Respect de rythmes de vie raisonnables sur France Télévisions
Commencés le 25 novembre, les débats sur la réforme qui doit en particulier alléger nos soirées et nous faciliter le coucher et l’endormissement, devaient se poursuivre vendredi soir, voire lundi, sur la question de la compensation de la suppression de la publicité par l'instauration de deux taxes.
> Or, à l’Assemblée Nationale, les élus du peuple ont adopté vendredi le principe controversé de la suppression de la publicité sur France Télévisions à partir du 5 janvier 2009 entre 20H00 et 06H00, dans le cadre de la réforme de l'audiovisuel public.
> Par 30 voix contre 18, l'article 18 a été adopté après une bonne dizaine d'heures de débat…
Les limites à l’obstruction socialiste sont dépassées
Comme elle le fait depuis près de trois semaines, aux dépens des autres projets qui ne peuvent venir en discussion, et donc au détriment du logement, l'opposition conservatrice de gauche a déposé une multitude d’amendements, pour tenter de bloquer aussi la réforme de l'audiovisuel à France Télévisions.
> Face à la ministre de la Culture Christine Albanel relativement sereine, une poignée de députés de gauche -Didier Mathus (à gauche), Patrick Bloche, Marcel Rogemont (PS), Noël Mamère (Verts, trois fois à droite), ancien journaliste et maintenant avocat... -ont encore longuement plombé l’activité parlementaire.
L'objectif de la gauche est "d'aller jusqu'au bout des débats", aux dires de Jean-Marc Ayrault, pour "alerter l'opinion" contre les risques qui pèsent, selon elle, sur l'avenir du service public et les cadeaux publicitaires faits aux chaînes privées. PaSiDupes a donné ici la parole à des contradicteurs de ces fausses raisons politico-démagogiques.
> "Obstruction", protestent à juste titre le gouvernement et la majorité, qui accusent l'opposition de retarder la réforme et de négliger les intérêts du service public.
La guérilla socialiste tourne à la diffamation
Noël Mamère s’en prend aux personnes et a accusé le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, d'avoir eu des intérêts dans une société de lobbying dont l'un des clients est Bouygues, actionnaire majoritaire de TF1.
Dans la « république du respect » socialiste, l'ex-ministre Jean Glavany a même qualifié F. Lefebvre de "petite frappe de TF1", à la stupeur des députés UMP indignés.
> F. Lefebvre a du expliquer comment Mamère déforme la vérité: "Devenu député, j'ai abandonné des activités que j'avais dans le passé".
Une suspension de séance a été nécessaire pour calmer les esprits. Et à la reprise, après s'être expliqué avec M. Lefebvre, Noël Mamère a retiré ses propos... A gauche, non seulement on ne se maîtrise pas, mais on n’exprime pas non plus ses excuses, on regrette …
Quand l’opposition est démocratique
> Certes, la gauche enrage de sa faiblesse et s’indigne, mais l'Assemblée démocratiquement élue peut voter à la majorité la suppression de la publicité sur RFO en 2011. "Ce n'est pas 450 millions qu'il faut compenser, c'est désormais 468,6 millions", s'est écriée Sandrine Mazetier (PS, à gauche), selon son estimation de la compensation prévue par l'Etat après la suppression de la publicité sur les chaînes de télé publiques.
> A compter du 5 janvier, les programmes de France 2 et France 3 en soirée ne comporteront plus d’autres messages publicitaires " que ceux pour des biens ou services présentés sous leur appellation générique", selon l'article voté vendredi.
Retour aussi à de bonnes nuits réparatrices.
Commencés le 25 novembre, les débats sur la réforme qui doit en particulier alléger nos soirées et nous faciliter le coucher et l’endormissement, devaient se poursuivre vendredi soir, voire lundi, sur la question de la compensation de la suppression de la publicité par l'instauration de deux taxes.
> Or, à l’Assemblée Nationale, les élus du peuple ont adopté vendredi le principe controversé de la suppression de la publicité sur France Télévisions à partir du 5 janvier 2009 entre 20H00 et 06H00, dans le cadre de la réforme de l'audiovisuel public.
> Par 30 voix contre 18, l'article 18 a été adopté après une bonne dizaine d'heures de débat…
Les limites à l’obstruction socialiste sont dépassées
Comme elle le fait depuis près de trois semaines, aux dépens des autres projets qui ne peuvent venir en discussion, et donc au détriment du logement, l'opposition conservatrice de gauche a déposé une multitude d’amendements, pour tenter de bloquer aussi la réforme de l'audiovisuel à France Télévisions.
> Face à la ministre de la Culture Christine Albanel relativement sereine, une poignée de députés de gauche -Didier Mathus (à gauche), Patrick Bloche, Marcel Rogemont (PS), Noël Mamère (Verts, trois fois à droite), ancien journaliste et maintenant avocat... -ont encore longuement plombé l’activité parlementaire.
L'objectif de la gauche est "d'aller jusqu'au bout des débats", aux dires de Jean-Marc Ayrault, pour "alerter l'opinion" contre les risques qui pèsent, selon elle, sur l'avenir du service public et les cadeaux publicitaires faits aux chaînes privées. PaSiDupes a donné ici la parole à des contradicteurs de ces fausses raisons politico-démagogiques.
> "Obstruction", protestent à juste titre le gouvernement et la majorité, qui accusent l'opposition de retarder la réforme et de négliger les intérêts du service public.
La guérilla socialiste tourne à la diffamation
Noël Mamère s’en prend aux personnes et a accusé le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, d'avoir eu des intérêts dans une société de lobbying dont l'un des clients est Bouygues, actionnaire majoritaire de TF1.
Dans la « république du respect » socialiste, l'ex-ministre Jean Glavany a même qualifié F. Lefebvre de "petite frappe de TF1", à la stupeur des députés UMP indignés.
> F. Lefebvre a du expliquer comment Mamère déforme la vérité: "Devenu député, j'ai abandonné des activités que j'avais dans le passé".
Une suspension de séance a été nécessaire pour calmer les esprits. Et à la reprise, après s'être expliqué avec M. Lefebvre, Noël Mamère a retiré ses propos... A gauche, non seulement on ne se maîtrise pas, mais on n’exprime pas non plus ses excuses, on regrette …
Quand l’opposition est démocratique
> Certes, la gauche enrage de sa faiblesse et s’indigne, mais l'Assemblée démocratiquement élue peut voter à la majorité la suppression de la publicité sur RFO en 2011. "Ce n'est pas 450 millions qu'il faut compenser, c'est désormais 468,6 millions", s'est écriée Sandrine Mazetier (PS, à gauche), selon son estimation de la compensation prévue par l'Etat après la suppression de la publicité sur les chaînes de télé publiques.
> A compter du 5 janvier, les programmes de France 2 et France 3 en soirée ne comporteront plus d’autres messages publicitaires " que ceux pour des biens ou services présentés sous leur appellation générique", selon l'article voté vendredi.
Retour aussi à de bonnes nuits réparatrices.
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