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lundi 20 mai 2019

France : "Pendez les blancs !": une incitation à la haine raciale du rappeur Nick Conrad

Les associations anti-racistes (LDH, SOS Racisme ou MRAP) ne bronchèrent pas, 
le CRAN ou le PIR étant statutairement borgnes 

En septembre 2018, un illustre inconnu sortit de l'anonymat par la voie du scandale.

Résultat de recherche d'images pour "nick conrad"Le rappeur Nick Conrad posta sur YouTube le clip d'une chanson intitulée PLB, pour "Pendez les blancs". Le morceau ne perturba pas la gauche, ni extrême, ni intello-bobo, mais le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, s'en indigna, ce qui sortit de leur torpeur frileuse la classe politique et les media.

Le titre du morceau se suffit à lui-même, mais Libération confirma que l'antiracisme est du racisme. 
"Le rappeur de Noisy plaide la dénonciation du racisme anti-Noirs", nous expliqua Libé dans un article du 5 avril 2019 par Balla Fofana, issu du Bondy Blog.  "L’homme sec et nerveux mesure deux mètres, a les yeux tirés et le crâne rasé.[...] Il arbore fièrement une tunique en coton matelassé du Cameroun. "C’est fait par ma grand-mère." [...]
17 septembre 2018, Nick Conrad, rappeur confidentiel [né le 4 novembre 1983], publie son clip "Pendez les Blancs" "débusqué une semaine plus tard par des militants proches de l’extrême droite estomaqués de la dureté des paroles. "Je rentre dans des crèches, je tue des bébés blancs/ Attrapez-les vite et pendez leurs parents." A Libé, on n'est pas "estomaqué", puisque Dieudonné l'a relayé. "La République tremble," raille Fofana. "Réprobation unanime du gouvernement et de nombreuses associations antiracistes. L’artiste est condamné à 5.000 euros d’amende avec sursis. Nick Conrad doit en plus verser 1.000 euros de dommages et intérêt à l’Agrif (Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne) dont le président est un ancien du FN." Critique déguisée du jugement du tribunal. "Et aussi à la Licra [quel lien avec le RN, Dieudonné ou Nathalie Loiseau ?] qui soutient une pièce de théâtre empêchée par le CRAN à la Sorbonne, où les acteurs blancs arborent des masques noirs, "au nom d’une liberté artistique que la Licra me refuse", déplore Nick Conrad. Au plus fort de la tempête, entre divulgation d’identité, raids numériques nauséabonds et menaces de mort, Nick Conrad perd son emploi de réceptionniste en CDI dans un hôtel de luxe." Compassion de Libé et de Laurent Mouchard-Joffrin, dont le papa est proche de Jean-Marie Le Pen et a longtemps contribué au financement du Front national. Co-fondateur de Finecor, Jean-Pierre Mouchard, un éditeur installé à Genève, et un ancien trésorier d'une association qui collectait des fonds pour le FN.

"Nick Conrad dit dénoncer le racisme à travers l’évocation "à l’envers" des atrocités vécues par les peuples noirs qui habitent, depuis fort longtemps, une sacrée blessure. Dans le texte et le clip, les références au Code noir et au film American History X 
[film américain sorti en 1998 réalisé par Tony Kaye, avec Edward Norton et Edward Furlong, 1998] sont évidentes. 3Black History X, ça n’est que le commencement/Fort de l’enseignement que j’ai reçu tout ce temps/ J’suis venu inverser le commerce gulaire-trian." 
Et sinon, quel était le but, percer vite ? "Le texte appelle à ouvrir le débat. On nous dit d’avancer, mais c’est impossible de le faire sans affronter ce passé commun qui ne passe pas." [...] "PLB a bousculé pas mal de choses. Il y a clairement un avant et un après. Fallait extérioriser." Cofondateur du label Pharaonicks Entertainment, il se consacre au rap sans pouvoir en vivre, pour l’instant. "Je me bats et me débrouille." Retiré de YouTube et des plateformes de streaming, le morceau PLB a fait grand bruit mais n’a pas rapporté un sou. Une maigre poignée de rappeurs lui témoigne un soutien planqué. Et lui leur fait valoir en retour : "Assume ta position en public, sinon c’est inutile." "
A 11 ans, les Blancs de France le soignent. "Il est atteint de la drépanocytose, une maladie génétique qui touche principalement les populations noires et afrodescendantes. "J’ai écrit mon premier texte le 4 janvier 1994 sur mon lit d’hôpital. J’avais besoin d’exprimer ce que j’avais sur le cœur, ce que je vivais sur le moment." Il se remémore sa scolarité perturbée. Re-retour au collège avec la boule à zéro : 'Wesh le cancéreux !' " Et son état de faiblesse, sa scolarisation à trous et l'idéologie dominante le conduisent aux amalgames entre sa condition noire, drépanocytose et colonisation : "agressions de skinheads, discriminations à l’embauche, humiliations au travail… Suprémaciste noir"." Le cinéma et les Indigènes de la République aggravent-ils son mal-être ? "Il rit. "On est en bas de l’échelle, nous." " Comme s'il n'avait pas l'exemple de jeunes Blancs "en bas de l’échelle" ", eux aussi. A 19 ans, sa hargne raciste le barre déjà. 

"Nick Conrad lâche des bribes de sa vie. Le trentenaire est en couple. Il fait partie d’une fratrie de trois. Son père, fringant diplomate camerounais avec le swag de "Denzel Washington dans Unstoppable", débarque en France fin 1970." On ne saura pas à quel titre... "Déclassé. Il perd son emploi à cause de "problèmes familiaux" [on n'en sait pas plus]. Le daron finit manœuvre par défaut, [...] mais la culture prime. Daddy est mélomane : Marvin Gaye, Duke Ellington, Miles Davis… la liste est longue [musique afro-américaine  où Aznavour na pas sa place].
" "Mes parents m’ont transmis un bagage intellectuel et culturel important," assure-t-il. Ils sont protestants, lui se dit 'spirituel'. A 6 ans, il les tanne et entre au conservatoire.[...] Impatient, il veut jouer du jazz. A 8 piges "Je découvris le rap sans le savoir."  [...] Le trentenaire a sa carte d’électeur, dit se plier volontiers au rituel républicain. Mais depuis la discorde PLB, il ne sait plus s’il continuera de voter."
Il a adoré ses études en hôtellerie-restauration (bac pro). Elles lui ont fait aimer la France pour "le savoir-faire et l’exigence qu’elle met dans sa cuisine". Sourire niais et gourmandise enfantine." 

Le chanteur a d'ores et déjà annoncé qu'il va faire appel

Le tribunal correctionnel l'a jugé coupable de provocation au crime pour ce clip qui le met notamment en scène enfonçant un revolver dans la bouche d’un blanc, lui tirant dessus ou lui écrasant la tête sur un trottoir.
Cette peine est conforme à celle  requise par le Parquet lors de l'audience le 9 janvier. "Je suis déçu, mais le combat va continuer, on va faire appel", a réagi le rappeur à l’issue du jugement. Il devra payer 1.000 euros de dommages et intérêts à chacune des deux associations parties civiles, la Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme (Licra) et l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne (Agrif). 

Elle est où l’OLRA, la première organisation "laïque, apolitique et indépendante" de lutte contre le racisme anti-blanc de France. Un groupement vu d’un mauvais œil par les militants anti-racistes ?... "Nous observons que depuis une vingtaine d’années, cette forme de racisme est en pleine expansion dans la société française, mais aussi en Europe et plus largement dans l’Occident", explique l’association, avant de citer ses objectifs : "faire reconnaître, en lui donnant une tribune et une visibilité, cette forme de discrimination particulièrement insidieuse qu’est le racisme anti-blanc".
L’expression d'"un racisme anti-blancs"

L'association Modulable urbain réactif (MUR)
a fait réaliser une “fresque” raciste sur les murs de Paris
avec le soutien financier de la mairie socialiste *
Nick Conrad - un pseudonyme - avait défendu à l’audience une œuvre revendicative, certes réaliste mais fictionnelle et truffée de références à des films comme American History X, qui explore les origines du racisme et de l’extrémisme aux Etats-Unis. 

"Il s'agit d'une dénonciation du racisme à travers l’évocation "à l’envers" de l’esclavage, des lynchages subis par les Noirs", avait assuré le chanteur.
Mais c'est dans des crèches françaises qu'il veut tuer des bébés blancs, avant d'attraper les parents pour les pendre... Tout cela est cohérent, Laurent Mouchard-Joffrin ?


L’affaire de la fresque anti-Blancs de Paris intervient en 2015, un an après le viol barbare d’une Française par un gang d'assassins. Les informations sur ce crime, qui s’était déroulé dans la ville d’Evry, alors dirigée par Manuel Valls, avaient été censurées par la quasi-totalité des media institutionnels. L’ignoble message porté par cette “fresque”, réalisée sur un mur à l’angle de la rue Saint-Maur et de la rue Oberkampf, rappelle le martyre d’Anne-Lorraine, de Marion, et d’autres.



L’association MUR, chargée de diffuser le non-art contemporain (NAC) politisé dans les rues de nos villes, en portant toujours des messages antisociaux, est très abondamment financée par l’argent du contribuable – donc essentiellement par les Blancs. Entre 2010 et 2015, la mairie socialiste lui a attribué 17 000 euros par an, soit 85.000 en seulement cinq ans.




Une plainte a été déposée par l’Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne (AGRIF).

"C’est là évidemment une revendication provocatrice de prédation sexuelle doublement raciste, d’abord à l’égard des femmes françaises ravalées au rang de butin et à l’égard des Français en général. “Les Françaises aux Africains” ! C’est tout simplement un cri de domination barbare et d’appel au viol", précise l’association.

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