Le rôle moteur de la France
PaSiDupes a déjà pointé l’opposition négative et sectaire des socialistes français (Lien) à l'intérieur.
La Communauté Européenne réagit favorablement à la détermination de Paris.
Feu vert de la Commission Européenne
La Commission Européenne a annoncé, lundi 8 décembre, son intention d'approuver dans la journée le plan français de recapitalisation des banques, mis sur pied pour faire face à la crise. "La Commission va adopter le plan français aujourd'hui", a déclaré à la presse la commissaire européenne à la concurrence, Neelie Kroes.
La rémunération prévue dans le plan de recapitalisation français a été "augmentée dans son ensemble", a-t-elle précisé, et prévoit de plus grandes incitations au remboursement et des garanties supplémentaires en terme de financement de l'économie.
Climat de polémique
Ce plan français a récemment suscité des frictions entre Paris et Bruxelles.
Alors la commissaire a ensuite prévenu qu'elle ne pouvait plus accepter que certains gouvernements européens accusent Bruxelles "de ne pas faire tout son possible" pour examiner avec célérité les projets d'aides publiques dans le secteur bancaire. Samedi encore, le premier ministre français, François Fillon, a manifesté son incompréhension face aux "hésitations" de la Commission Européenne à donner son aval au plan concocté par Paris. "Les hésitations de Bruxelles sont significatives des difficultés que rencontrent nos institutions à comprendre que nous sommes en face d'une rupture historique", avait-il regretté, avant d'obtenir gain de cause
Le volontarisme français soulève les montagnes européennes
Lundi matin, la Commission Européenne a affiné les règles d'octroi des aides d'Etat au secteur bancaire, introduisant une distinction entre les sociétés saines et celles au bord de la faillite, comme le souhaitaient de nombreux gouvernements. Avec ces précisions, Bruxelles "prend en compte le fait que la crise du crédit commence maintenant à affecter l'économie réelle, et que des banques financièrement saines peuvent avoir besoin de capital fourni par l'Etat pour assurer un niveau adéquat de prêts aux entreprises", explique la Commission dans un communiqué.
Tout danger n’est pas écarté
L'aide au sauvetage des banques qui risquent la faillite qui tente de sauvegarder l’emploi, présente plus de risques de distorsions de concurrence que l'aide aux banques saines qui ont des difficultés passagères à cause de la crise du crédit.
Cette distinction avait été demandée par plusieurs pays, comme la France, la Suède ou l'Allemagne, qui s'inquiètent d'un risque de tarissement du crédit. Pour les premières, les garde-fous doivent être plus importants et une "restructuration de fond est nécessaire". Elles doivent aussi "payer un taux de rémunération plus élevé" que les banques saines en échange de l'aide de l'Etat, selon le communiqué.
PaSiDupes a déjà pointé l’opposition négative et sectaire des socialistes français (Lien) à l'intérieur.
La Communauté Européenne réagit favorablement à la détermination de Paris.
Feu vert de la Commission Européenne
La Commission Européenne a annoncé, lundi 8 décembre, son intention d'approuver dans la journée le plan français de recapitalisation des banques, mis sur pied pour faire face à la crise. "La Commission va adopter le plan français aujourd'hui", a déclaré à la presse la commissaire européenne à la concurrence, Neelie Kroes.
La rémunération prévue dans le plan de recapitalisation français a été "augmentée dans son ensemble", a-t-elle précisé, et prévoit de plus grandes incitations au remboursement et des garanties supplémentaires en terme de financement de l'économie.
Climat de polémique
Ce plan français a récemment suscité des frictions entre Paris et Bruxelles.
Alors la commissaire a ensuite prévenu qu'elle ne pouvait plus accepter que certains gouvernements européens accusent Bruxelles "de ne pas faire tout son possible" pour examiner avec célérité les projets d'aides publiques dans le secteur bancaire. Samedi encore, le premier ministre français, François Fillon, a manifesté son incompréhension face aux "hésitations" de la Commission Européenne à donner son aval au plan concocté par Paris. "Les hésitations de Bruxelles sont significatives des difficultés que rencontrent nos institutions à comprendre que nous sommes en face d'une rupture historique", avait-il regretté, avant d'obtenir gain de cause
Le volontarisme français soulève les montagnes européennes
Lundi matin, la Commission Européenne a affiné les règles d'octroi des aides d'Etat au secteur bancaire, introduisant une distinction entre les sociétés saines et celles au bord de la faillite, comme le souhaitaient de nombreux gouvernements. Avec ces précisions, Bruxelles "prend en compte le fait que la crise du crédit commence maintenant à affecter l'économie réelle, et que des banques financièrement saines peuvent avoir besoin de capital fourni par l'Etat pour assurer un niveau adéquat de prêts aux entreprises", explique la Commission dans un communiqué.
Tout danger n’est pas écarté
Encore heureux que la Commissionde Bruxelles, de DROITE, ne se comporte pas comme le PS.
RépondreSupprimerSinon, vous auriez eu l'air malin....
jf.