« Contre les drogues, chacun peut agir »
Une campagne qui s’adresse aux parents
L'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes), la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) et le ministère de la Santé ont lancé, le 13 décembre 2010, une campagne nationale de sensibilisation et d'information sur l'importance du rôle des parents, en mal de parentalité, dans la prévention de la consommation de drogues chez les adolescents. Baptisée "Contre les drogues, chacun peut agir", cette campagne vise notamment à inciter les parents à intervenir auprès de leurs enfants pour prévenir un éventuel usage des drogues.
La campagne, un tryptique sur la durée
Nous en sommes donc au troisième volet dans le cadre du plan de lutte contre les drogues 2008-2011. Après la dangerosité (« Drogues : ne fermons pas les yeux »- septembre 2009, puis la répression (« La drogue si c’est illégal, ce n’est pas par hasard»- novembre 2009), voilà le temps de la discussion parents-enfants et de la responsabilisation des familles -décembre 2010.
Les parents seraient-ils un peu coupables quand leurs enfants consomment ?
3 spots télé et des publicités dans la presse
Ils visent à inciter l'entourage des adolescents à discuter avec eux du problème des drogues constituent l’essentiel de cette 3ème vague.
Une campagne qui s’adresse aux parents
L'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes), la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) et le ministère de la Santé ont lancé, le 13 décembre 2010, une campagne nationale de sensibilisation et d'information sur l'importance du rôle des parents, en mal de parentalité, dans la prévention de la consommation de drogues chez les adolescents. Baptisée "Contre les drogues, chacun peut agir", cette campagne vise notamment à inciter les parents à intervenir auprès de leurs enfants pour prévenir un éventuel usage des drogues.
La campagne, un tryptique sur la durée
Nous en sommes donc au troisième volet dans le cadre du plan de lutte contre les drogues 2008-2011. Après la dangerosité (« Drogues : ne fermons pas les yeux »- septembre 2009, puis la répression (« La drogue si c’est illégal, ce n’est pas par hasard»- novembre 2009), voilà le temps de la discussion parents-enfants et de la responsabilisation des familles -décembre 2010.
Les parents seraient-ils un peu coupables quand leurs enfants consomment ?
3 spots télé et des publicités dans la presse
Ils visent à inciter l'entourage des adolescents à discuter avec eux du problème des drogues constituent l’essentiel de cette 3ème vague.
Le premier spot met en scène Brigitte, la mère de Marion qui consomme régulièrement du cannabis, s’exclut du monde et rate ses examens. Sa mère va réagir en appelant drogues info service: lien.
VOIR et ENTENDRE Brigitte
Contre les drogues, chacun peut agir - Cannabis envoyé par Inpes.
Sans parler de culpabilité, les experts réunis lors des Assises de la parentalité et de la prévention, organisées par la MILDT en mai 2010, ont identifié des facteurs, qui relèvernt de la sphère familiale (interaction parents - enfants, communication intrafamiliale, etc...) et confirmé la nécessité de conforter les parents et l’entourage dans leur rôle en matière de prévention des conduites à risque des adolescents. Aujourd’hui, 21% des parents n'évoqueraient jamais avec leurs enfants les dangers liés à la consommation de drogue. Pourtant, une étude anglaise, citée par l’Inpes, montre que 50 % des jeunes en école secondaire aimeraient que leurs parents soient leur principale source d’information sur les drogues.
Le deuxième spot présente Michael, un adolescent qui consomme de la cocaïne , ses parents s’en doutent, son frère le sait, sa copine le trouve rock’n'roll comme ça, personne ne réagit alors que tout le monde sait.
VOIR et ENTENDRE Michael
Contre les drogues, chacun peut agir - Cocaïne envoyé par Inpes.
Prévention de la drogue et parentalité, même combat ?
Cette nouvelle campagne repose sur le constat de parents parfois démunis sur l’éducation et la parentalité. Si 78 % des jeunes se sentent compris par leurs parents, les parents sont 90 % à affirmer comprendre leurs enfants. Quand 80% des parents accordent un rôle éducatif important à des tiers comme les enseignants et éducateurs, n’est-ce pas l’aveu d’une difficulté dans l’éducation ? Si la très grande majorité des parents ont globalement une perception positive de leurs compétences éducatives, un sur cinq a déjà utilisé ou souhaiterait utiliser une aide à la parentalité et un sur cinq n’a jamais fixé de règle concernant la consommation d’alcool ou de cannabis.
VOIR et ENTENDRE Brigitte
Contre les drogues, chacun peut agir - Cannabis envoyé par Inpes.
Sans parler de culpabilité, les experts réunis lors des Assises de la parentalité et de la prévention, organisées par la MILDT en mai 2010, ont identifié des facteurs, qui relèvernt de la sphère familiale (interaction parents - enfants, communication intrafamiliale, etc...) et confirmé la nécessité de conforter les parents et l’entourage dans leur rôle en matière de prévention des conduites à risque des adolescents. Aujourd’hui, 21% des parents n'évoqueraient jamais avec leurs enfants les dangers liés à la consommation de drogue. Pourtant, une étude anglaise, citée par l’Inpes, montre que 50 % des jeunes en école secondaire aimeraient que leurs parents soient leur principale source d’information sur les drogues.
VOIR et ENTENDRE Michael
Contre les drogues, chacun peut agir - Cocaïne envoyé par Inpes.
Prévention de la drogue et parentalité, même combat ?
Cette nouvelle campagne repose sur le constat de parents parfois démunis sur l’éducation et la parentalité. Si 78 % des jeunes se sentent compris par leurs parents, les parents sont 90 % à affirmer comprendre leurs enfants. Quand 80% des parents accordent un rôle éducatif important à des tiers comme les enseignants et éducateurs, n’est-ce pas l’aveu d’une difficulté dans l’éducation ? Si la très grande majorité des parents ont globalement une perception positive de leurs compétences éducatives, un sur cinq a déjà utilisé ou souhaiterait utiliser une aide à la parentalité et un sur cinq n’a jamais fixé de règle concernant la consommation d’alcool ou de cannabis.
Le dernier clip montre Nelson, qui a dit non. Il a refusé de prendre de l’ecstasy en se rappelant que son entraîneur lui avait conseillé de ne jamais commencer.
VOIR et ENTENDRE Nelson
Contre les drogues, chacun peut agir - Ectasy envoyé par Inpes. - L'info video en direct.
Ne pas banaliser l’usage du cannabis, auprès des parents : Une brochure « Cannabis, les risques expliqués aux parents » actualisée, sera diffusée à plus de 100 000 exemplaires dans des structures dédiées aux jeunes ou aux professionnels amenés à être en contact avec eux.
En France il y aurait 1,2 millions de consommateurs réguliers de cannabis.
Source : Ministère de la Santé, mise en ligne Maurice Chevrier, Santé log, réactualisé le 11 décembre 2010
Accès aux dernières actualités sur les Addictions: lien
VOIR et ENTENDRE Nelson
Contre les drogues, chacun peut agir - Ectasy envoyé par Inpes. - L'info video en direct.
Ne pas banaliser l’usage du cannabis, auprès des parents : Une brochure « Cannabis, les risques expliqués aux parents » actualisée, sera diffusée à plus de 100 000 exemplaires dans des structures dédiées aux jeunes ou aux professionnels amenés à être en contact avec eux.
En France il y aurait 1,2 millions de consommateurs réguliers de cannabis.
Source : Ministère de la Santé, mise en ligne Maurice Chevrier, Santé log, réactualisé le 11 décembre 2010
Accès aux dernières actualités sur les Addictions: lien
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