La dégradation du triple A n'a pas les effets négatifs escomptés par le PS
HOLLA A NDE
Pas de quoi faire la ola !
Une seule agence sur trois
ne fait pas le printemps de Hollande
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L'euro progresse face au dollar
Jeudi, l'euro continuait sa progression face au dollar et au yen japonais, bénéficiant de la hausse de la Bourse américaine et de nouvelles rassurantes en Europe.
Vers 22h20 GMT (23H20 à Paris), l'euro valait 1,2961 dollar, contre 1,2862 dollar mercredi vers 22h00 GMT, son plus haut niveau depuis deux semaines.
La monnaie unique grimpait face à la devise nippone à 99,97 yens, contre 98,78 yens mercredi soir.
Le dollar montait face à la monnaie japonaise à 77,15 yens contre 76,80 yens la veille.
Dans un contexte de confiance accrue vis-à-vis de la monnaie unique, "l'esprit du moment est à la prise de risque, et cela s'explique en grande partie par la hausse des valeurs boursières américaines qui ont encore une fois fini en hausse aujourd'hui", a observé le cambiste Alan Ruskin, de Deutsche Bank.
La Bourse de New York a terminé en hausse jeudi, enregistrant sa meilleure performance depuis six mois à la faveur de bons résultats d'entreprise et dans l'attente de résultats de grosses valeurs technologiques.
Les cours de l'euro étaient également soutenus par le succès des émissions obligataires européennes jeudi.
Les prêts à la France n'ont pas à souffrir de la baisse du Triple A
La France a levé un total de 9,463 milliards d'euros sur des échéances moyen et long termes avec des taux en nette baisse.
L'Espagne a de son côté emprunté un total de 6,609 milliards d'euros, bien plus que son objectif prévu, bénéficiant encore une fois d'une forte demande et de la chute des taux d'intérêt, notamment sur l'échéance-phare à 10 ans, signe d'une détente des marchés.
De plus, l'euro était toujours porté par "la perspective de voir une vague de liquidité déferler sur les marchés financiers, marquant la première étape pour régler la crise des dettes souveraines en zone euro en évitant leur assèchement", a observé Mme Brooks.
Cet optimisme est alimenté par l'annonce mercredi par le FMI de sa volonté d'augmenter, d'au moins 500 milliards de dollars supplémentaires, ses financements pour faire face à la crise en zone euro et ses retombées sur l'économie mondiale.
En outre, le cours de la monnaie unique était porté par un regain d'espoir suite à la reprise mercredi des négociations en Grèce pour un effacement partiel de sa dette. Ces discussions se sont poursuivies jeudi en vue d'un accord possible avant la fin de la semaine avec ses créanciers privés (banques, sociétés d'assurance, fonds spéculatifs...)
Vu l'importance de ces négociations, la prudence restait de mise car "si elles échouent, le pays se retrouvera en situation de défaut de paiement le 20 mars au plus tard", prévenaient les analystes de Commerzbank.
Jeudi 19 janvier, le ministre grec des Finances, Evangélos Vénizélos, a par ailleurs annoncé que la Grèce va négocier de nouveaux prêts avec le FMI dans le cadre du deuxième plan d'aide accordé par la zone euro à Athènes fin octobre.
Hors zone euro
17 des 27 états membres de l'U.-E. ont adopté l'euro:
Allemagne (1999)
Autriche (1999) La Bourse de New York a terminé en hausse jeudi, enregistrant sa meilleure performance depuis six mois à la faveur de bons résultats d'entreprise et dans l'attente de résultats de grosses valeurs technologiques.
Les cours de l'euro étaient également soutenus par le succès des émissions obligataires européennes jeudi.
Les prêts à la France n'ont pas à souffrir de la baisse du Triple A
La France a levé un total de 9,463 milliards d'euros sur des échéances moyen et long termes avec des taux en nette baisse.
L'Espagne a de son côté emprunté un total de 6,609 milliards d'euros, bien plus que son objectif prévu, bénéficiant encore une fois d'une forte demande et de la chute des taux d'intérêt, notamment sur l'échéance-phare à 10 ans, signe d'une détente des marchés.
De plus, l'euro était toujours porté par "la perspective de voir une vague de liquidité déferler sur les marchés financiers, marquant la première étape pour régler la crise des dettes souveraines en zone euro en évitant leur assèchement", a observé Mme Brooks.
Cet optimisme est alimenté par l'annonce mercredi par le FMI de sa volonté d'augmenter, d'au moins 500 milliards de dollars supplémentaires, ses financements pour faire face à la crise en zone euro et ses retombées sur l'économie mondiale.
En outre, le cours de la monnaie unique était porté par un regain d'espoir suite à la reprise mercredi des négociations en Grèce pour un effacement partiel de sa dette. Ces discussions se sont poursuivies jeudi en vue d'un accord possible avant la fin de la semaine avec ses créanciers privés (banques, sociétés d'assurance, fonds spéculatifs...)
Vu l'importance de ces négociations, la prudence restait de mise car "si elles échouent, le pays se retrouvera en situation de défaut de paiement le 20 mars au plus tard", prévenaient les analystes de Commerzbank.
Jeudi 19 janvier, le ministre grec des Finances, Evangélos Vénizélos, a par ailleurs annoncé que la Grèce va négocier de nouveaux prêts avec le FMI dans le cadre du deuxième plan d'aide accordé par la zone euro à Athènes fin octobre.
Hors zone euro
17 des 27 états membres de l'U.-E. ont adopté l'euro: Allemagne (1999)
Belgique (1999)
Chypre (2008)
Espagne (1999)
Estonie (2011)
Finlande (1999)
France (1999)
Grèce (2001)
Irlande (1999)
Italie (1999)
Luxembourg (1999)
Malte (2008)
Pays-Bas (1999)
Portugal (1999)
Slovaquie (2009)
Slovénie (2007
Vers 22H20 GMT, la livre britannique baissait face à l'euro à 83,70 pence pour un euro, mais montait face au billet vert, à 1,5480 dollar.
La devise helvétique était en légère baisse face à l'euro à 1,2088 franc suisse pour un euro, et progressait face au billet vert à 0,9326 franc suisse pour un dollar.
Le yuan chinois a terminé à 6,3159 yuans pour un dollar contre 6,3117 yuans la veille.
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