La pot de colle fait fonction de première concubine
Deux personnalités par défaut pour accueillir le roi d'Espagne
C’est la ministre des Transports, de l’Écologie et du Développement, Ségolène Royal, ex-compagne du chef de l’Etat, à défaut de Dominique Strauss-Kahn, qui a comblé le vide, à défaut de première dame pour la visite officielle du roi d’Espagne, Felipe VI et notamment la descente des Champs Elysées.
Le roi Felipe VI d’Espagne et la reine Letizia ne sont pas superstitieux: ils bravent le mauvais sort qui accompagne Hollande et sont de retour en France ce mardi, deux mois après l’annulation d’une première visite en raison du crash de l’Airbus de la Germanwings. Le couple royal a entamé cette visite d’Etat de trois jours à midi par une cérémonie à l’Arc de triomphe, où ils ont été accueillis par le président François Hollande et sa ministre de l’Ecologie. Après le traditionnel salut aux drapeaux, Felipe VI et le président Hollande ont déposé des gerbes aux couleurs des deux pays. Escortés d'un détachement de la Garde républicaine, ils ont ensuite descendu les Champs-Elysées.
Julie Gayet ne pouvait faire l'affaire
Portrait de dame de la Cour, par Vélazquez: toute ressemblance avec S. Royal serait une pure coincidence |
Le Point s'est penché sur le problème protocolaire posé à l'Elysée: le choix du ministre qui accompagnerait le Président à cette occasion était un "casse-tête" que rien ne pouvait dépasser, pas même la nouvelle poussée du chômage ou la fraude massive à la CAF. François Hollande ne pouvait pas rester seul, alors que le roi Felipe VI était accompagné. La reine Letizia était en quelque sorte la trouble fête du moment.
Laurent Fabius, numéro 2 du gouvernement, s'endort au moindre arrêt, mais en plus il était absent. C’est à la numéro trois qu'échoua donc le rôle de support. Les ex-compagnons ne partageaient néanmoins pas dans la même voiture: Julie Gayet y aurait été opposée. Et le roi d’Espagne a co-voituré François Hollande et la reine a chargé Ségolène Royal.
Dans l’après-midi, le couple royal espagnol visitera, toujours en présence de François Hollande, l’exposition consacrée au peintre Diego Velazquez au Grand Palais, mais sans sa glue. Une remise de décorations au personnel de secours qui est intervenu sur le site de la catastrophe de la Germanwings est ensuite prévue en fin d’après-midi à l’Elysée, où un dîner d’Etat aura lieu dans la soirée.
Des députés de gauche - les Galut ou les Mamère- seront à la buvette de l'Assemblée, comme la radicale Orliac qui sèche les QAG pour Roland-Garros... |
Mercredi à 15h, les membres du gouvernement et les députés recevront une leçon de courtoisie.
En octobre 1993, son père, Juan Carlos, avait été le premier souverain étranger à s’exprimer dans notre langue au Palais Bourbon. C'est classe un chef d'Etat qui parle une langue étrangère... Felipe VI a dû bénéficier de classes bilangues dont les Français n'ont nullement besoin ! Même à la sortie de Science-Po Paris et de l'ENA...
L’Elysée n'a pas manqué de tirer avantage de la visite du roi d’Espagne
Les ploucs ont estimé qu'elle illustre, "le partenariat d’exception qui lie la France et l’Espagne" et les convergences entre les deux pays sur les grands sujets internationaux.
Elle comportera également un volet économique, l’Espagne est en effet l’un des tout premiers partenaires de la France: les exploitants agricoles en savent quelque chose, à la différence de Le Foll, ministre intermittent de l'Agriculture.
La mère des enfants du président socialiste ne déteste pas se mettre en avant et a besoin se faire valoir à six mois de l'ouverture à Paris d'une conférence sur l'environnement présentée comme un moment chaud du quinquennat...
Reste à surveiller le compte Twitter de Valérie Trierweiler qui devrait bouillir...
Mr Hollande est comme la Météo, imprévisible, et avec lui ,il y a toujours des surprises
RépondreSupprimerquant Madame Royal c'est pareil, et comme le ridicule ne tue pas..on continue..