radieuse au côté de Hollande pour un premier déplacement commun,
à ...Gandrange pour "célébrer" la fin de notre sidérurgie
Dans une Lorraine sinistrée par la désindustrialisation, les deux branquignols sont allés faire un petit tour en Moselle pour tenter de banaliser la perte par le socialiste Jospin de 3.000 emplois Renault en Belgique en 1997.
"Je ne suis pas venu ici pour laisser croire que dès l'élection présidentielle, tout sera possible, mais pour dire que tout sera engagé pour que nous ayons (...) la mobilisation des moyens", a lancé le candidat socialiste.
Le candidat socialiste a eu le front de dénoncer à plusieurs reprises l'action de son rival dans la bataille élyséenne. Il a ainsi regretté que sous le quinquennat, Gandrange soit "devenu le symbole de l'abandon de l'emploi comme priorité, de l'absence d'une politique industrielle, des manquements à la parole donnée".
En février 1997, Renault annonça la fermeture de Renault Vilvoorde pour rationaliser sa production en Europe.
La Belgique fut stupéfaite et en colère, car la réputation de l’usine était excellente: la décision paraissait donc injuste. A la demande du conseil d’administration de Renault, une experte, Danielle Kaisergruber, fut nommée pour étudier les solutions alternatives à la fermeture de Vilvoorde (Vilvorde, en français) proposées par le comité de groupe européen, fondées sur la réduction du temps de travail sur l’ensemble des sites.
La dissolution de l’Assemblée nationale en France ayant conduit à une alternance politique imprévue, on pouvait s’attendre à une pression politique sur la direction du groupe ; mais les Belges, très pragmatiques et très méfiants à l’égard des histoires françaises, ont préféré poursuivre la négociation du plan social.
Jospin, le menteur de Vilvorde, avait pris des engagements
VOIR et ENTENDRE Martine Aubry se défausser sur l'entreprise industrielle et Lionel Jospin avouer son impuissance:
Hormis Hollande et l'équipe Brochen-Aubry, personne n'a oublié qu’en 1997 Jospin avait promis que l’usine Renault-Vilvorde ne serait pas fermée si on votait pour lui. Aujourd'hui, les socialistes se transportent en grande pompe médiatique à Gandrange et aucun analyste ou décrypteur distingué n'évoque la tragédie belge.
Un rideau de fumée socialiste
Les travailleurs de Renault n'a pourtant pas oublié que quinze jours seulement après son élection au poste de Premier Ministre, Jospin fermait Renault-Vilvorde ! Si, selon la gauche, les promesses faites aux riches sont souvent tenues, celles faites aux pauvres par les socialistes et les syndicats dominants, ne le sont visiblement pas davantage !
Les travailleurs de Renault n'a pourtant pas oublié que quinze jours seulement après son élection au poste de Premier Ministre, Jospin fermait Renault-Vilvorde ! Si, selon la gauche, les promesses faites aux riches sont souvent tenues, celles faites aux pauvres par les socialistes et les syndicats dominants, ne le sont visiblement pas davantage !
A 18 h 30, le 03/04/1997, la chaîne s’arrêta.
Jospin n'a pas de "solution industrielle" pour Vilvorde (Libération - 7 juin 1997 )
"En aparté de la réunion des socialistes européens à Malmö, Lionel Jospin a laissé poindre son embarras sur l'affaire Renault-Vilvorde. "J'ai demandé à mon cabinet de regarder ce problème", a-t-il glissé.
Rappelant qu'il avait reçu une délégation des ouvriers de Vilvorde, le Premier ministre a indiqué: "C'est une question dont je suis amené à me saisir. J'ai une sensibilité et une opinion en temps que responsable politique, mais je ne peux pas apporter une réponse à une question industrielle."
Les électeurs de 2012 sont prévenus.
De toute façon nous connhaissons déjà le programme de " Flamby. " En voici un extrait en exclusivité " :
RépondreSupprimer" Blablaba Sarkozy, blablabla l'UMP, c'est la faute à Sarkozy, et reblablaba. " Un dernier souhait tout de même : que le pupitre depuis lequel il va nous déverser son flot de co.......soit bien ...
Que le pupitre soit bien ... fixé.
RépondreSupprimerVoulez-vous dire qu'il picole et devra se cramponner ?
RépondreSupprimer