L’agitation qui monte est prévue pour durer
Peu d’estimations de la participation, mais un indice : des « actions symboliques »…
Montée en puissance planifiée, pourtant
Ce mercredi était une journée d’action à l’appel des principales fédérations de l'Education, marquées à gauche.
> Elles ont organisé des rassemblements un peu partout en France, pour "maintenir la pression" contre la politique du gouvernement ! Elles attendent une montée en pression de la tension dans les lycées contre la réforme Darcos.
> Elles ont prévu de se réunir jeudi dans la soirée pour faire le point sur la situation et discuter d'un éventuel mot d'ordre de grève pour début 2009. Le Syndicat national des enseignements de second degré (SNES-FSU, syndicat dominant des collèges et lycées) appelle, dans un communiqué, à des "réveillons revendicatifs" le 15 décembre au soir dans tous les lycées de France.
Les co-gestionnaires ne veulent pas lâcher l’Education Nationale
> C’est un rite dans les fédérations d’opposition de l'Education de dénoncer des restrictions budgétaires, des suppressions de postes, des "réformes à marche forcée", et exigent (!) du gouvernement qu'il "investisse" dans le secteur éducatif, comme si ce n’était pas le cas, dans tous les cycles et Valérie Pécresse doit apprécier d’apprendre qu’elle n’investit pas…
Le programme de la Fidl socialiste, ce mercredi
Comme mardi 9, des manifestations de quelques centaines de lycéens ont à nouveau eu lieu dans l'Ouest de la France, essentiellement en Bretagne et Loire-Atlantique selon des sources syndicales, notamment à Brest et Nantes, deux villes d’opposition, dont les maires républicains sont respectivement François Cuillandre (PS) et… Jean-Marc Ayrault (président du groupe socialiste à l’Assemblée Nationale) et qui jouent probablement un rôle modérateur…
> Côté enseignants de la FSU, puisque le SGEN-CFDT ne s’est pas associé, la plupart des rassemblements de mercredi étaient prévus en fin d'après-midi ou début de soirée, notamment à Amiens (Somme), Vesoul (Haute-Saône), Granville (Manche), Alençon (Orne), Montpellier et Béziers (Hérault), Epinal et Saint-Dié (Vosges), Nantes et Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), Le Mans (Sarthe), La Rochelle (Charente-Maritime), Rennes (Ille-et-Vilaine) ou encore Strasbourg (Bas-Rhin), selon un relevé effectué par le SNES. Les syndicats attendaient quelques centaines de personnes à chaque fois pour ces manifestations ponctuées de distribution de tracts.Sur ces treize villes, 10 appartiennent à l’opposition(principalement socialiste)
> A Paris, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées en fin d'après-midi devant la gare Saint-Lazare. Beaucoup de manifestants, étudiants comme enseignants, avec leurs enfants, voisins et amis, dont des militants venus déguisés en Père Noël, Père Noël vert de préférence pour le Secours populaire. "C'est une action sur le thème 'le père Noël est une ordure', parce que nous refusons les pseudo-cadeaux qui sont actuellement faits par Xavier Darcos", a déclaré le secrétaire général de la FSU, Gérard Aschieri, un joyeux drille (ci-contre).
"Cette journée d'action est faite pour (...) dire que la mobilisation continue, qu'il y a des problèmes dans l'éducation et que les enseignants, les parents ou les élèves attendent des réponses que le gouvernement n'a toujours pas apportées", a-t-il ajouté.
Un calendrier déjà chargé d’actions de contestation
> La FIDL annonce d’ailleurs de nouvelles manifestations lycéennes dans plusieurs régions pour jeudi. Elle est opposée à la réforme des lycées qui doit entrer en vigueur dans les classes de seconde en 2009, annonce qu'elle appellera à des "dates de mobilisation nationale", en janvier.
> Dans l'enseignement supérieur, l'UNEF a aussi prévu d’appeler les étudiants des Instituts universitaires de technologie (IUT) à une journée nationale de mobilisation mardi prochain, pour défendre le budget des IUT.
"Le mécontentement va continuer et, au retour des vacances de Noël, nous ferons tout pour qu'il puisse s'exprimer de manière plus massive", a menacé Gégé Aschiéri, le grand manitou gris de la FSU.
Avec dans sa hotte, des diplômes par milliers, bien mérités.
Peu d’estimations de la participation, mais un indice : des « actions symboliques »…
Montée en puissance planifiée, pourtant
Ce mercredi était une journée d’action à l’appel des principales fédérations de l'Education, marquées à gauche.
> Elles ont organisé des rassemblements un peu partout en France, pour "maintenir la pression" contre la politique du gouvernement ! Elles attendent une montée en pression de la tension dans les lycées contre la réforme Darcos.
> Elles ont prévu de se réunir jeudi dans la soirée pour faire le point sur la situation et discuter d'un éventuel mot d'ordre de grève pour début 2009. Le Syndicat national des enseignements de second degré (SNES-FSU, syndicat dominant des collèges et lycées) appelle, dans un communiqué, à des "réveillons revendicatifs" le 15 décembre au soir dans tous les lycées de France.
Les co-gestionnaires ne veulent pas lâcher l’Education Nationale
> C’est un rite dans les fédérations d’opposition de l'Education de dénoncer des restrictions budgétaires, des suppressions de postes, des "réformes à marche forcée", et exigent (!) du gouvernement qu'il "investisse" dans le secteur éducatif, comme si ce n’était pas le cas, dans tous les cycles et Valérie Pécresse doit apprécier d’apprendre qu’elle n’investit pas…
Le programme de la Fidl socialiste, ce mercredi
Comme mardi 9, des manifestations de quelques centaines de lycéens ont à nouveau eu lieu dans l'Ouest de la France, essentiellement en Bretagne et Loire-Atlantique selon des sources syndicales, notamment à Brest et Nantes, deux villes d’opposition, dont les maires républicains sont respectivement François Cuillandre (PS) et… Jean-Marc Ayrault (président du groupe socialiste à l’Assemblée Nationale) et qui jouent probablement un rôle modérateur…
> Côté enseignants de la FSU, puisque le SGEN-CFDT ne s’est pas associé, la plupart des rassemblements de mercredi étaient prévus en fin d'après-midi ou début de soirée, notamment à Amiens (Somme), Vesoul (Haute-Saône), Granville (Manche), Alençon (Orne), Montpellier et Béziers (Hérault), Epinal et Saint-Dié (Vosges), Nantes et Saint-Nazaire (Loire-Atlantique), Le Mans (Sarthe), La Rochelle (Charente-Maritime), Rennes (Ille-et-Vilaine) ou encore Strasbourg (Bas-Rhin), selon un relevé effectué par le SNES. Les syndicats attendaient quelques centaines de personnes à chaque fois pour ces manifestations ponctuées de distribution de tracts.Sur ces treize villes, 10 appartiennent à l’opposition(principalement socialiste)
> A Paris, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées en fin d'après-midi devant la gare Saint-Lazare. Beaucoup de manifestants, étudiants comme enseignants, avec leurs enfants, voisins et amis, dont des militants venus déguisés en Père Noël, Père Noël vert de préférence pour le Secours populaire. "C'est une action sur le thème 'le père Noël est une ordure', parce que nous refusons les pseudo-cadeaux qui sont actuellement faits par Xavier Darcos", a déclaré le secrétaire général de la FSU, Gérard Aschieri, un joyeux drille (ci-contre).
"Cette journée d'action est faite pour (...) dire que la mobilisation continue, qu'il y a des problèmes dans l'éducation et que les enseignants, les parents ou les élèves attendent des réponses que le gouvernement n'a toujours pas apportées", a-t-il ajouté.
Un calendrier déjà chargé d’actions de contestation
> La FIDL annonce d’ailleurs de nouvelles manifestations lycéennes dans plusieurs régions pour jeudi. Elle est opposée à la réforme des lycées qui doit entrer en vigueur dans les classes de seconde en 2009, annonce qu'elle appellera à des "dates de mobilisation nationale", en janvier.
> Dans l'enseignement supérieur, l'UNEF a aussi prévu d’appeler les étudiants des Instituts universitaires de technologie (IUT) à une journée nationale de mobilisation mardi prochain, pour défendre le budget des IUT.
"Le mécontentement va continuer et, au retour des vacances de Noël, nous ferons tout pour qu'il puisse s'exprimer de manière plus massive", a menacé Gégé Aschiéri, le grand manitou gris de la FSU.
Avec dans sa hotte, des diplômes par milliers, bien mérités.
J'ai déjà eu l'occasion de le dire, mais il est important de le rappeler.
RépondreSupprimerDeux questions extrêmement importantes, auxquelles les media complices n'apporteront évidemment jamais de réponse:
- qui sont ces "lycéens" et "étudiants" qui défilent?
- si ce que font les Gouvernements de Droite successif est si abominable, pourquoi n'y-a-t-il pas de véritables grands mouvements? En effet, contrairement à ce que prétendent les journalistes lorsqu'ils annoncent que toutes les universités sont en grève ou que telle université est bloqué, les faits sont très différents: en réalité, les universités ont leurs cours répartis sur plusieurs sites, et ils ne sont jamais tous occupés, bien au contraire.
La réponse à cette question est liée à celle de la précédente.
Les manifestations et les groupes organisant le blocage des écoles et des universités sont en fait composés:
- de quelques élèves et étudiants plus que nuls, qui ne font rien en classe lorsqu'ils s'y rendent, ne suivent plus les cours à l'université depuis les toutes premières semaines, sont prêts à tout pour faire n'importe quoi et semer le trouble, et sont donc ravis que les syndicats leur donnent ce qu'ils croient être une autorisation officielle de semer le trouble dans les établissements et dans les rues
- des "manifestants professionnels", envoyés par les "Syndicats Pères", qui font le tour des manifestaitons et blocages dans tous les secteurs de la société: il y a d'une part les endoctrinateurs-organisateurs et d'autre part les "gros bras" qui interdisent l'accès au soit-disant assemblées générales durant lesquelles sont organisés des votes "bidon" pour faire croire au public à une décision unanime; ainsi, 100-200 personnes barricadées dans un amphithéâtre dont l'accès est gardé par des videurs violents "votent" le blocage d'universités comptant 2000-3000 étudiants, tous contre ce blocage; pour expliquer comment il se fait que personne sur place ne les connaisse, ces manifestants professionnels sont présentés comme des Camarades venant d'autres établissements et universités (pourquoi dans ce cas ne restent-ils pas dans leurs universités organiser leurs propres blocages? une question élémentaire que personne ne pose)
- de figurants, recrutés parmi les éternels intermittents du spectacle (c'est tout à fait dans leurs cordes: des rôles à interpréter, une mascarade de vote démocratique dans de prétendues assemblées, une récitation de slogans tout faits dans les manifestations) et les "sans-papiers" (qu'au pire, en cas de gros doute des spectateurs, l'on présente aux informations comme des grands-frères, des parents inquiets)
Les collégiens, lycéens et étudiants, des établissements et des syndicats, sont d'autant plus manipulables qu'ils sont justement totalement nuls.
C'est une tactique de base des despotes: supprimer la culture, imposer des slogans, interdire la réflexion propre, en abaissant au maximum l'éducation.
Un exemple authentique, non mentionné par les media, que je tiens de collègues enseignant en banlieues: dans plusieurs établissements d'enseignement "technologique" (ce qui est appelé ainsi egroupe en fait des classes de gestion et de sciences médico-sociales), de nombreux élèves, qui ne suivent jamais aucun cours (trop occupés à bavarder et envoyer des messages sur leurs téléphones portables), très heureux d'être invités à passer leur temps dans la rue ou simplement devant leur établissement, se sont mis à agresser des personnels de leurs établissements-- jets d'oeufs, de pierres, ...
La police dut intervenir.
Pourquoi?
Les Partis de Gauche et leurs Syndicats usent sans cesse d'un vocabulaire de gangster, de terroriste, pour terroriser la population: il n'est jamais question de "projet inadapté", de "propositions à discuter ou à soumettre", mais toujours "de guerre", "de résistance" contre un gouvernement soit-disant "dictateur" qui veut "détruire", "tuer", "assassiner", ...
Durant la campagne anti-CPE, les media ont répété jour et nuit (à leur habitude) les slogans haineux de ces syndicats, qui appelaient constamment à "faire la peau au CPE!"
C'est exactement, littéralement ce que tenter de faire ces élèves.
En parfaits illettrés, incapables de lire et écrire et encore moins de réfléchir par eux-mêmes, gavés de modèles de violence par les media (qui érigent en héros les batteurs de femme tels Bertrand Cantat et Samy Naceri), désirant eux aussi s'adonner à la violence de leurs Camarades des gangs de banlieue, ces élèves, déjà encouragés par les Syndicats, non seulement à ne pas aller en cours, mais en plus à empêcher les "sales intellos" d'aller en cours, ont cru que les Camarades des Syndicats les enjoignaient à "faire la peau aux CPE"... c'est-à-dire, aux Conseilleurs Principaux d'Education.
Sans notion élémentaire d'orthographe (différence entre "au" et "aux"), sans intérêt pour l'actualité, sans capacité à réfléchir d'eux-mêmes et à se poser des questions (pourquoi leur "faire la peau"?), ces élèves croyaient réellement ques les Syndicats les appelaient à lapider leurs CPE, qui voulaient soit-disant aider le méchant gouvernement à les "tuer", les "assassiner".
Oui, c'est aberrant.
C'est pourtant entièrement vrai.
C'est terriblement inéquiétant.
C'est justement ainsi que les groupes terroristes recrutent aussi facilement tellement d'assassins: ils recrutent certes parmi les "élites" éduquées, que l'on imaginerait à l'abri de leurs mensonges, mais aussi énormément parmi les incultes, totalement incapables de se renseigner et de réfléchir.
Les Syndicats français procèdent de la même manière, et il faillit bien y avoir des morts.
Lorsque la police intervient, ce n'est pas parce que c'est la méchante force SS du "nazi" Sarkozy comme le prétendent Syndicats et media, mais pour maintenir l'ordre, et pour empêcher des hordes abruties de slogans haineux de tout détruire, et dans certains cas, de tuer.
Tout le monde a très bien connu dans son enfant ces "copains" insupportables, véritables crétins qui ne faisaient que mettre la pagaille en cours et brutaliser les autres dans la cour de récréation, et que le sproblèmes venaient de ces élèves.
Ce type d'élèves existe toujours.
Ce sont eux que les Syndicats manipulent:
- ils sont telement imbécile qu'ils croient n'importe quoi,
- surtout s'il s'agit de les "autoriser" à tout casser et à taper sur les autres;
- étant nuls, ils n'ont de toute manière rien à perdre, et sont bien contents de ruiner les cours et l'année scolaire ou universitaire des "sales intellos", dont ils envient et détestent la supériorité intellectuelle (aussi petite soit-elle parfois).
En tant que professeur, ayant enseigné tant en Lycée qu'à l'Université, connaissant des collègues dans les deux niveaux, je témoigne sur l'honneur que:
- les Syndicats mentent
- les media propagent ces mensonges
- les manifestations, grèves et blocages sont le fait d'une extrême minorité
- l'immense majorité des écoliers et des étudiants sont totalement opposés à ces mouvements; s'ils ne manifestent pas, ce n'est pas par "fainéantise" ou "lâcheté" (laisser agir les autres à leur place dans les deux cas), mais uniquement parce qu'ils ne sont pas d'accord, et ne soutiennent nullement ces mouvement-- parce qu'ils désapprouvent leurs mensonges et leurs méthodes, et parce qu'ils leur nuisent.