Le sénateur UMP soutient Rachida Dati
"Toutes ces calomnies m'écoeurent et je tiens à m'élever contre tous ces ragots", a déclaré Jean-Pierre Fourcade, l’ancien ministre de l'Economie de Valéry Giscard d'Estaing.
A cet égard, lire PaSiDupes qui fait un bref rappel des titres de gloire de Denis Demonpion, le pseudo journaliste d’investigation au cœur d’une vilaine affaire de diffamation, sous couvert de libertés d’expression, de la presse , d’insulter et de diffamer....
La politique n’est pas aussi sale qu’on le dit
Le sénateur UMP des Hauts-de-Seine, Jean-Pierre Fourcade, a apporté ce samedi son "soutien" à Rachida Dati, après la parution dans Le Point d'un article selon lequel la proche du Président de la République pourrait mettre à profit sa connaissance des "histoires de familles" dans le département des Hauts-de-Seine, l'ancien fief de Nicolas Sarkozy.
Billiard à deux bandes
> Sans vergogne, ni crainte de mettre au jour ses propres turpitudes enfouies, Denis Demonpion a prêté à la ministre des intentions qui ont cours dans une certaine presse.
> Selon lui, et sous couvert d’un odieux anonymat sur des sources supposées, le journaliste perdu imagine que "des âmes charitables affirment qu'à l'heure de la curée, Rachida Dati, qui connaît les histoires de famille et pour s'être occupée pendant quelque temps, en 2005, du secteur sensible des marchés publics, saura, le cas échéant, se rappeler au bon soin de son protecteur" (Nicolas Sarkozy).
> Notons au passage queDemonfion Demonpion fait décidemment une fixation sur Sarkozy : il a en effet co-écrit un petit bouquin dans lequel il prétend révéler la face cachée de l’ex-première dame, Cécilia, alors Sarkozy. Une idée fixe ?
"Toutes ces calomnies m'écoeurent et je tiens à m'élever contre tous ces ragots", a déclaré Jean-Pierre Fourcade, l’ancien ministre de l'Economie de Valéry Giscard d'Estaing.
A cet égard, lire PaSiDupes qui fait un bref rappel des titres de gloire de Denis Demonpion, le pseudo journaliste d’investigation au cœur d’une vilaine affaire de diffamation, sous couvert de libertés d’expression, de la presse , d’insulter et de diffamer....
La politique n’est pas aussi sale qu’on le dit
Le sénateur UMP des Hauts-de-Seine, Jean-Pierre Fourcade, a apporté ce samedi son "soutien" à Rachida Dati, après la parution dans Le Point d'un article selon lequel la proche du Président de la République pourrait mettre à profit sa connaissance des "histoires de familles" dans le département des Hauts-de-Seine, l'ancien fief de Nicolas Sarkozy.
Billiard à deux bandes
> Sans vergogne, ni crainte de mettre au jour ses propres turpitudes enfouies, Denis Demonpion a prêté à la ministre des intentions qui ont cours dans une certaine presse.
> Selon lui, et sous couvert d’un odieux anonymat sur des sources supposées, le journaliste perdu imagine que "des âmes charitables affirment qu'à l'heure de la curée, Rachida Dati, qui connaît les histoires de famille et pour s'être occupée pendant quelque temps, en 2005, du secteur sensible des marchés publics, saura, le cas échéant, se rappeler au bon soin de son protecteur" (Nicolas Sarkozy).
> Notons au passage que
Voir aussi ce que dit PaSiDupes de la biographie , non autorisée, de Houellebecq, par 'Denis Demorpion'...
> Le journaliste pompeusement proclamé d’investigation a découvert ce que sait tout le canton. Parce que "l'extravagante Mme Dati" a en effet été en charge, en 2005, du secteur sensible des marchés publics, l’honorable journaliste a cru pouvoir insinuer que Rachida Dati pourrait toujours, le cas échéant, se rappeler au bon soin de son protecteur".
On se prend à penser que la presse papier n’a rien à envier à la presse du Net…
Qu’a donc fait la presse de ses libertés ?
> L’emploi des temps et des verbes est révélateur de la volonté de nuire du journal, dont l’hebdomadaire Marianne prétend sans doute, avec Bayrou, qu’il fait partie de la longue liste des media serviles !
« Pourrait » aurait suggéré une éventualité, « saurait » resterait dans le domaine de l’incertain et de l’imaginaire, mais saura, à l’indicatif, est une projection douteuse sur l’avenir, à peine modérée d’un piètre ‘le cas échéant’. Le journaliste prête donc gratuitement de mauvaises intentions à la fidèle ministre qui représenterait une authentique menace si elle était jamais susceptible de chantage. (reprise d'un précédent article de PaSiDupes)
Cette analyse est probablement inspirée des pratiques de la presse, mais n’honore évidemment pas le journaliste qui se vautre dans la fange professionnelle.
L’odeur de la charogne attire les hyènesIl n’a pas suffi que Rachida Dati qualifie vendredi de "totalement faux" cet article diffamant du Point.
Dans la « république du respect », je demande le PS…
Les élus socialistes du Conseil Général des Hauts-de-Seine ont demandé de leur côté l'ouverture d'une "enquête judiciaire" sur "les informations dont disposerait" l'actuelle ministre de la Justice.
Les responsables socialistes, conseillers généraux signataires de cette demande, sans éléments, pour voir, comme au poker, sont :
- Michèle Canet, Châtenay-Malabry,
- Martine Gouriet, Châtillon (avec Nono-le-Gommeux),
- Gilles Catoire, 59 ans, Clichy (grisonnant),
- Guy Janvier, 60 ans,Vanves (à lunettes),
- Philippe Sarre, 56 ans, Colombes N-O,
- et Pascal Buchet, 47 ans, Fontenay-aux-Roses , ensemble de gauche à droite sur la photo)
Le VertsVincent Gazeilles, Clamart Noël Mamère n’a-t-il donc une petite fringale qu’il ne s’est pas encore joint aux charognards ?
Jean-Pierre Fourcade a en outre souligné "les réformes courageuses" entreprises par la Garde des Sceaux, qui est, souligne-t-il, "une femme de très grande qualité" et "loyale".
> Le journaliste pompeusement proclamé d’investigation a découvert ce que sait tout le canton. Parce que "l'extravagante Mme Dati" a en effet été en charge, en 2005, du secteur sensible des marchés publics, l’honorable journaliste a cru pouvoir insinuer que Rachida Dati pourrait toujours, le cas échéant, se rappeler au bon soin de son protecteur".
On se prend à penser que la presse papier n’a rien à envier à la presse du Net…
Qu’a donc fait la presse de ses libertés ?
> L’emploi des temps et des verbes est révélateur de la volonté de nuire du journal, dont l’hebdomadaire Marianne prétend sans doute, avec Bayrou, qu’il fait partie de la longue liste des media serviles !
« Pourrait » aurait suggéré une éventualité, « saurait » resterait dans le domaine de l’incertain et de l’imaginaire, mais saura, à l’indicatif, est une projection douteuse sur l’avenir, à peine modérée d’un piètre ‘le cas échéant’. Le journaliste prête donc gratuitement de mauvaises intentions à la fidèle ministre qui représenterait une authentique menace si elle était jamais susceptible de chantage. (reprise d'un précédent article de PaSiDupes)
Cette analyse est probablement inspirée des pratiques de la presse, mais n’honore évidemment pas le journaliste qui se vautre dans la fange professionnelle.
L’odeur de la charogne attire les hyènesIl n’a pas suffi que Rachida Dati qualifie vendredi de "totalement faux" cet article diffamant du Point.
Dans la « république du respect », je demande le PS…
Les élus socialistes du Conseil Général des Hauts-de-Seine ont demandé de leur côté l'ouverture d'une "enquête judiciaire" sur "les informations dont disposerait" l'actuelle ministre de la Justice.
Les responsables socialistes, conseillers généraux signataires de cette demande, sans éléments, pour voir, comme au poker, sont :
- Michèle Canet, Châtenay-Malabry,
- Martine Gouriet, Châtillon (avec Nono-le-Gommeux),
- Gilles Catoire, 59 ans, Clichy (grisonnant),
- Guy Janvier, 60 ans,Vanves (à lunettes),
- Philippe Sarre, 56 ans, Colombes N-O,
- et Pascal Buchet, 47 ans, Fontenay-aux-Roses , ensemble de gauche à droite sur la photo)
Le Verts
Jean-Pierre Fourcade a en outre souligné "les réformes courageuses" entreprises par la Garde des Sceaux, qui est, souligne-t-il, "une femme de très grande qualité" et "loyale".
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