Première: Henri Guaino refuse de se laisser insulter sur un plateau de télé
Marianne (et d'autres)
ont-ils de bonnes raisons
d'être fiers ?...
On attendait que la majorité entre en résistance
ont-ils de bonnes raisons
d'être fiers ?...
On attendait que la majorité entre en résistance
Trop longtemps la presse d'opposition a instrumentalisé la courtoisie des acteurs politiques de la majorité.
Ils acceptent de débattre en direct en situation d'infériorité: l'animateur, soit hostile, soit craintif du SNJ, oriente les échanges en défaveur du représentant de la majorité et prend parti pour l'opposition largement représentée. On a vu des plateaux où le représentant du gouvernement était passé en jugement, seul et sans soutien, pas même celui de son hôte, par un jury totalement acquis à la gauche, avouée ou honteuse. L'engagement politique des invités est souvent dissimulé, ce qui est couramment le cas d'un membre d'association ou de la société civile. L'équilibre entre participants de droite et de gauche est rarement assuré.
Le spectacle de agit-prop est entré à la télévision
Les débats sont pliés d'avance, car livrés à des guérilléros
Des émissions de divertissement se mêlent de politique et des embuscades supposées hilarantes. Orchestrées par des chauffeurs de salle, elles sont montées par des chaînes crées par la gauche (Canal+) ou de service public noyautées par les gauchistes du Syndicat des Journalistes qui font leur loi sur France Inter ou France 3, par exemple.
Elles donnent la parole aussi bien à des experts-maison ou sympathisants, des décrypteurs et sondeurs appointés par les partis, mais aussi à des incompétents trouvés dans la rue (mais qui ont "tous les droits" de dire n'importe quoi, comme les autres) ou du monde du spectacle (qui n'ont "aucun devoir" ni de réserve, ni de pudeur, comme Noah). Or, il n'est pas exact d'assurer que tout le monde peut prendre la parole, car le panel des "témoins anonymes" ne sont pas tant représentitifs de la société que de l'opinion développée par l'émission, ses producteurs et son syndicat dominant: ils font l'objet d'un tri strict et abondent très largement dans le sens recherché.
Or, tous - peu ou prou, mais de plus en plus - ne véhiculent au fond rien d'autre que des impressions personnelles ou les sentiments d'anonymes participant de la rumeur plus que des faits. Supputations et élucubrations ne font pas davantage peur aux responsables politiques qui aliment les désordres du raisonnement et le chaos déontologique qu'aux chaînes d'"information" qui meublent ainsi un nombre excessif d'heures d'antenne.
Tous perturbent la réflexion et polluent le débat et ainsi les analystes y perdent-ils leur latin et l'opinion est-elle manipulée.
Elles donnent la parole aussi bien à des experts-maison ou sympathisants, des décrypteurs et sondeurs appointés par les partis, mais aussi à des incompétents trouvés dans la rue (mais qui ont "tous les droits" de dire n'importe quoi, comme les autres) ou du monde du spectacle (qui n'ont "aucun devoir" ni de réserve, ni de pudeur, comme Noah). Or, il n'est pas exact d'assurer que tout le monde peut prendre la parole, car le panel des "témoins anonymes" ne sont pas tant représentitifs de la société que de l'opinion développée par l'émission, ses producteurs et son syndicat dominant: ils font l'objet d'un tri strict et abondent très largement dans le sens recherché.
Or, tous - peu ou prou, mais de plus en plus - ne véhiculent au fond rien d'autre que des impressions personnelles ou les sentiments d'anonymes participant de la rumeur plus que des faits. Supputations et élucubrations ne font pas davantage peur aux responsables politiques qui aliment les désordres du raisonnement et le chaos déontologique qu'aux chaînes d'"information" qui meublent ainsi un nombre excessif d'heures d'antenne.
Tous perturbent la réflexion et polluent le débat et ainsi les analystes y perdent-ils leur latin et l'opinion est-elle manipulée.
Les comiques ont sali le débat
Si les chansonniers étaient spirituels, nos humoristes politiques ne sont pas drôles. Les attaques étaient mouchetées, elles sont désormais directes, voire frontales. Coluche et Le Luron maîtrisaient le biais de leur humour, Didier Porte et Stéphane Guillon se laissent emporter par l'opinion du microcosme parisien et la nouvelle génération par la vulgarité, comme Nicolas Bedos. L'humour politique dessert le débat.
Les aigris de 1995, 2002 et 2007 ont dévoyé le débat
Dix-sept-années d'amertume et d'ambitionS refoulées...
L'argumentation des élus de la majorité démocratique peut donc être bien documentée et fondée sur la réalité du terrain comme de l'action réélement menée par le gouvernement, si percutante soit-elle, elle est néanmoins attaquée par des mercenaires de la désinformation. Des invités sans foi ni loi interrompent les démonstrations et caricaturent les mesures. Les membres de la majorité se font agresser comme au coin d'un bois, sans broncher. Ils ont cru longtemps que c'est le prix à payer par les démocrates à la liberté d'expression !
Le conseiller de Sarkozy ouvre la voie de la révolte
Henri Guaino claque le bec de Joseph Macé-Scaron, journaliste représentatif de la presse bobo du Marais et de l'agression verbale débridée, comme les aiment les media partisans, soucieux d'audience et de buzz mais superficiels et manipulateurs.
La droite dénonce activement la désinformation
L'heure est au refus de la caricature et de l'insulte: stupéfait le journaliste l'apprend à ses dépens.
VOIR et ENTENDRE la "colère saine" d'Henri Guaino agressé par le sulfureux journaliste de Marianne, sur le sujet de l'identité nationale , au cours du débat qu'Olivier Galzi était supposé diriger sur i>télé, le 28 janvier 2012.
Extrait:
"Je n'accepte pas ce genre de langage, vous caricaturez le débat, vous transformez le débat politique en guerre civile, s'emporte le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy. Vous êtes le bien ? Vous voulez me donner des leçons de morale ? Vous êtes qui pour me dire ça ? Vous avez fait quoi dans votre vie pour me dire que je suis indigne ? Ce débat n'était pas indigne, c'est vous qui êtes indigne ! Indigne de votre métier, indigne de ce débat, indigne du débat démocratique... C'est une attitude inadmissible ! Je ne viens pas sur un plateau pour me faire insulter par quelqu'un qui n'a aucun titre pour porter des jugements moraux."
VOIR et ENTENDRE la "colère saine" d'Henri Guaino agressé par le sulfureux journaliste de Marianne, sur le sujet de l'identité nationale , au cours du débat qu'Olivier Galzi était supposé diriger sur i>télé, le 28 janvier 2012.
Extrait:
"Je n'accepte pas ce genre de langage, vous caricaturez le débat, vous transformez le débat politique en guerre civile, s'emporte le conseiller spécial de Nicolas Sarkozy. Vous êtes le bien ? Vous voulez me donner des leçons de morale ? Vous êtes qui pour me dire ça ? Vous avez fait quoi dans votre vie pour me dire que je suis indigne ? Ce débat n'était pas indigne, c'est vous qui êtes indigne ! Indigne de votre métier, indigne de ce débat, indigne du débat démocratique... C'est une attitude inadmissible ! Je ne viens pas sur un plateau pour me faire insulter par quelqu'un qui n'a aucun titre pour porter des jugements moraux."
=> A noter que France 2 a fourni une illustration de sa déontologie professionnelle en faisant aussitôt exploiter l'indignation d'Henri Guaino -hors contexte- par l'insupportable comique du journal de Mlle Drücker...
Henri Guaino a des raisons de s'indigner
Il connaît aussi bien son sujet que ce sujet-là.
Henri Guaino a des raisons de s'indigner
Il connaît aussi bien son sujet que ce sujet-là.
Joseph Macé-Scaron (1958)
Sorti du lycée Pasteur, à Neuilly-sur-Seine, ce journaliste migrateur est passé par l'IEP, pour atterrir à Magazine Hebdo (classé à droite pendant les années Mitterrand, 1983-1985), s'installer au Figaro (1985-1995), puis faire étape au Point (1995), avant un retour du fils prodigue au Figaro où il fut un temps directeur de la rédaction du Figaro Magazine (2003).
Ce bel esprit flexible est un cumulard fier
Il est aujourd'hui directeur adjoint de l'hebdomadaire Marianne, directeur du mensuel Le Magazine Littéraire (repris en main par Marianne) et producteur d'une émission de critique littéraire sur France Culture... Autant de postes que les jeunes n'auront pas.
Donneur de leçon et plagiaire récidiviste
En août 2011, Acrimed révèla que, dans son roman Ticket d'entrée, Joseph Macé-Scaron a pris la liberté de recopier quelques passages de la traduction française de American rigolos : chroniques d'un grand pays de Bill Bryson sans citer ce dernier.
Le chroniqueur fielleux Bruno Roger-Petit pointe un autre passage de "Ticket d’entrée", que Joseph Macé-Scaron aurait emprunté à "La Belle vie", un roman Jay McInerney cette fois, paru en 2003.
L'essayiste et critique littéraire distingué a-t-il écrit quoi que ce soit de sa main ?
Ce digne directeur du "Magazine littéraire" a aussi puisé dans un livre de Rachel Cusk pour composer son roman. Là encore, la similitude entre les deux passages est troublante, et invite à se demander de quoi est faite la "méthode JMS". De cette moralité qui crédibilise les attaques frontales à la télévision avec le soutien d'un transfuge de France 2 ? Macé-Scaron fait visiblement plus de copié-collé que de création...
L'Express pointa des faits similaires pour "Trébizonde avant l'oubli" ; cette fois, la source est le livre de Ernst Jünger, 'Premier journal parisien', 1941-1943, tandis que Le Monde, reprenant un numéro de 1999 du Canard enchaîné, fournit un autre exemple datant de 1998 pour Le Cavalier de minuit.
Joseph Macé-Scaron rejette les accusations de plagiat et se défend en évoquant des " emprunts " — dont seraient coutumiers tous les auteurs: autant mouiller tout le monde !— et le concept d'intertextualité (Gérard Genette).
Et pour couronner cet belle carrière d'addiction au pillage, en septembre 2011, L'Express signale aussi les " emprunts " faits par Joseph Macé-Scaron en tant que journaliste à divers critiques littéraires.
Le magazine (1997) du vertueux Jean-François Kahn, puis de Maurice Szafran, Marianne, qui soutient Bayrou, le candidat qui lave plus blanc qu'Eva-Gro Joly, estime donc qu'il n'est fait pas tache aux côtés de Laurent Neumann ou Jacques Julliard. Vanessa Schneider, Renaud Dély et la hyène ricanante Nicolas Domenach, infatigables agents de surface spécialistes des ménages de plateaux, n'en sont pas plus ébouriffés...
ASSEZ DE MALTRAITANCE MEDIATIQUE
Les acteurs politiques de la majorité sont dorénavant invités à ne pas faire le dos rond.
Le CSA n'a-t-il donc pas le courage de rappeler les agitateurs à l'ordre ?
Ce bel esprit flexible est un cumulard fier
Il est aujourd'hui directeur adjoint de l'hebdomadaire Marianne, directeur du mensuel Le Magazine Littéraire (repris en main par Marianne) et producteur d'une émission de critique littéraire sur France Culture... Autant de postes que les jeunes n'auront pas.
Donneur de leçon et plagiaire récidiviste
En août 2011, Acrimed révèla que, dans son roman Ticket d'entrée, Joseph Macé-Scaron a pris la liberté de recopier quelques passages de la traduction française de American rigolos : chroniques d'un grand pays de Bill Bryson sans citer ce dernier.
Le chroniqueur fielleux Bruno Roger-Petit pointe un autre passage de "Ticket d’entrée", que Joseph Macé-Scaron aurait emprunté à "La Belle vie", un roman Jay McInerney cette fois, paru en 2003.
L'essayiste et critique littéraire distingué a-t-il écrit quoi que ce soit de sa main ?
Ce digne directeur du "Magazine littéraire" a aussi puisé dans un livre de Rachel Cusk pour composer son roman. Là encore, la similitude entre les deux passages est troublante, et invite à se demander de quoi est faite la "méthode JMS". De cette moralité qui crédibilise les attaques frontales à la télévision avec le soutien d'un transfuge de France 2 ? Macé-Scaron fait visiblement plus de copié-collé que de création...
L'Express pointa des faits similaires pour "Trébizonde avant l'oubli" ; cette fois, la source est le livre de Ernst Jünger, 'Premier journal parisien', 1941-1943, tandis que Le Monde, reprenant un numéro de 1999 du Canard enchaîné, fournit un autre exemple datant de 1998 pour Le Cavalier de minuit.
Joseph Macé-Scaron rejette les accusations de plagiat et se défend en évoquant des " emprunts " — dont seraient coutumiers tous les auteurs: autant mouiller tout le monde !— et le concept d'intertextualité (Gérard Genette).
Et pour couronner cet belle carrière d'addiction au pillage, en septembre 2011, L'Express signale aussi les " emprunts " faits par Joseph Macé-Scaron en tant que journaliste à divers critiques littéraires.
Le magazine (1997) du vertueux Jean-François Kahn, puis de Maurice Szafran, Marianne, qui soutient Bayrou, le candidat qui lave plus blanc qu'Eva-Gro Joly, estime donc qu'il n'est fait pas tache aux côtés de Laurent Neumann ou Jacques Julliard. Vanessa Schneider, Renaud Dély et la hyène ricanante Nicolas Domenach, infatigables agents de surface spécialistes des ménages de plateaux, n'en sont pas plus ébouriffés...
ASSEZ DE MALTRAITANCE MEDIATIQUE
Les acteurs politiques de la majorité sont dorénavant invités à ne pas faire le dos rond.
Le CSA n'a-t-il donc pas le courage de rappeler les agitateurs à l'ordre ?
Mille bravos à Monsieur Guaino.
RépondreSupprimerIl suffit d'avoir été insulté depuis cinq ans .......Quand les scriboulliards insultent Monsieur Sarkozy ils insultent ceux qui ont votés pour lui. Et ces baveux se prétendent démocrates?......Démocrate si on parle comme eux.........
j'ai sur twitter depuis déjà 3 mois refuser de faire insulter et le président et son épouse Carla Sarkozy depuis ces 3 mois jamais je n'ai eu de cesse de répondre a ces socialistes souvent même par des phrases qui ont étaient retwitter par des amis de droite,nous ne devons plus se laisser prendre pour des imbéciles on doit se comporter comme monsieur Guaino que j'ai aprecier contre ce crétin
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