassĂ©. Anne Sinclair est restĂ©e en retrait ", Ă  mater, raconte Fred, le gĂ©rant de la MĂ©mĂ©.

La soirĂ©e a continuĂ© sans la terreur de SĂ©golĂšne jusqu’à plus de 3 heures.

Les travailleurs voisins, excĂ©dĂ©s, ont appelĂ© la police. 
" Si on avait su que c’était une soirĂ©e des huiles du PS, on serait venu boire un coup ", lança un des occupants de l’immeuble situĂ© au-dessus de l’établissement, mi-figue-mi-raisin.

 Les amis de Julien Dray ne sont pas de ces travailleurs qui se lĂšvent tĂŽt.

SĂ©golĂšne Royal condamne la justice US et le blanchiment de DSK

Le PS met DSK  au ban du parti socialiste ?

Etalage d'hypocrisie des menteurs socialistes

Inviter l'ex-favori des sondages  Ă  une soirĂ©e privĂ©e   socialiste est "inconsĂ©quent", juge DĂ©sirdavenir Royal.
L'amĂšre Royal est trĂšs en pointe contre l'invitation de Dominique Strauss-Kahn Ă  une soirĂ©e privĂ©e d'anniversaire de Julien Dray avec des socialistes.
Lundi sur BFMTV-RMC, l'affabulatrice prĂ©tendait l'avoir quittĂ©e aussitĂŽt,  en apprenant sa prĂ©sence, aprĂšs avoir "cru Ă  une blague".

Soulignant qu'elle Ă©tait l'invitĂ©e du dĂ©putĂ© PS Julien Dray, la candidate malheureuse de 2007 a dĂ©clarĂ© : "Je suis partie immĂ©diatement."

Mais le patron du restaurant J'Ose qui accueillait la centaine d'invitĂ©s dans le quartier des Halles, assure sur i-tele qu'il n'a vu personne quitter les lieux, ni la prĂ©sidente de Poitou-Charentes venue se goinfrer avec sa fille, ni les membres de l'Ă©quipe du candidat Hollande, Manuel Valls (communication) et Pierre Moscovici (directeur de campagne)...   L'invitation de Strauss-Kahn dans ce surprenant restaurant-bar en triplex,  chic, Ă©lĂ©gant et dĂ©calĂ© qui se dĂ©cline en 3 destinations :  le purgatoire, le paradis et l'enfer, situĂ© dans une rue chaude,  riche en sex-shops du 2e arrondissement, tient du  gag, voire du guet-apens !

ENTENDRE si le patron du restaurant accuse Sarkozy d'avoir invitĂ© DSK Ă  l'anniversaire de Dray et si Sa Cynique MajestĂ© Royal est une pique-assiette qui n'aurait pas Ă©tĂ© invitĂ©e...





La postulante au perchoir de l'Assemblée nationale condamne la justice américaine

Bien que le juge new-yorkais ait blanchi au pĂ©nal l'auteur prĂ©sumĂ© de violences sexuelles sur une femme de chambre noire immigrĂ©e, la prĂ©tendante Royal aux avantages du Palais Bourbon refuse d'admettre l'innocence de l'accusĂ©.
"Je ne veux pas rencontrer DSK compte tenu de tout ce qui s'est passé qui a porté atteinte à la dignité des femmes".
"C'est mon choix, je rencontre les personnes de mon choix."

Elle a dit avoir demandé des explications au député de l'Essonne mais ne les a pas eues pour l'instant.
"C'est quand mĂȘme inconsĂ©quent", a-t-elle commentĂ©, indĂ©pendamment du jugement : elle a plus de respect pour la justice chinoise !
VOIR et ENTENDRE l'ex-concubine de F. Hollande dénigrer la justice française:
Ce qui m'Ă©tonne, c'est l'absence totale de sens commun de ceux qui font ça (...) " Ils ne se rendent pas compte. Et aller dĂźner avec lui ils ne se rendent pas compte non plus. Ca promet", a observĂ© Nicolas Sarkozy, sollicitĂ© par la presse.

Point de salut sans allégeance à la gauche en école de journalisme

Profession stalinisée aux mains du SNJ


Robert Ménard confirme ce que tout un chacun, atterré, constate



 
J’ai cru que c’était une blague ! Et bien non. Figurez-vous qu’à l’occasion du premier tour de la prĂ©sidentielle, des votes internes ont Ă©tĂ© organisĂ©s au CFJ et Ă  l’ESJ de Lille, les deux plus prestigieuses Ă©coles de journalisme de notre pays. Avec quel rĂ©sultat ? 100% pour les candidats de gauche dans la premiĂšre ! Et " seulement " 87%, toujours pour la gauche bien sĂ»r, dans l’établissement lillois.

Avec de tels scores, comment voulez-vous que la pensĂ©e unique ne rĂšgne pas en maĂźtre dans nos mĂ©dias ? Quand on sait que ces deux institutions forment la crĂšme de la profession, les futurs responsables des grandes rĂ©dactions – il suffit pour s’en convaincre de feuilleter les annuaires de leurs anciens Ă©lĂšves –, on ne s’étonne plus. Nos " nouveaux chiens de gardes " ne seront pas un contrepoids Ă  l’omniprĂ©sence socialiste qui se dessine Ă  tous les niveaux du pouvoir, des rĂ©gions au sommet de l’Etat
 Quant Ă  reflĂ©ter la France qui se dĂ©gage de ces Ă©lections, on repassera.
Quid de leurs aĂźnĂ©s ? Ils sont tout aussi Ă©loignĂ©s de ce peuple dont leurs Ă©ditoriaux se rĂ©clament pourtant rĂ©guliĂšrement. Prenons Marianne qui moque rĂ©guliĂšrement – et Ă  juste raison – les tracts que sont devenus LibĂ©ration (pour les socialistes) et Le Figaro (pour la droite) [mais c'est Ă  voir: MĂ©nard tente de rĂ©Ă©quilibrer le plateau de l'injustice? ]. Les journalistes de l’hebdomadaire se sont prĂȘtĂ©s au mĂȘme exercice que nos deux Ă©coles. A la sortie des urnes : 82% votent Ă  gauche. Pas une seule voix pour Nicolas Sarkozy. Et zĂ©ro pointĂ© pour Marine Le Pen ! [La honte de la presse d'opposition ?]
Les dĂ©fenseurs attitrĂ©s de la gent journalistique me rĂ©pondront qu’on peut avoir le cƓur Ă  gauche et faire honnĂȘtement son mĂ©tier. Je n’en disconviens pas. Mais, comme chacun, j’allume mon poste de tĂ©lĂ©, j’écoute la radio, je lis la " grande " presse et je me dis que, dĂ©cidemment, un fossĂ©, un gouffre existent bien entre le petit monde de la presse et le pays rĂ©el.   Allez, me rĂ©torquera-t-on, encore un propos populiste. Dieu merci, dans les Ă©coles de journalisme, nos jeunes pousses sont Ă  l’abri de cette trĂšs vilaine tentation
" [LOL !]

Et si  libertĂ© et dĂ©ontologie de la presse Ă©taient des canulars ?L'expression des journalistes est-elle libre ? Les "corps intermĂ©diaires" ne seraient-ils pas effectivement responsables de la soumission de la presse, non pas aux actionnaires capitalistes et aux entreprises ou au pouvoir, mais aux syndicats, et au premier chef Presstalis (ex-NMPP) et le SNJ.

DSK et Julien Dray crament la campagne de F.Hollande


DSK, invité de Juju Dray, pollue la campagne Hollande


Favori des sondages socialistes, DSK est nauséabond et clivant

La prĂ©sence de Dominique Strauss-Kahn Ă  l'anniversaire du dĂ©putĂ© PS Julien Dray a provoquĂ© de nombreuses rĂ©actions de rejet 

Sans pudeur, Julien Dray avait convié une centaine de socialistes défavorisés

Cette invitation intervenait Ă  la veille du  meeting parisien de F. Hollande Ă  la prĂ©sidentielle, alors que Dray est nĂ© le 5 mars  Ă  Oran.

Le 10 dĂ©cembre 2008, Julien Dray fit l’objet d’une enquĂȘte prĂ©liminaire pour abus de confiance Ă  la suite d’un signalement de TRACFIN, la cellule anti-Les Parrains de SOS Racisme  du ministĂšre des Finances, portant sur des mouvements de fonds suspects Ă  partir de comptes de l’association " Les Parrains de SOS Racisme " et de la FĂ©dĂ©ration indĂ©pendante et dĂ©mocratique lycĂ©enne (FIDL) depuis janvier 2006. Les enquĂȘteurs soupçonnaient Julien Dray d’avoir bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une partie de ces sommes, Ă©valuĂ©es au total Ă  351 027 €. il fut victime d'un malaise cardiaque le 30 mars 2012.

L'existence de cette soirĂ©e confidentielle n'a pas Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e par Mediapart...
C'est le journaliste du Point, SaĂŻd Mahrane qui,  samedi soir, a postĂ© deux photos sur son compte Twitter, l'une de DSK et l'autre de Manuel Valls, directeur de la communication de François Hollande.





DSK et Julien Dray sont-ils de mĂšche ?
<br>L'un comme l'autre a des comptes à régler avec le Parti socialiste:
l'amÚre Brochen-Aubry était-elle conviée ?
enter>




D. Strauss-Kahn divise le Parti socialiste
Plusieurs personnalitĂ©s du PS, dont sEGOl'haine Royal -dans un sursaut tardif de fĂ©minisme ostentatoire- ou encore Manuel Valls  directeur de la communication de Hollande -Ă  la diffĂ©rence de Pierre  Moscovici, son directeur de campagne-  ont sĂ©vĂšrement condamnĂ© le pervers, auteur de violences sexuelles (consenties!), au micro de BFMTV et en marge du meeting de François Hollande Ă  Paris-Bercy ce dimanche.
VOIR et ENTENDRE le reportage modéré de BFMTV, le 29 avril 2012:


Sa Cynique MajestĂ© Royal, invitĂ©e prĂ©sente, n'a pas souhaitĂ© rester manger au ratelier du socialiste Julien Dray, afin de ne pas croiser le sulfureux candidat prĂ©fĂ©rĂ© des socialistes jusqu'Ă  sa disgrĂące.

La prĂ©sidente PS de Poitou-Charentes avait accouru -avec sa fille, tant qu'Ă  faire-  au trĂšs select  restaurant des Halles, oĂč le dĂ©putĂ© PS rĂ©galait: " Tous les ans, je vais dire Ă  Julien Dray bon anniversaire et lĂ  d'autant plus, parce qu'il a eu des problĂšmes de santĂ© graves. Je me suis dit : ce n'est pas le moment de laisser tomber des amis de longue date". La bonne fille se vend bien, mais dans le quartier des Halles, est-ce aussi flatteur qu'elle le voudrait ?
"Au bout de quelques instants, on me dit " que Dominique Strauss-Kahn est là", poursuit Mme Royal, trÚs loquace aprÚs quelques verres épongés par les délicieux canapés. "J'ai cru à une blague dans un premier temps. Ensuite j'ai trouvé que c'était de trÚs mauvais goût".
"Dire que j'aurais rencontrĂ© Dominique Strauss-Kahn Ă  cette occasion serait diffamatoire", a mis en garde l'amĂšre Royal.


En novembre 2010, Sa Cynique MajestĂ© Royal grilla la politesse  Ă  DSK,
faisant acte anticipé de candidature à la direction du PS:
elle offrit alors une rose ...blanche (sic) Ă  son rival !


Sur BFMTV, elle accuse bientÎt D. Strauss-Kahn d'avoir porté gravement atteinte à la dignité des femmes.
Et de "salir" la campagne de F. Hollande ?
Pourtant, le cas de conscience de la perruche socialiste n'a pas Ă©tĂ© immĂ©diat et naturel, puisqu'en mai 2011 elle avait Ă©tĂ© une des premiĂšres femmes Ă  s’exprimer sur l’affaire DSK sur un ton trĂšs compassionnel, qui avait tirĂ© quelques larmes de crocodile. "DSK a droit comme tout citoyen Ă  la prĂ©somption d'innocence tant que les faits ne sont pas prouvĂ©s. Ma pensĂ©e en cet instant va Ă  sa famille, Ă  ses proches et aussi Ă  l'homme qui traverse cette Ă©preuve
"
Edifiant, certes, mais alors  bien peu solidaire des femmes !

Un Ă©lu PS remet sa liste noire des journalises de droite au CSA

La gauche a lancĂ© sa chasse aux sorciĂšres de droite 


La "rĂ©publique exemplaire" de Hollande est-elle dĂ©mocratique ? 



La journaliste Audrey Pulvar, Ă  la Une des   'Inrockuptibles',
le magazine excitant les ' bobos ' et les 'branchĂ©s' de gauche,
propriĂ©tĂ© de l'homme d'affaires socialiste  Matthieu Pigasse,
co-propriétaire du journal Le Monde, pro-Hollande


Un Ă©lu PS saisit le CSA Ă  propos des Ă©ditorialistes "proches de la droite"

Un conseiller rĂ©gional PS a saisi jeudi le CSA  pour qu'il se penche sur le temps de parole d'Ă©ditorialistes "proches de la droite", dans l'hypothĂšse oĂč l'instance accepterait la requĂȘte d'un Ă©lu UMP sur le temps d'audience de la journaliste Audrey Pulvar, compagne du socialiste Arnaud Montebourg.

Oeil pour oeil, dent pour dent ?

Le petit McCarthyiste JérÎme Impellizzieri (ci-contre, PS) explique sa démarche au nom de la "réciprocité "

Geoffroy Didier, conseiller régional UMP d'Ile-de-France et membre de la cellule "Riposte" de l'UMP, a demandé le 16 mars au Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) de se prononcer sur "l'éventualité de comptabiliser, dans le temps de parole" de François Hollande, "les interviews politiques d'Audrey Pulvar dans les médias audiovisuels".

Dans son courrier, G. Didier jugeait "curieux qu'une journaliste qui s'est affichĂ©e devant des camĂ©ras lors d'un meeting socialiste, une rose Ă  la main, puisse prĂ©tendre interviewer de maniĂšre Ă©quitable les candidats Ă  l'Ă©lection prĂ©sidentielle dans la mesure oĂč son engagement pour l'un d'entre eux est publiquement assumĂ©".
I
l évoquait "le cas de l'interview de Jean-François Copé, qui représentait le candidat Nicolas Sarkozy" dans cette émission de France 2, qui "fut l'illustration la plus saisissante du positionnement d'Audrey Pulvar sur l'échiquier politique".

Trois jours plus tard, le député UMP du Territoire-de-Belfort, Damien Meslot, demandait à France Télévisions de mettre Audrey Pulvar en congé durant la période électorale : " Il est clair, écrivait-il, que Mme Pulvar est rentrée en campagne électorale au cÎté d'Arnaud Montebourg et de François Hollande, puisqu'elle est apparue à plusieurs reprises dans des meetings de soutien à François Hollande. " Ce que l'intéressée avait aussitÎt démenti.

L'Ă©lu PS, qui revendique lui aussi sa qualitĂ© d'"Ă©lu rĂ©publicain", rappelle dans sa lettre au CSA que la demande de son collĂšgue du conseil rĂ©gional "est survenue subitement aprĂšs que Mme Pulvar [participante Ă  Terra Nova, le think-tank du PS], accomplissant son devoir de journaliste, a questionnĂ© (...) M. CopĂ© sur ses relations intimes et familiales avec Ziad Takieddine, marchand d'armes et intermĂ©diaire douteux, mis en examen pour complicitĂ© et recel d'abus de biens sociaux dans l'affaire de l'attentat de Karachi." Et pourtant, la justice n'a rien jugĂ© et la prĂ©somption d'innocence est bafouĂ©e dans l'Ă©mission de divertissement politique animĂ©e par L. Ruquier, un hybride de journaliste sans carte de presse et d'humoriste militant du PS sur le service public Ă  une heure de forte Ă©coute.
"S'il survenait ["advenait"? ] que vous preniez au sĂ©rieux une telle requĂȘte, j'ai l'honneur (...) de vous saisir (...) Ă  titre de rĂ©ciprocitĂ© de la demande de comptabilisation dans le temps de parole de l'UMP et de son candidat Nicolas Sarkozy, des temps d'expression (...) des journalistes suivants", qu'il qualifie de "proches de la droite".

La liste noire
"Jean-Pierre Elkabbach (Europe 1), Etienne Mougeotte (LCI, RTL), Eric Revel (LCI, RTL), Eric Brunet (RMC, BFMTV), Catherine Nay (Europe 1), Yvan Rioufol (RTL, i-télé), Yves Thréard (Le Figaro), Guillaume Roquette (LCI, France Inter, France 2), Robert Ménard (Sud Radio, i-télé) et Jean-Pierre Pernaut (TF1)".
Ainsi, faudrait-il sans doute conclure que i-tĂ©lĂ© (groupe Canal+) milite Ă  droite ?

80% des journalistes sont de gauche, mais veulent ĂȘtre 100%

VOIR et ENTENDRE le dĂ©bat de RMC autour d'Eric Brunet, avec le dĂ©putĂ© rĂ©gional PS, l'illettrĂ© Bruno Roger-Petit, ancien du site Le Post, recueilli par Le Nouvel Observateur, et  Yvan Rioufol:

Peuvent-ils continuer Ă  travailler ?

Eva Joly dĂ©naturera dangereusement la fĂȘte du Travail

L'ex-candidate altermondialiste risque de crĂ©er les conditions d'affrontements


Gro-Eva Joly prend une lourde responsabilitĂ©


Hommage de Bertrand Delanoë (PS) à Brahim Bouarram, 1er mai 2010



Un dĂ©fi Ă  la sĂ©rĂ©nitĂ© du scrutin prĂ©sidentiel

Forte d'une lĂ©gitimitĂ© de 2,26% au premier tour et malgrĂ© la pĂ©riode spĂ©ciale de l'entre-deux tour cette annĂ©e, la candidate altermondialiste rendra hommage, dix-sept ans plus tard, Ă  Brahim Bouarram, jeune Marocain jetĂ© dans la Seine  le 1er mai 1995 par trois skinheads, en marge, semble-t-il, d'un cortĂšge du Front national.

L'ex-candidate de l'Ă©cologie radicale ravivra ainsi douleur et tensions entre extrĂ©mistes Ă  11h00 au pont du Carrousel, Ă  Paris, selon un appel d'Europe Ecolgie-les Verts.
Les collectifs et rĂ©seaux de la nĂ©buleuse d'extrĂȘme gauche, dont le Collectif Justice et LibertĂ©s (Ali Rastegar), les antisionistes de IndigĂšnes de la RĂ©publique, mouvement politique initiĂ© entre autres par le collectif des musulmans de France, proche de Tariq Ramadan, par le Centre d’études et d’initiatives de solidaritĂ© internationale  ou le MRAP, proche du PCF, instrumentalisent le drame pour appeler Ă  barrer la route Ă  l'extrĂȘme droite au risque de violences physiques et matĂ©rielles.

dimanche 29 avril 2012

Souillure de la présidentielle: le magazine Marianne, la honte de la presse

Marianne, le mal-nommé

La couverture de Marianne est
une provocation anti-républicaine
à la veille d'un second tour de présidentielle


Si le conseil constitutionnel n'est pas saisi,

les Ă©lecteurs doivent sanctionner l'ignominie
de l'opposition.



Sarkozy se démarque de ses adversaires à Toulouse

Plus de 20.000 personnes Ă  Toulouse pour Sarkozy


Qui dit patriotisme ne dit pas  nationalisme

A une semaine du second tour,  Nicolas Sarkozy, le candidat de la majoritĂ© prĂ©sidentielle et prĂ©sident-sortant, s'est exprimĂ© dimanche Ă  Toulouse devant plus de 20.000 personnes.
Dans ce meeting multidiffusĂ© dans sept autres villes de France, Nicolas Sarkozy a lancĂ© : " Je salue Toulouse ! Je salue Metz !  Je salue Lyon !  Je salue Marc-en-Baroeul !  Je salue OrlĂ©ans !   Je salue Rennes !  Je salue Limoges !

"Je salue le peuple de France ! "
Face Ă  un salle chaleureuse, Nicolas Sarkozy a fixĂ© le moment, Ă©voquant " ces moments de l'Histoire oĂč tout se dĂ©cide en quelques jours ".  " La France ne peut pas manquer ce rendez-vous avec l'Histoire. La France n'a pas le droit Ă  l'erreur ", a-t-il insistĂ©.

Le président-candidat a insisté à plusieurs reprises sur " l'importance cruciale des frontiÚres dans la mondialisation ", alors qu' "on a voulu effacer toutes les frontiÚres ", au nom de la libre circulation des capitaux.


Le prĂ©sident-sortant a appelĂ© ses concitoyens Ă  " ĂȘtre fiers d'ĂȘtre français ".
La Nation dont il a fait l'Ă©loge est "le partage d'une identitĂ© collective et a fait naĂźtre la RĂ©publique", mais aussi la France forte", son slogan de campagne.
Et " je ne veux pas laisser la France se diluer dans la mondialisation, voilĂ  le message central du premier tour ", a-t-il dit, faisant allusion aux scores-surprises de Marine Le Pen (17,9%) et de Jean-Luc MĂ©lenchon (11,1%).

Le candidat de l'UMP a rectifiĂ© les caricatures dressĂ©es par la gauche
" La pensĂ©e unique, le systĂšme, notamment le systĂšme mĂ©diatique " soulignant qu'il a  "confondu le sentiment national, qui est hautement respectable, avec le nationalisme qui est une idĂ©ologie profondĂ©ment dangereuse". Au mĂȘme instant,  son rival socialiste a opposĂ© " le patriotisme " au " nationalisme ." 

Et Nicolas Sarkozy a Ă©galement levĂ© les ambigĂŒitĂ©s crĂ©Ă©es par ses adversaires
Il a en effet demandĂ© de ne pas confondre " l'amour de sa patrie avec la haine des autres ", qui est un  " sentiment dĂ©testable ",   se dĂ©marquant ainsi Ă  la fois de l'extrĂȘme droite et de la reprĂ©sentation de la droite par les soutiens de Hollande.
Le patriotisme c'est aussi " porter des rĂ©fĂ©rences qui valent pour nous-mĂȘmes et pour les autres, le patriotisme, c'est s'aimer soi-mĂȘme pour aimer les autres et avoir peur de rien, ne rien craindre dans la compĂ©tition mondiale, dans l'Europe qui se construit ", a-t-il fait valoir.

VOIR et ENTENDRE le discours de Nicolas Sarkozy Ă  Toulouse (29/04/2012):


L'Europe et la Nation
Nicolas Sarkozy a estimĂ© que "l'Europe a trop laissĂ© s'affaiblir la Nation".
" Les pays qui gagnent aujourd'hui, c'est les pays qui croient dans l'esprit national ", a-t-il observé.
Et de souligner: "La France a voulu l'Europe. Elle attend de l'Europe qu'elle protÚge les peuples européens".


Nicolas Sarkozy s'est prĂȘtĂ© au jeu des confidences sur France 2.

Interrogé par Laurent Delahousse, le président-candidat se livre. " Aujourd'hui, j'ai l'expérience d'une fonction; il y avait une inconnue, c'était comment on réagit face à des responsabilités aussi lourdes ", confie-t-il, se différenciant du candidat socialiste sans aucune expérience gouvernementale et qui choisirait, dit-on, Jean-Marc Ayrault qui n'est pas plus expérimenté, puisqu'il ne connaßt que l'Assemblée nationale.






Mediapart une nouvelle fois démenti par une de ses "sources"

L'officine trotskiste d'Edwy Plenel en flagrant délit de diffamation

Les méthodes diffamatoires de la gauche fébrile



2007 -
Mouammar Kadhafi a offert au socialiste Zapatero
la " possibilitĂ© de contrats " d'un montant total estimĂ© Ă  11,8 milliards d'euros
pour les groupes espagnols en Libye



AprĂšs le coup mediatico-politique du journal de gauche The Guardian

L'ex-président du Fonds Libyen des investissements africains a démenti dimanche "avoir jamais été destinataire d'un tel document."
Bachir Saleh, ce destinataire supposĂ© d'une note citĂ©e par Mediapart,  a contredit  le site trotskiste d'Edwy Plenel,  dans une dĂ©claration transmise  par son avocat, Me Pierre HaĂŻk.
RecherchĂ© par Interpol, Bachir Saleh,  tĂ©moin  de moralitĂ© de Mediapart, se trouve actuellement en France, aprĂšs avoir obtenu un titre de sĂ©jour "au nom du regroupement familial".
RĂ©agissant ce dimanche matin Ă  l'agit-prop  rĂ©volutionnaire de Plenel, le premier ministre François Fillon a qualifiĂ© le site d'information en ligne "d'officine financĂ©e par de riches amis" de François Hollande.


Mediapart n'est en effet connu que par les rumeurs infondées dont il vit.
Mediapart lança la rumeur Laurent Tapie et s'acharna sur Eric Woerth. Dans L'Express, RaphaĂ«l Enthoven, Ă©galement agressĂ©, riposte Ă  Plenel et Ă©voque Ă  propos de Mediapart " le journalisme illicite Ă  l'abri de la loi."
En revanche, Mediapart et le Canard enchaĂźnĂ© ont auto-censurĂ© l'affaire Cohn-Bendit de pĂ©dophilie: lien PaSiDupes

La presse de gauche est-elle capable de tout ?

The Guardian a publiĂ© vendredi une resucĂ©e de l'affaire DSK maquillĂ©e en complot 
C'était à une semaine du second tour de la pésidentielle
L'entourage de Dominique Strauss-Kahn fait savoir aujourd'hui dimanche que les propos publiés par le quotidien britannique "sont un montage fait à partir d'un livre à paraßtre" du journaliste américain Edward Epstein.

Les électeurs -toutes tendances confondues- vont-ils enfin sanctionner les procédés de la gauche-socialo-communiste ?


Cette nouvelle affaire Mediapart succĂšde aux bassesses de LibĂ©ration (PS) et L'HumanitĂ© (PCF)

DĂ©fense et illustration de la "rĂ©publique exemplaire" prĂŽnĂ©e par Hollande

Les socialistes de F. Hollande s'alignent
sur les staliniens du "pacte germano-soviétique"
pour insulter la droite (avril 2012)

Staline serre la main du dignitaire nazi Von Ribbentrop (1939)


Le quotidien pro-Hollande emploie les mĂȘmes mĂ©hodes totalitaires que l'organe officiel communiste, mais accuse Sarkozy de droitisation avec deux Unes odieuses qui rappellent en effet les insultes de la MĂ©lenchon et de la propagande stalinienne.

La cohérence socialiste


La vieille lune de la thĂšse du financement de la campagne 2007 de Sarkozy  par Khadafi

Bachir Saleh, ex-directeur de cabinet de Kadhafi,  "Ă©met au prĂ©alable les plus expresses rĂ©serves sur l'authenticitĂ© de la note publiĂ©e par Mediapart et opportunĂ©ment prĂ©sentĂ©e comme constituant la preuve d'un financement de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy".



L'information au pas de l'oie  Ă  la graisse d'oie.
Les amis de MĂ©lenchon sont les amis de Hollande:
ici, le dictateur libyen sanguinaire, Bachar el-Assad, est fréquentable


Le site Mediapart a publié samedi un document attribué à Moussa Koussa, ex-chef des services de renseignements extérieurs de la Libye, aujourd'hui en exil et qui peut difficilement confirmer, affirmant que Tripoli aurait accepté de financer pour "50 millions d'euros" la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007.

Ce document en arabe, portant la signature de Moussa Koussa, ferait Ă©tat d'un "accord de principe" pour "appuyer la campagne Ă©lectorale du candidat aux Ă©lections prĂ©sidentielles,  Nicolas Sarkozy, pour un montant d'une valeur de
cinquante millions d'euros". La note ne précise pas si un tel financement a effectivement eu lieu.

Pour mémoire, la limite supérieure fixée par la réglementation sur les comptes de campagne est établie à un peu plus de 20 millions...

Selon ce document, traduit par Mediapart, Moussa Koussa prĂ©ciserait que cet accord est consĂ©cutif Ă  une "rĂ©union tenue le 6/10/2006", Ă  laquelle ont participĂ© cĂŽtĂ© libyen "le directeur des services de renseignements libyens (Abdallah Senoussi, ex-chef du renseignement militaire actuellement dĂ©tenu en Mauritanie) et le prĂ©sident du Fonds Libyen des investissements africains (Bachir Saleh), et du cĂŽtĂ© français Brice Hortefeux et Ziad Takieddine".


Hugo Chavez, camarade de MĂ©lenchon,
accueille cordialement Khadafi au Vénézuela




Passe d'arme entre F. Fillon et Plenel

Diffusion de propos diffamatoires entre les deux tours de la présidentielle
Elle a déclenché une passe d'armes entre l'équipe du candidat PS François Hollande et celle du président candidat UMP Nicolas Sarkozy.

Nicolas Sarkozy a estimé samedi que DSK "devrait avoir la pudeur de se taire".
Sa porte-parole, Nathalie Kosciusko-Morizet, a ironisé sur François Hollande qui "vient de se trouver un nouveau témoin de moralité en la personne de Dominique Strauss-Kahn", "un témoin de moralité qui est mis en examen pour proxénétisme aggravé" dans l'affaire du Carlton de Lille, aprÚs celle des violences physiques de New York.

L'Ă©quipe Hollande riposte faiblement
Hollande, candidat supplĂ©ant de DSK,  n'a rien Ă  gagner Ă  la rĂ©activation des turpitudes sexuelles du favori des sondages dont il a pris la relĂšve au pied-levĂ© et Ă  son corps dĂ©fendant. Il a simplement dĂ©noncĂ© "une exploitation outranciĂšre" de la part du  camp adverse.

Plus tÎt dans la matinée, François Fillon avait qualifié Mediapart d' "officine financée par de riches amis" de Hollande
Il a mis en doute le document produit hier par le site d'informations en ligne. "On peut faire preuve d'esprit critique à l'égard de Mediapart, une officine financée par de riches amis de François Hollande qui, depuis cinq ans, n'a de cesse de vouloir traßner dans la boue le président de la République et nous sort, à sept jours des élections, selon une méthode ancienne (...), un document faux, en tout cas impossible à authentifier", a ainsi déclaré le Premier ministre, invité du "Grand Rendez-vous Europe1/i>tele/Le Parisien-Aujourd'hui en France.