L’ancien socialiste consacre sa rupture avec le PS
Selon le journal du soir socialiste, Le Monde, le président de la République a demandé à l’actuel secrétaire d’Etat à la Prospective, ministre de l’ouverture, de rejoindre le parti majoritaire. Il était un des symboles du gouvernement d’ouverture. Il pourrait aller encore plus loin.
L’ouverture au gouvernement gagne l’UMP
Eric Besson, député socialiste de la Drôme, rallié à Nicolas Sarkozy, rejoindrait en janvier l'UMP, à la faveur d'une restructuration de la direction du parti majoritaire, écrit le quotidien. Cet ancien socialiste, devenu secrétaire d’Etat à la prospective dans le gouvernement Fillon, pourrait rejoindre les rangs de l’UMP, « sans doute au poste de secrétaire général adjoint », explique Le Monde. Un poste-clé, donc, alors même qu’il n’a pas sa carte à l’UMP. Ce serait une première, puisque cette fonction est traditionnellement dévolue à des membres UMP de longue date.
Sa Cynique Majesté Royal, repoussoir socialiste
Après plusieurs passes d'armes avec Désirdavenir Royal, au temps de sa grandeur dans les sondages et avant sa disgrâce, Eric Besson, ancien secrétaire national du PS chargé de l'économie, avait quitté le PS pendant la campagne présidentielle, le 14 février 2007.
Eric Besson a rédigé le livre de son entretien avec Claude Askolovitch (grand reporter au Nouvel Observateur), Qui connaît Madame Royal ?, (Grasset, 2007). « Je pense, en conscience, que Ségolène Royal ne doit pas devenir Président de la République. Je ne le souhaite pas pour mon pays . Je le redoute pour mes enfants. Je le dis sans passion aucune, calmement mais fermement, ce que construit Ségolène Royal dans cette campagne présidentielle est mensonger et dangereux, pour la gauche et pour la France. »
Lucide et sans états d’âme
> Rejoignant le candidat Sarkozy, Eric Besson était devenu en mai l'un des symboles de l'ouverture politique pratiquée par le chef de l'Etat, faisant son entrée au gouvernement comme un autre socialiste, Jean-Marie Bockel.
> Selon le quotidien, le secrétaire d'Etat à la prospective de François Fillon pourrait remplacer Brice Hortefeux, qui quitterait le ministère de l'Immigration pour celui des Affaires sociales, à la suite de Xavier Bertrand.
Vers une confédération de l’ouverture
Selon Le Monde, son mouvement "Les Progressistes" (cf. PaSiDupes) entrera dans la future "Confédération de la majorité", une structure appelée à fédérer les partis alliés de l'UMP. Cette nouvelle structure regrouperait les partis alliés ou associés de l'UMP, et serait présidée par Jean-Claude Gaudin.
Au journal qui lui demande s'il a des "états d'âme", "j'assume totalement le fait d'être partie prenante de la majorité (...) Aujourd'hui, j'estime que les réformateurs se trouvent à l'UMP et les conservateurs au PS", déclare-t-il.
Selon le journal du soir socialiste, Le Monde, le président de la République a demandé à l’actuel secrétaire d’Etat à la Prospective, ministre de l’ouverture, de rejoindre le parti majoritaire. Il était un des symboles du gouvernement d’ouverture. Il pourrait aller encore plus loin.
L’ouverture au gouvernement gagne l’UMP
Eric Besson, député socialiste de la Drôme, rallié à Nicolas Sarkozy, rejoindrait en janvier l'UMP, à la faveur d'une restructuration de la direction du parti majoritaire, écrit le quotidien. Cet ancien socialiste, devenu secrétaire d’Etat à la prospective dans le gouvernement Fillon, pourrait rejoindre les rangs de l’UMP, « sans doute au poste de secrétaire général adjoint », explique Le Monde. Un poste-clé, donc, alors même qu’il n’a pas sa carte à l’UMP. Ce serait une première, puisque cette fonction est traditionnellement dévolue à des membres UMP de longue date.
Sa Cynique Majesté Royal, repoussoir socialiste
Après plusieurs passes d'armes avec Désirdavenir Royal, au temps de sa grandeur dans les sondages et avant sa disgrâce, Eric Besson, ancien secrétaire national du PS chargé de l'économie, avait quitté le PS pendant la campagne présidentielle, le 14 février 2007.
Eric Besson a rédigé le livre de son entretien avec Claude Askolovitch (grand reporter au Nouvel Observateur), Qui connaît Madame Royal ?, (Grasset, 2007). « Je pense, en conscience, que Ségolène Royal ne doit pas devenir Président de la République. Je ne le souhaite pas pour mon pays . Je le redoute pour mes enfants. Je le dis sans passion aucune, calmement mais fermement, ce que construit Ségolène Royal dans cette campagne présidentielle est mensonger et dangereux, pour la gauche et pour la France. »
Lucide et sans états d’âme
> Rejoignant le candidat Sarkozy, Eric Besson était devenu en mai l'un des symboles de l'ouverture politique pratiquée par le chef de l'Etat, faisant son entrée au gouvernement comme un autre socialiste, Jean-Marie Bockel.
> Selon le quotidien, le secrétaire d'Etat à la prospective de François Fillon pourrait remplacer Brice Hortefeux, qui quitterait le ministère de l'Immigration pour celui des Affaires sociales, à la suite de Xavier Bertrand.
Vers une confédération de l’ouverture
Selon Le Monde, son mouvement "Les Progressistes" (cf. PaSiDupes) entrera dans la future "Confédération de la majorité", une structure appelée à fédérer les partis alliés de l'UMP. Cette nouvelle structure regrouperait les partis alliés ou associés de l'UMP, et serait présidée par Jean-Claude Gaudin.
Au journal qui lui demande s'il a des "états d'âme", "j'assume totalement le fait d'être partie prenante de la majorité (...) Aujourd'hui, j'estime que les réformateurs se trouvent à l'UMP et les conservateurs au PS", déclare-t-il.
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