La responsabilité du syndicalisme à la française
VOIR et ENTENDRE la mise en cause par le journaliste de RMC:
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Eric Brunet pense que le syndicalisme à la... par rmc
Quelle est donc la responsabilité des syndicats dans le traitement de la cirse ?
Après avoir rencontré de grosses difficultés à trouver un emploi, j'ai été recrutée en intérim (2 x 6 mois) par une organisation paritaire en tant qu'agent de maîtrise pour participer à la naissance d'un service réclamations & assistance aux utilisateurs du site WEB associé.
RépondreSupprimer2 ou 3 jours après mon arrivée, un DP m'a abordée pour me dire que mon poste n'était pas légitime et que l'organisation aurait dû faire monter en compétence des salariés en place au lieu de m’employer moi.
Pour info, 2 employées "historiques" venaient de rejoindre ce service de leur propre gré et rapidement, j'ai pris conscience qu'il était culturel pour elles de ne rien faire, de faire semblant de travailler, de ne pas faire leurs horaires, de passer des heures en pause, de ne surtout pas se plier aux contraintes qu'impose un métier lié à la satisfaction clients et de refuser systématiquement les taches liées au poste.
Habituée que je suis à m'impliquer dans mon travail, j’essaie de travailler d’arrache-pied pour participer à rendre légitime ce service qui répond à un réel besoin.
Très rapidement, un nouveau "syndiqué" est venu vers moi pour me faire comprendre que pour rester dans la boîte, je devais être discrète.
Par ailleurs, on a commencé à vouloir me déstabiliser: Ton poste est sur la sellette!", m'a-t-on appris...Heureusement, j'ai le soutien moral du management qui a contredit ses dires et qui m’accompagne autant que faire se peut (Il est aussi dans la ligne de mire de l’organisation syndicale) dans cette ambiance délétère.
Après cela, l'un des DP est revenu à la charge en me faisant part qu'une salariée d'un autre service s'était plainte de mon travail auprès de lui (Elle avait fait une erreur et le "client" lésé était venu vers moi pour se plaindre: Pour comprendre sa problématique, j'avais dû en analyser les tenants et aboutissants ; le nom de cette salariée était ainsi apparu. Il ne s'agissait absolument pas pour moi de l'incriminer ou de la « tracer » mais de comprendre tout simplement le contexte et toute syndiquée qu'elle est, elle m'a accusé de la "fliquer").
Bien sûr, dans ce contexte pesant, les DP et autres syndiqués participent à me discréditer aux yeux de tous si bien que peu de gens me parlent ou osent me parler.
Ils passent leur temps à cracher leur venin sur les évolutions de l’organisation, en dévoilant les salaires des managers pour attiser les haines, etc.
Depuis ces premières tentatives de déstabilisation, une autre salariée a rejoint le service. Comme moi, elle vient d’un univers où l’on travaille vraiment et est sidérée par ce qu’elle voit.
Hier, un DP qui ne m'avait jusqu'alors jamais adressé la parole, m’a apostrophée en prétextant un cas que j’aurais mal traité pour me dire explicitement « Que le service Réclamations est un non-sens, que je ne suis pas légitime, que l’organisation n’a pas à évoluer et que ceux qui ont tenté de le faire se sont fait éjecter… »
Après cela, j’ai été réconfortée par le management qui subit également les mêmes menaces.
Je suis au bord de la crise de nerfs mais je tiens bon.
Si par hasard, vous pouviez me donner des conseils, je suis preneuse.
Un DP, c'est un délégué du personnel,
RépondreSupprimerdonc un syndicaliste, c'est-à-dire un totalitaire qui fait sa loi dans l'entreprise, animé par une idéologie conservatrice et néfaste aux salariés.
Mais alors que faire quand personne n'ose, quand tout le monde a peur pour son poste, quand tout un chacun fait semblant de ne rien voir?
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