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samedi 26 octobre 2019

L'islam inquiète un nombre grandissant de citoyens français (sondage IFOP)

Une forte majorité de la population souhaite une interdiction plus large des signes religieux ostensibles

La population s'inquiète de la prise de possession de l'espace public par l'islam
 
Résultat de recherche d'images pour "femmes musulmanes au Bourget"
Le voile islamique pour assurer discrétion et sécurité des musulmanes face à la concupiscence des hommes ?
Le président du Sénat Gérard Larcher s'exprimant sur le sujet de la laïcité dans le JDD a manifesté sa déconnexion avec la France réelle en appelant à légiférer sur la question des accompagnatrices scolaires et en rappelant, "en même temps", qu'il faudrait "défendre" la liberté de "porter une kippa, une soutane, une croix ou un voile dans l'espace public".

Le salon du Bourget, kermesse de l'islam ?

Chaque printemps, 
même travestie en association des "Musulmans de France" depuis peu, l’UOIF (Union des Organisations Islamiques de France) tenait son Salon dans le Parc des Expositions Paris-Le Bourget.  En 2010, le thème de cette foire était "Etre musulman aujourd’hui – Foi Témoignage Responsabilité". Le "témoignage "prosélyte" était donc déjà assumé au grand jour il y a dix ans dans les 7 halls du Parc des Expositions, 5 d’entre eux étaient occupés par ce salon. Dans le hall 2B (20.000 m2) se trouvait le salon d’exposition, avec une zone pour la restauration (strictement halal, on s’en doute), un "Pôle jeunesse" pour les enfants et les adolescents (et les voyages scolaires organisés par les centres sociaux apolitiques et laïcs avec accompagnatrices voilées), un "Forum associatif" pour la propagande para-religieuse, et l’inévitable "Exposition du Prophète". Le hall 2A servait de salle de conférence, et le hall 2C d’ "Espace VIP". Enfin, la moitié du hall 3 était transformée en salle de prière pour les hommes, et le hall 1 en salle de prière pour les femmes (et pour les éventuels hommes portant la burqa).

Ce salon a attiré à Paris des musulmans venus de toute la France, de Belfort ou Dijon, Bordeaux ou Marseille, et même de Suisse et de Belgique. Par exemple, des voyages en bus étaient organisés depuis Montpellier, Grenoble, Valence, Toulouse, Orléans, Lille, Lyon, Saint-Etienne, Bonneville (Haute-Savoie), etc. D’autres musulmans étaient même venus en avion - empreinte carbone tolérée par Europe Ecologie-les Verts (EELV) -  de pays plus lointains (des pays du Maghreb, mais aussi des pétro-dictatures du Golfe), bien que les écologistes mette la pression aux autres pour qu'ils privilégient les circuits courts de l'économie), et avaient atterri à l’aéroport international de Roissy, à seulement 12 kilomètres de là. 
Une foule de femmes majoritairement voilées se presse, certaines portant un hijab, d’autres un jilbab, d’autres encore un tchador, voire un niqab, car il faut se montrer chez les mécréants. 
Accompagnant leurs femmes, des hommes - plutôt polygames - dont certains portent le kamis (robe blanche plus ou moins longue des intégristes musulmans), et des enfants, dont quelques petites filles, elles aussi voilées dès très ans ou avant, si nubiles.

Il ne faudrait pas croire que ce salon est un simple souk. 
Devant le hall 2B, une grande banderole annonce : "Concours National de Mémorisation du Saint Coran". 
Nous avons donc bien à faire à un lieu religieux, comme peuvent l'être à travers la France les soi-disant centres culturels musulmans qui hébergent certes une bibliothèque mais aussi et surtout une mosquée. Rien qui puisse susciter l’étonnement des personnes informées, puisque, pour les fondamentalistes musulmans, il n’y a qu’un seul livre à lire au monde – non, même pas à lire, seulement à apprendre par cœur pour le recracher automatiquement : le Coran. Des stands de livres islamiques, remplis de commentaires du Coran, de livres de conseils pour les femmes musulmanes, de livres pour enfants, et autres livres islamiques promouvant une vision exclusivement musulmane de la vie et du monde, y compris en France.

Une concentration de femmes
La densité de femmes voilées au mètre carré est remarquable : elles représentent environ 60% du public atteint de fièvre acheteuse et la majorité d’entre elles sont voilées à environ 75%. Les modérées sont une petite minorité, ce qui sous-tend un rôle central de la femme dans l'islam radical.
Ces femmes voilées sont clairement des intégristes, des militantes volontaires et impliquées de l’islam le plus rétrograde, et non des "pauvres victimes" comme le prétendent les naïfs et certaines féministes qui veulent y voir des femmes endoctrinées, soumises à l'homme. Pour ces musulmanes fanatiques, le voile est une arme religieuse. Et c’est pourquoi elles le portent. 

Ici, l' "économie souterraine", c'est la "finance islamique".
Des galeries de voitures chargées de marchandises jusqu'à doubler la hauteur du véhicule, c'est le folklore quotidien des ports de Marseille ou Toulon ouverts sur le Maghreb. Le retour de Maghrébins en France, le temps d'un contrôle médical et d'un retrait d'allocations versées par l'Etat français, ce n'est pas non plus le sujet.La finance islamique, c'est un système économique parallèle dont la face visible serait par exemple les boucheries halal, mais aussi l'ensemble des commerces de bouche, tel les kebabs ou les épiceries de nuit, ainsi que les boutiques de vêtements des quartiers annexés. Au Bourget, des stands tenus par des représentants de mosquées, actuellement en construction à travers toute la France, proposent en bonne place aux "fidèles" de grandes urnes transparentes pour les dons.

La face cachée de la finance islamique est encore plus lucrative et sainte: elle est coranique. 
L'espace Finance Islamique est le dernier né du Salon et il suscite beaucoup d'intérêtEt pas seulement pour le blanchiment du produit de l'économie souterraine. Secteur méconnu de la finance mondiale il y a encore quelque temps, la finance islamique connaît une forte progression depuis plusieurs années et représentait en 2013 près de 1800 milliards de dollars d'actifs bancaires et financiers, selon l'article  "économie française, pays émergents et fonds souverains : les enjeux d'une nouvelle donne financière" publié en 2014 par la Documentation française (voir ci-dessous).
Le terme finance islamique recouvre l’ensemble des transactions et produits financiers conformes aux principes de la Charia, qui supposent l’interdiction de l’intérêt, de l’incertitude, de la spéculation, l’interdiction d’investir dans des secteurs considérés comme illicites (alcool, tabac, paris sur les jeux, etc.), ainsi que le respect du principe de partage des pertes et des profits.
Le 18 décembre 2008, le ministère de l’Economie a annoncé des aménagements fiscaux pour favoriser les montages de finance islamique afin d’attirer les investisseurs du Proche-Orient. Ces mesures concernent deux des principaux outils de la finance islamique : la murabaha et les sukuks.
  • La murabaha est un contrat de vente aux termes duquel un vendeur vend un actif à un financier islamique qui le revend à un investisseur moyennant un prix payable à terme (vente à tempérament).
  • Les sukuk et les produits financiers assimilés sont des titres représentant pour leur titulaire un titre de créances ou un prêt dont la rémunération et le capital sont indexés sur la performance d’un ou plusieurs actifs par l’émetteur. Ces actifs sont affectés au paiement de la rémunération et au remboursement des sukuk ou des produits assimilés.
L’administration fiscale a ainsi décidé de la neutralité fiscale des opérations de murabaha au regard des droits d’enregistrement (le double transfert de droit de propriété ne donne pas lieu à doubles droits d’enregistrement) et de la déductibilité fiscale de la rémunération versée au titre des sukuk.
L'islam politique a une large place au Bourget

Ce sont d'abord les stands de vêtements "communautaires", comme celui de "Maghreb Shirt", qui propose des tee-shirts ornés de slogans tels que "Original muslim", "Algérie mon pays", "Algérie for life" qui ruinent les théories de l'intégration possible colportées par les progressistes exemplaires. On en vient à celui de "Maghreb United", forme arabe de pan-africanisme, avec des slogans du même nom, aux couleurs de l’Algérie : autant de slogans de lutte contre la tentation de l’intégration, pourtant autorisés par les autorités, manifestation de la taqiyya ! Démonstration qu'au Salon du Bourget, l'UOIF pratique la dissimulation et le mensonge que tolère le Coran en milieu ennemi.


L'islam politique met aussi en oeuvre ses associations humanitaires musulmanes.
Des stands associatifs proposent d’aider des pays pauvres, mais les seuls pays mentionnés sur leurs affiches sont des pays musulmans, comme le Soudan, l’Irak, l’Indonésie, la Somalie… ou des familles nécessiteuses, mais uniquement des familles dont la femme est une mère isolée - déjà légalement soutenue par la solidarité nationale - et voilée… Rien d'étonnant donc que la charité en islam soit la moins humaniste et humanitaire au monde. Participe-t-elle d'ailleurs à l'aide aux migrants illégaux?  Bref, des stands proposant tout l’arsenal favorisant la vie du musulman en autarcie et nécessaire aux musulmans qui ne veulent surtout pas s’intégrer en France.

L'islam politique au Salon du Bourget, c'est la propagande pro-palestinienne.
Une obsession partagée avec les partis français d'extrême gauche.
Partout s'étale la propagande pro-palestinienne: ventes de "keffiehs" (encore un grand foulard, mais que portent au cou les terroristes du Hamas et leurs partisans gauchistes en Occident), affiches anti-israéliennes, drapeaux de l’Etat fantasmé de Palestine, stands prétendument humanitaires signalés par de grands panneaux "Gaza soyons solidaires !" (être solidaire de la bande de Gaza, c'est soutenir l’une des plus grandes concentrations de terroristes au monde, selon l'ONU notamment), rien ne manque pour mobiliser (y compris les partisans du Mouvement pour la Paix) et exacerber la haine d'Israël, donc des Juifs, comme dans les quartiers de France à forte concentration musulmane que les Juifs sont poussés à fuir, à force d'intimidations et de violences, et, au final, la haine de l’Occident, donc des pays de l'Union européenne. 
Les Français "de souche" sont exclus.
Au Salon du Bourget, les hommes et femmes de type européen sont l'exception, mais une exception utile. On peut certes en trouver, mais sur un stand agréé, donc celui de telle ou telle organisation partisane prétendument humanitaire. Une exclusion qui est détournée pour alimenter la propagande des media islamophiles sur la "conversion" de 'souchiens' à l’islam. "Il y en a !" assurent les musulmans. Et des journalistes peuvent attester en avoir vus...

La langue française est proscrite 
Une profusion de sons exotiques dépayse l'intrus. Des sons qui n’existent pas en français retentissent dans toutes les directions, puisque, dans ce Salon, la langue dominante est l’arabe. A tel point que, dans cette enclave arabe de l'Ile-de-France, même les enfants qui apprennent et parlent le français à l'école de la République distribuent des prospectus en langue arabe et en s’adressant à vous dans une langue d'ailleurs, débutant par un 'As-salam aleïkoum' (formule de l'entre-soi musulman signifiant : "Que la paix soit avec vous", que l'on soit sunnite ou chiite ?).

Une volonté de non-intégration et donc un appel au rejet de la France 
L’UOIF est censée être l’Union des Organisations Islamiques "de France", mais certainement pas des Français de confession musulmane comme tout l'indique dans ce Salon, un salon qui marque la séparation avec la France, et non l’adhésion à la culture de la France, même laïque et surtout pas laïque. Dans ce salon communautariste, les musulmans viennent chercher la confirmation de leur intégrisme, voire son renforcement et non des raisons d’aimer la France et, à défaut, de la respecter. Plus ce pays en fait pour traiter les musulmans comme des Français à part entière, plus ils y voient les signes de la faiblesse de la démocratie. Nous leur donnons les preuves de notre veulerie et de notre renoncement à être une grande nation forte. Ainsi méritons-nous leur mépris.

Pourquoi continuerions-nous à nous humilier ?
Nos dirigeants politiques qui laissent l’islam fleurir partout en France veulent-ils une France asservie et soumise à l’obscurantisme d’une religion moyenâgeuse dominée par des musulmans intégristes conquérants, qui rêvent de l'instauration d'un Etat islamique en France, : le "monde nouveau" de Macron sera-t-il un 'califat', clone de Daesh, une dictature musulmane ? 


La question taboue de la ­laïcité face à la montée de l'islamisme débridé divise davantage le monde politique que les Français, racontent certains, des sachants aveuglés d'idéologie et de vertu, qui se posent en experts. 
Or, l'enquête approfondie effectuée en octobre par l'Ifop pour le JDD révèle un net durcissement de l'opinion face à toutes les manifestations religieuses dans l'espace public, ce qui permet de confirmer, sans amalgame, ni grand risque de procès en discrimination, une focalisation particulière de la réprobation sur la religion musulmane. 
A Emmanuel Macron, qui assurait jeudi que le port du voile hors des enceintes scolaires n'était "pas [son] affaire", les citoyens répondent en quelque sorte que si c'est leur affaire, qu'il le veuille ou non, c'est aussi la sienne…

78% des personnes interrogées pensent que la laïcité est menacée, souligne ce sondage Ifop pour le "Journal du dimanche".

Huit Français sur dix jugent le modèle laïc français menacé de l'intérieur, montrant aux acteurs politiques aux bras ballants une inquiétude partagée quelle que soit l'appartenance politique. D'après cette étude, cette menace sur la laïcité rend 35% d'entre eux "tout à fait" inquiets pour eux-mêmes et l'avenir de leurs enfants, et à 43%"plutôt" préoccupés, contre 22% d'un avis contraire.
A la même question posée en 2005, seuls six Français sur dix (58%) jugeaient la laïcité menacée.
L'inquiétude pour la laïcité est majoritaire quelle que soit la préférence politique des sondé(e)s. Ceux se déclarant proches du RN sont les plus inquiets (91%), davantage que les proches de LR (85%), ceux de LREM (79%), ceux de LFI (68%) et ceux du PS (64%).

61% des Français pensent que "l'islam est incompatible avec les valeurs de la société française"
Une communauté qui n'aurait que des droits et aucun devoir
est une population inadaptée et indésirable
Les sondés sont également 80% à penser que "la question de la laïcité se pose aujourd'hui différemment en France s'agissant de la religion musulmane" (contre 20% d'un avis contraire). Ils sont 61% à penser que "l'islam est incompatible avec les valeurs de la société française"
Les Français interrogés sont très majoritairement favorables à l'interdiction des prières de rue (82%), une pratique largement dépassée au fil de ces sept dernières années, mais également 82% sont favorables à l'interdiction du port de signes religieux (croix, voie, kippa, ...) pour les usagers des services publics (75%), les accompagnants de sorties scolaires (73%), et les salariés du secteur privé (72%). Ils sont en revanche favorables en majorité aux menus de substitution sans porc dans les cantines scolaires (61%), un avis assurant la communauté à problèmes de leur bonne volonté. Même à sens unique : la disparition du poisson au menu du vendredi ne dérange pas les écologistes qui prônent moins de viande dans notre alimentation.

La "défense de la laïcité" est jugée "tout à fait prioritaire" par 39% des sondés, loin derrière la santé (premier domaine cité, avec 82%), mais aussi la lutte contre le chômage, le pouvoir d'achat, la lutte contre la délinquance, la protection de l'environnement et la lutte contre l'islamisme. La laïcité est un concept mal perçu du fait des conflits qu'elle génère, après un siècle de paix religieuse mise à mal par l'introduction de l'islam en France. 
Dans le détail, les sondés les plus préoccupés par la laïcité sont ceux qui sont proches du PS (50%) et ceux qui sont proches du RN (48%).
Enquête réalisée les 24 et 25 octobre auprès de 1.011 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas, par questionnaire auto-administré en ligne et par téléphone. Marge d'erreur de 1,4 à 3,1 points.

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