Les parano socialistes auront tenté en vain de discréditer le pouvoir
Valérie Trierweiler, ringarde et suspicieuse,
" gauche molle" à son côté
[photo censurée, par la dame ?]
Le Parquet de Paris a classé l'enquête sans suite
" gauche molle" à son côté
Le Parquet de Paris a classé l'enquête sans suite
Il n'y a pas eu les investigations policières que fantasmait la compagne de François Hollande, la journaliste de Paris Match, Valérie Trierweiler, a confirmé mercredi son avocate.
Valérie Trierweiler "prend acte de la décision de classer sans suite" la plainte que son compagnon François Hollande et elle ont portée contre X pour "collecte et traitement illicite de données personnelles", indique Me Frédérique Giffard, dans un communiqué. "Même si des interrogations subsistent à l'issue des investigations menées, Valérie Trierweiler n'entend pas, en l'état, relancer la procédure judiciaire", ajoute-t-elle.
Christophe Barbier, le directeur de publication de l’hebdomadaire, avait été auditionné "courant octobre" par le Défenseur des droits.
Echec pathétique d'une intox politicienne
L'enquête de l'Inspection générale des services (IGS, la "police des polices") faisait suite à une plainte contre "X" déposée par le couple de Valérie Trierweiler, après la publication le 4 octobre dernier d'un article de L'Express affirmant que la compagne du candidat socialiste avait fait l'objet d'une enquête de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris, pratique qui aurait été illégale si elle avait été avérée.
L'hebdomadaire avait supputé une tentative pour constituer une "notice biographique fouillée" et de rassembler des informations susceptibles d'être utilisées politiquement contre le candidat PS, favori des sondages pour l'Elysée.
Le gouvernement a démenti les accusations sur l'existence présumée de toute enquête clandestine et le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a porté plainte pour "diffamation et diffusion de fausses nouvelles".
Valérie Trierweiler "prend acte de la décision de classer sans suite" la plainte que son compagnon François Hollande et elle ont portée contre X pour "collecte et traitement illicite de données personnelles", indique Me Frédérique Giffard, dans un communiqué. "Même si des interrogations subsistent à l'issue des investigations menées, Valérie Trierweiler n'entend pas, en l'état, relancer la procédure judiciaire", ajoute-t-elle.
Christophe Barbier, le directeur de publication de l’hebdomadaire, avait été auditionné "courant octobre" par le Défenseur des droits.
Echec pathétique d'une intox politicienne
L'enquête de l'Inspection générale des services (IGS, la "police des polices") faisait suite à une plainte contre "X" déposée par le couple de Valérie Trierweiler, après la publication le 4 octobre dernier d'un article de L'Express affirmant que la compagne du candidat socialiste avait fait l'objet d'une enquête de la Direction du renseignement de la préfecture de police de Paris, pratique qui aurait été illégale si elle avait été avérée.
L'hebdomadaire avait supputé une tentative pour constituer une "notice biographique fouillée" et de rassembler des informations susceptibles d'être utilisées politiquement contre le candidat PS, favori des sondages pour l'Elysée.
Le gouvernement a démenti les accusations sur l'existence présumée de toute enquête clandestine et le ministre de l'Intérieur Claude Guéant a porté plainte pour "diffamation et diffusion de fausses nouvelles".
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