La ruée vers les banques n'a pas eu lieu
Cantona, porteurdu ballon de l'idée du NPA, se ridiculise
L'entourage trotskiste d'Eric Cantona a instrumentalisé le sportif.
On le disait pourtant intelligent et lui-même s'est défendu d'être tout en muscles. Il s'est pourtant laissé gouverner par un cerveau atrophié et a cru que son expertise financière était proportionnelle à ses comptes en banque. Il s'est donc prêté à cette action révolutionnaire qui a ravi les media internationaux. Elle consistait à inciter les nantis à vider les comptes bancaires pour provoquer l'effondrement du système économique, mardi 7 décembre. Mais ce rêve trotskiste n'est pas devenu réalité, malgré un important soutien de la myriade de sites internet radicaux.
Lien PaSiDupes
L'illuminé a fait l'unité contre lui
Joignant leurs voix à celles des banquiers et du monde économique, élus de droite comme de gauche ont condamné le projet soutenu par des dizaines de milliers d'internautes, qui avaient lancé l'idée d'une "bank run" (ruée bancaire) censée amorcer symboliquement la révolution que la crise économique et financière internationale n'avait pas réussi à déclencher.
Lien PaSiDupes sur l'ambiguïté du couple:
- sa femme, Rachida Brakni, fait la pub du Crédit Lyonnais
- le footballeur vend l'Oréal et enrichit ...Liliane Bettencourt.
Le matamore est resté au vestiaire
Attendu à tout moment en personne par les journalistes et les caméras de télévision à la suite de rumeurs de presse dans une banque d'Albert (Somme) où il était censé joindre le geste à la parole, celui que les supporters de Manchester United surnommaient "Eric le Rouge" n'a été ni vu, ni aperçu, ni sur son lieu de tournage, ni dans aucun établissement bancaire. L'agence BNP d'Albert avait mis à sa demande une somme d'argent à sa disposition. Or, Eric Cantona ne s'est pas présenté à cette agence.
Un communiqué de son avocat a toutefois fait savoir mardi soir que l'ancien footballeur avait bien effectué un "retrait bancaire symbolique" à Péronne (Somme), "à l'écart de l'emballement médiatique".
Ses avocats auraient vu un « mouvement »
"Eric Cantona est très heureux des réactions et commentaires publics, économiques et même politiques que ses déclarations ont provoqués, et espère que ce mouvement permette une prise de conscience et contribue au débat d'idées", peut-on y lire.
Contre toute évidence, malgré l'absence de tout 'mouvement citoyen' et du moindre 'emballement', "Eric Cantona tient à faire savoir que, contrairement aux informations parues, il a participé au mouvement citoyen suscité et qu'il a, à l'écart de l'emballement médiatique, à Péronne dans la Somme, effectué, aujourd'hui 7 décembre 2010 un retrait bancaire symbolique", indique un communiqué signé par ses avocats Me Christophe et Me Jean-Jacques Bertrand.
A l'agence de presse française, Me Christophe Bertrand n'a pas souhaité communiquer le montant retiré par la star du ballon rond sur le retour, indiquant simplement qu'"il y a un cadre légal; on ne peut pas retirer comme ça 10.000 euros".
Les dénis de Sa Cynique Majesté Royal font école
"Il [Cantona] n'a jamais appelé à un quelconque mouvement le 7 octobre", a par ailleurs affirmé Me Christophe Bertrand à propos de son client. La battue de la gauche à la présidentielle de 2007 avait prétendu qu'elle n'avait pas appelé des mineurs à descendre manifester dans la rue: lien PaSiDupes
Cantona, porteur
L'entourage trotskiste d'Eric Cantona a instrumentalisé le sportif.
On le disait pourtant intelligent et lui-même s'est défendu d'être tout en muscles. Il s'est pourtant laissé gouverner par un cerveau atrophié et a cru que son expertise financière était proportionnelle à ses comptes en banque. Il s'est donc prêté à cette action révolutionnaire qui a ravi les media internationaux. Elle consistait à inciter les nantis à vider les comptes bancaires pour provoquer l'effondrement du système économique, mardi 7 décembre. Mais ce rêve trotskiste n'est pas devenu réalité, malgré un important soutien de la myriade de sites internet radicaux.
Lien PaSiDupes
L'illuminé a fait l'unité contre lui
Joignant leurs voix à celles des banquiers et du monde économique, élus de droite comme de gauche ont condamné le projet soutenu par des dizaines de milliers d'internautes, qui avaient lancé l'idée d'une "bank run" (ruée bancaire) censée amorcer symboliquement la révolution que la crise économique et financière internationale n'avait pas réussi à déclencher.
Lien PaSiDupes sur l'ambiguïté du couple:
- sa femme, Rachida Brakni, fait la pub du Crédit Lyonnais
- le footballeur vend l'Oréal et enrichit ...Liliane Bettencourt.
Le matamore est resté au vestiaire
Attendu à tout moment en personne par les journalistes et les caméras de télévision à la suite de rumeurs de presse dans une banque d'Albert (Somme) où il était censé joindre le geste à la parole, celui que les supporters de Manchester United surnommaient "Eric le Rouge" n'a été ni vu, ni aperçu, ni sur son lieu de tournage, ni dans aucun établissement bancaire. L'agence BNP d'Albert avait mis à sa demande une somme d'argent à sa disposition. Or, Eric Cantona ne s'est pas présenté à cette agence.
Un communiqué de son avocat a toutefois fait savoir mardi soir que l'ancien footballeur avait bien effectué un "retrait bancaire symbolique" à Péronne (Somme), "à l'écart de l'emballement médiatique".
Ses avocats auraient vu un « mouvement »
"Eric Cantona est très heureux des réactions et commentaires publics, économiques et même politiques que ses déclarations ont provoqués, et espère que ce mouvement permette une prise de conscience et contribue au débat d'idées", peut-on y lire.
Contre toute évidence, malgré l'absence de tout 'mouvement citoyen' et du moindre 'emballement', "Eric Cantona tient à faire savoir que, contrairement aux informations parues, il a participé au mouvement citoyen suscité et qu'il a, à l'écart de l'emballement médiatique, à Péronne dans la Somme, effectué, aujourd'hui 7 décembre 2010 un retrait bancaire symbolique", indique un communiqué signé par ses avocats Me Christophe et Me Jean-Jacques Bertrand.
A l'agence de presse française, Me Christophe Bertrand n'a pas souhaité communiquer le montant retiré par la star du ballon rond sur le retour, indiquant simplement qu'"il y a un cadre légal; on ne peut pas retirer comme ça 10.000 euros".
Les dénis de Sa Cynique Majesté Royal font école
"Il [Cantona] n'a jamais appelé à un quelconque mouvement le 7 octobre", a par ailleurs affirmé Me Christophe Bertrand à propos de son client. La battue de la gauche à la présidentielle de 2007 avait prétendu qu'elle n'avait pas appelé des mineurs à descendre manifester dans la rue: lien PaSiDupes
L'avocat de Cantona est par ailleurs l'avocat de Mohamed Faleh, dit le "tueur à la hache", à propos duquel les sources d'un journaliste de L'Est républicain avaient suscité son audition par la police judiciaire de Besançon et une polémique déclenchée par le SNJ, le syndicat dominant de journalistes d'opposition. Lien vers une dépêche A*P
Les banques n'ont rien vu
Les banques ont déclaré que l'effet de l'appel a été quasi-nul...
Elles n'ont pas constaté de ruée vers les guichets de titulaires de comptes qui souhaitaient retirer leur argent, selon des porte-parole à Paris. " La journée s'est déroulée comme une journée habituelle dans les réseaux. Il n'y a pas eu d'effet (Cantona), a déclaré une porte-parole de BNP Paribas. "C'est une journée qui est dans la moyenne quotidienne", a-t-elle ajouté.
La Société Générale n'a pas souhaité faire de commentaires.
Ruée de journalistes au premier buzz qui passe
Les media fabriquent de l'information
Parti de France, le buzz se fonde sur des propos provocateurs d'Eric Cantona extraits d'un entretien à Presse Océan, au moment du conflit sur la réforme des retraites. Le cerveau du footballeur était entré en surchauffe et l'ami du cinéaste Ken Loach, un trotskiste qui soutenait Besancenot aux Régionales, s'en était pris aux banques plutôt que de manifester dans la rue.
Sa suggestion d'une "révolution par les banques" était du niveau du Bar du Commerce ou de la file d'attente à La Poste, mais les réseaux révolutionnaires qui peuplent le Net se sont emparés de cette brève de comptoir et ils l'ont diffusée, via le réseau Facebook, à plusieurs autres pays d'Europe, en particulier au Royaume Uni où l'ancienne icône de Manchester United est toujours vénérée.
Un groupe Facebook, intitulé "Le 7 décembre, on va tous retirer notre argent des banques", avait regroupé 38.000 adhérents assurant vouloir participer à l'opération, près de 30.000 autres envisageant "peut-être" de s'y joindre.
Une énergie qui, si elle avait été positive, aurait rendu service au Téléthon et aux malades, mais qui s'est traduite non par 70.000 promesses de dons, mais par des menaces fumeuses de retraits d'argent.
Les media n'ont pas d'obligation à contrer les bouffons ?
Vider son compte est une opération qui ne peut techniquement pas s'effectuer spontanément: les retraits en espèces importants nécessitent un préavis et les banques peuvent donc parer à ce genre de « mouvement » de foule.
Un raisonnement simpliste de footballeur qui sort de ses compétences, ça donne ça: "le système est bâti sur le pouvoir des banques donc il doit être détruit par les banques. C'est-à-dire qu'au lieu qu'il y ait trois millions de gens qui aillent dans la rue (...), ces trois millions de gens vont à la banque, ils retirent leur argent, et les banques s'écroulent".
Le délire de Cantona a rassemblé la gauche et la droite
=> Des membres du gouvernement français ont critiqué cette déclaration.
La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, exhorta ainsi Eric Cantona à se « cantonner » aux questions de football.
La ministre des Solidarités, Roselyne Bachelot, a souligné les incohérences du couple Cantona, faisant observer mardi que la comédienne Rachida Brakni, épouse d'Eric Cantona, pouvait ces derniers mois être vue dans des spots publicitaires pour la banque LCL. "Il faut avoir un petit peu de responsabilité dans la vie quand on est un des chantres de la société de consommation", a-t-elle dit sur France Info. Lien PaSiDupes
=> La gauche a également condamné le déraillement
L'opposition en a pourtant profité – comme l'A*P, pour positiver le flop de l'appel révolutionnaire. Selon les 'décrypteurs' engagés, il fallait comprendre la déclaration comme l'expression du "ras-le-bol" personnel d'un nanti, mais à valeur universelle dans l'opinion des petites gens à l'encontre des banques, tenues pour responsables de la crise financière.
L'agence militante répète à qui veut la lire que ces banques ont souvent été renflouées avec l'argent public, mais l'A*P s'obstine en revanche à ne pas rappeler qu'elles ont remboursé leurs prêts avant l'heure, considérant le niveau élevé des taux consentis.
Mises en difficulté, dès l'automne 2008, par un excès de produits financiers douteux (notamment de prêts immobiliers à risque), les grandes banques françaises ont dû recourrir à l'aide publique pour palier un refinancement rendu extrêmement aléatoire par la crise financière. En octobre 2009, après avoir retrouvé stabilité et confiance, les groupes bancaires français ont annoncé les remboursements.
BNP Paribas annonça fin septembre 2009 qu'elle lançait une augmentation de capital d'un montant de 4,3 milliards d'euros pour rembourser son emprunt auprès de l'État français. La banque indiqua qu'elle allait rembourser les 5,1 milliards d'euros prêtés par l'Etat, auxquels s'ajoutent les intérêts, soit 226 millions d'euros sur sept mois. Après BNP Paribas et la Société Générale, le Prêt Agricole a ainsi rendu à l'Etat près de 3 milliards d'euros.
Il aurait suffi que cette agence de presse relise ses propres dépêches.
Les journalistes partisans liront en outre avec profit cet article de France Soir: « L'argent donné aux banques rapporte gros à l'Etat » (lien)
Au point qu'en septembre 2009, les deux constructeurs français Renault et PSA Peugeot Citroën ont annoncé vendredi le remboursement anticipé d'une tranche d'un milliard d'euros chacun sur le prêt public qui leur avait été accordé en pleine crise du secteur automobile. Des emplois sauvés.
=> Martine Aubry-l'aigrie polémique à jet continu
"Ce que Cantona pose, c'est une question que tous les Français se posent: les banques nous ont emmené au mur, on les a beaucoup aidées, aujourd'hui elles refont des profits et nous on va toujours aussi mal", a dit la souffreteuse patronne du Parti socialiste, au micro de France Inter.
Pour une citation complète que ne restitue pas l'A*P, et d'autres réactions socialistes occultées par l'A*P, lire PaSiDupes: lien
=> La vice-présidente du Front national, Marine Le Pen, est sur la même ligne que le PS. "Je ne m'associe pas à cette initiative mais je la comprends", a-t-elle . "C'est une provocation dans le bon sens du terme puisqu'elle vise à provoquer une prise de conscience".
=> Les écologistes partagent le point de vue du FN
Eric Cantona "met les pieds dans le plat sur un vrai sujet", a estimé la secrétaire nationale des Verts, Cécile Duflot, sur RMC.
Les banques n'ont rien vu
Les banques ont déclaré que l'effet de l'appel a été quasi-nul...
Elles n'ont pas constaté de ruée vers les guichets de titulaires de comptes qui souhaitaient retirer leur argent, selon des porte-parole à Paris. " La journée s'est déroulée comme une journée habituelle dans les réseaux. Il n'y a pas eu d'effet (Cantona), a déclaré une porte-parole de BNP Paribas. "C'est une journée qui est dans la moyenne quotidienne", a-t-elle ajouté.
La Société Générale n'a pas souhaité faire de commentaires.
Ruée de journalistes au premier buzz qui passe
Les media fabriquent de l'information
Parti de France, le buzz se fonde sur des propos provocateurs d'Eric Cantona extraits d'un entretien à Presse Océan, au moment du conflit sur la réforme des retraites. Le cerveau du footballeur était entré en surchauffe et l'ami du cinéaste Ken Loach, un trotskiste qui soutenait Besancenot aux Régionales, s'en était pris aux banques plutôt que de manifester dans la rue.
Sa suggestion d'une "révolution par les banques" était du niveau du Bar du Commerce ou de la file d'attente à La Poste, mais les réseaux révolutionnaires qui peuplent le Net se sont emparés de cette brève de comptoir et ils l'ont diffusée, via le réseau Facebook, à plusieurs autres pays d'Europe, en particulier au Royaume Uni où l'ancienne icône de Manchester United est toujours vénérée.
Un groupe Facebook, intitulé "Le 7 décembre, on va tous retirer notre argent des banques", avait regroupé 38.000 adhérents assurant vouloir participer à l'opération, près de 30.000 autres envisageant "peut-être" de s'y joindre.
Une énergie qui, si elle avait été positive, aurait rendu service au Téléthon et aux malades, mais qui s'est traduite non par 70.000 promesses de dons, mais par des menaces fumeuses de retraits d'argent.
Les media n'ont pas d'obligation à contrer les bouffons ?
Vider son compte est une opération qui ne peut techniquement pas s'effectuer spontanément: les retraits en espèces importants nécessitent un préavis et les banques peuvent donc parer à ce genre de « mouvement » de foule.
Un raisonnement simpliste de footballeur qui sort de ses compétences, ça donne ça: "le système est bâti sur le pouvoir des banques donc il doit être détruit par les banques. C'est-à-dire qu'au lieu qu'il y ait trois millions de gens qui aillent dans la rue (...), ces trois millions de gens vont à la banque, ils retirent leur argent, et les banques s'écroulent".
Le délire de Cantona a rassemblé la gauche et la droite
=> Des membres du gouvernement français ont critiqué cette déclaration.
La ministre de l'Economie, Christine Lagarde, exhorta ainsi Eric Cantona à se « cantonner » aux questions de football.
La ministre des Solidarités, Roselyne Bachelot, a souligné les incohérences du couple Cantona, faisant observer mardi que la comédienne Rachida Brakni, épouse d'Eric Cantona, pouvait ces derniers mois être vue dans des spots publicitaires pour la banque LCL. "Il faut avoir un petit peu de responsabilité dans la vie quand on est un des chantres de la société de consommation", a-t-elle dit sur France Info. Lien PaSiDupes
=> La gauche a également condamné le déraillement
L'opposition en a pourtant profité – comme l'A*P, pour positiver le flop de l'appel révolutionnaire. Selon les 'décrypteurs' engagés, il fallait comprendre la déclaration comme l'expression du "ras-le-bol" personnel d'un nanti, mais à valeur universelle dans l'opinion des petites gens à l'encontre des banques, tenues pour responsables de la crise financière.
L'agence militante répète à qui veut la lire que ces banques ont souvent été renflouées avec l'argent public, mais l'A*P s'obstine en revanche à ne pas rappeler qu'elles ont remboursé leurs prêts avant l'heure, considérant le niveau élevé des taux consentis.
Mises en difficulté, dès l'automne 2008, par un excès de produits financiers douteux (notamment de prêts immobiliers à risque), les grandes banques françaises ont dû recourrir à l'aide publique pour palier un refinancement rendu extrêmement aléatoire par la crise financière. En octobre 2009, après avoir retrouvé stabilité et confiance, les groupes bancaires français ont annoncé les remboursements.
BNP Paribas annonça fin septembre 2009 qu'elle lançait une augmentation de capital d'un montant de 4,3 milliards d'euros pour rembourser son emprunt auprès de l'État français. La banque indiqua qu'elle allait rembourser les 5,1 milliards d'euros prêtés par l'Etat, auxquels s'ajoutent les intérêts, soit 226 millions d'euros sur sept mois. Après BNP Paribas et la Société Générale, le Prêt Agricole a ainsi rendu à l'Etat près de 3 milliards d'euros.
Il aurait suffi que cette agence de presse relise ses propres dépêches.
Les journalistes partisans liront en outre avec profit cet article de France Soir: « L'argent donné aux banques rapporte gros à l'Etat » (lien)
Au point qu'en septembre 2009, les deux constructeurs français Renault et PSA Peugeot Citroën ont annoncé vendredi le remboursement anticipé d'une tranche d'un milliard d'euros chacun sur le prêt public qui leur avait été accordé en pleine crise du secteur automobile. Des emplois sauvés.
=> Martine Aubry-l'aigrie polémique à jet continu
"Ce que Cantona pose, c'est une question que tous les Français se posent: les banques nous ont emmené au mur, on les a beaucoup aidées, aujourd'hui elles refont des profits et nous on va toujours aussi mal", a dit la souffreteuse patronne du Parti socialiste, au micro de France Inter.
Pour une citation complète que ne restitue pas l'A*P, et d'autres réactions socialistes occultées par l'A*P, lire PaSiDupes: lien
=> La vice-présidente du Front national, Marine Le Pen, est sur la même ligne que le PS. "Je ne m'associe pas à cette initiative mais je la comprends", a-t-elle . "C'est une provocation dans le bon sens du terme puisqu'elle vise à provoquer une prise de conscience".
=> Les écologistes partagent le point de vue du FN
Eric Cantona "met les pieds dans le plat sur un vrai sujet", a estimé la secrétaire nationale des Verts, Cécile Duflot, sur RMC.
Et si, au lieu de mettre de l'argent pour aller voir un film de Cantona,le public versait cet argent pour la recherche médicale (en général), ce qui profiterait à tous.
RépondreSupprimerNe plus enrichir les riches médiatiques footballeurs et artistes, n'est-ce pas une idée révolutionnaire ?.