Les ‘ségolénistes’ se comportent comme des vainqueurs
Au lendemain de son premier Conseil National présidé samedi par la nouvelle dirigeante Martine Aubry, le Parti socialiste reste divisé en deux camps, une situation que déplore même la droite, à la recherche d’une opposition introuvable.
Désirdavenir Royal, pauvre petite socialiste opprimée, aurait demandé sans succès à Martine Aubry des responsabilités "à la hauteur de ce que nous pouvons apporter aux Français", y compris pour elle-même, a-t-elle affirmé sur France 2.
Après que les Français, puis par les militants, lui ont préféré ses rivaux, la présomptueuse croit encore pouvoir servir. La région Poitou-Charentes n’est pas impatiente de retrouver sa présidente, mais l’amère de Melle a peut-être mieux à faire là-bas.
Sa Cynique Majesté Royal est à la recherche d'un emploi
Niant être entrée dans l'opposition au PS, la candidate battue au poste de premier secrétaire a insisté : "Je ne veux pas que l'on puisse dire que j'ai refusé de travailler, je souhaite travailler".
Elle a répété qu'elle représentait près de "la moitié des militants" et a hasardé un parallèle fallacieux avec les Etats-Unis, où Barak Obama a "appelé Hillary Clinton", à la différence qu’Hillary Clinton s’est ralliée à Obama et a appelé à voter pour lui. Mais la mauvaise foi de Sa Cynique Majesté susnommée ne s’embarrasse pas de ce type de détails.
Benoît Hamon, le porte-parole du PS, rétablit-il la vérité?
Il a pour sa part appelé sur France info les partisans de Sa Cynique Majesté Royal à cesser les polémiques et à se mettre au travail, mais les "ségolénistes" estiment qu'on leur a "fermé la porte". "Maintenant, il faut travailler, la partie est terminée, 'game [is] over' comme on dit en anglais", selon le député européen.
La première secrétaire s’est mise à la tâche
Pendant que les ‘ségolénistes’ pleurent sur leur sort, mobilise la presse et ameutent les populations, Martine Aubry a présenté samedi son équipe, composée de 19 hommes et 19 femmes, dont une garde rapprochée, une sorte de 'carré magique'. Figurent dans ce "G4", son bras droit François Lamy, le député européen Harlem Désir (proche de Delanoë, pour l'effet Obama), le député Arnaud Montebourg (qui a abandonné Royal en rase campagne), chargé de la rénovation, et le nouveau porte-parole, Benoît Hamon, manipulé par Henri Emmanuelli, à la gauche du PS.
La guérilla « ségoléniste » continue Les vaincus prétendaient aux postes-clés et ont donc refusé ce qu’ils appellent les "strapontins" qu'on leur offrait, au prétexte qu'on leur soumettait un texte inacceptable, selon François Rebsamen, proche de l'ex-candidate à tout.
Non sans mépris, car se désintéressant visiblement des salariés d’Amora, la moutarde de Dijon, licenciés par Unilever, le député-maire de …Dijon s’est adressé à la presse, non pas pour soutenir ses électeurs, mais pour servir sa cause et celle des « ségolénistes ». "Il y a des phrases qui montrent un certain mépris et un certain ostracisme vis-à-vis de 50% du Parti socialiste", a-t-il déclaré, sans toutefois prétendre à nouveau que seulement 4 voix feraient la différence, ni préciser à quelles phrases il fait allusion….
Les agresseurs se disent les victimes
"La volonté était clairement de nous exclure de la direction du Parti socialiste. La porte est bien fermée", affirme Vincent Peillon, autre sbire amer de Désirdavenir Royal, dans un entretien au Journal du Dimanche.
Les bobards pleuvent
> "Vendredi matin, Ségolène Royal a fait l'effort [ !] d'appeler Martine Aubry et lui a dit qu'elle était prête à accepter un poste secondaire pour ne pas faire de sa personne une entrave au rassemblement. Martine Aubry a repoussé cette solution tout comme ma candidature", raconte Vincent Peillon laissé pour compte.
> Le bien peu philosophe député européen ne donne pas la preuve des prétendues bonnes dispositions des « ségolénistes » en ne cessant pas de polémiquer. Martine Aubry aurait, selon lui, raté les deux objectifs qui auraient pu donner le signe d'un nouveau départ. "Les militants voulaient la clarté et le rassemblement. Ils n'ont eu ni l'un, ni l'autre."
> Peillon, animateur d’ambiance, a également réfuté les révélations des partisans de Martine Aubry, selon lesquels les fans de la Ségo-star ont refusé la main tendue par le nouveau premier secrétaire.
> Dès à présent, il estime enfin que la nouvelle direction n'incarne par le "renouvellement" et que les nominations faites samedi traduisent "un repli", plutôt qu'une "ouverture sur la société réelle". Il faut le croire sur parole, car il n’apporte aucune illustration à ses propos ‘consensuels’.
La majorité présidentielle est à la recherche de l’opposition perdue
> Pour Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP, "l'implosion du PS" est "maintenant actée".
"Il y a une majorité qui a mis la main sur le secrétariat national" et "une opposition qui prend acte du refus de lui laisser une place dans la direction", a-t-il déclaré dans un communiqué. "Ce n'est pas une bonne nouvelle pour le débat public dans notre pays", a-t-il ajouté.
>Ce serait pourtant sous-estimer l’amère Royal qui multipliera les raids sur les deux fronts du PS et de la majorité présidentielle.
C’est en tous cas ce que nous attendons de cette pathologie chronique avec alternance d’états psychotiques brefs et aigüs, dont elle souffre . La connaissance de la schizophrénie devrait donc progresser… Ainsi, Peillon et Royal manifestent déjà des troubles de l’altération du « sens de la réalité » : idées délirantes, hallucinations. Tous deux sont en particulier atteints de l'angoisse de néantisation qui concerne le sentiment de soi, l'identité, et la crainte terrifiante d'une disparition du Moi, d'un retour au néant.
Au lendemain de son premier Conseil National présidé samedi par la nouvelle dirigeante Martine Aubry, le Parti socialiste reste divisé en deux camps, une situation que déplore même la droite, à la recherche d’une opposition introuvable.
Après que les Français, puis par les militants, lui ont préféré ses rivaux, la présomptueuse croit encore pouvoir servir. La région Poitou-Charentes n’est pas impatiente de retrouver sa présidente, mais l’amère de Melle a peut-être mieux à faire là-bas.
Il a pour sa part appelé sur France info les partisans de Sa Cynique Majesté Royal à cesser les polémiques et à se mettre au travail, mais les "ségolénistes" estiment qu'on leur a "fermé la porte". "Maintenant, il faut travailler, la partie est terminée, 'game [is] over' comme on dit en anglais", selon le député européen.
La première secrétaire s’est mise à la tâche
Pendant que les ‘ségolénistes’ pleurent sur leur sort, mobilise la presse et ameutent les populations, Martine Aubry a présenté samedi son équipe, composée de 19 hommes et 19 femmes, dont une garde rapprochée, une sorte de 'carré magique'. Figurent dans ce "G4", son bras droit François Lamy, le député européen Harlem Désir (proche de Delanoë, pour l'effet Obama), le député Arnaud Montebourg (qui a abandonné Royal en rase campagne), chargé de la rénovation, et le nouveau porte-parole, Benoît Hamon, manipulé par Henri Emmanuelli, à la gauche du PS.
La guérilla « ségoléniste » continue
Non sans mépris, car se désintéressant visiblement des salariés d’Amora, la moutarde de Dijon, licenciés par Unilever, le député-maire de …Dijon s’est adressé à la presse, non pas pour soutenir ses électeurs, mais pour servir sa cause et celle des « ségolénistes ». "Il y a des phrases qui montrent un certain mépris et un certain ostracisme vis-à-vis de 50% du Parti socialiste", a-t-il déclaré, sans toutefois prétendre à nouveau que seulement 4 voix feraient la différence, ni préciser à quelles phrases il fait allusion….
"La volonté était clairement de nous exclure de la direction du Parti socialiste. La porte est bien fermée", affirme Vincent Peillon, autre sbire amer de Désirdavenir Royal, dans un entretien au Journal du Dimanche.
> "Vendredi matin, Ségolène Royal a fait l'effort [ !] d'appeler Martine Aubry et lui a dit qu'elle était prête à accepter un poste secondaire pour ne pas faire de sa personne une entrave au rassemblement. Martine Aubry a repoussé cette solution tout comme ma candidature", raconte Vincent Peillon laissé pour compte.
> Le bien peu philosophe député européen ne donne pas la preuve des prétendues bonnes dispositions des « ségolénistes » en ne cessant pas de polémiquer. Martine Aubry aurait, selon lui, raté les deux objectifs qui auraient pu donner le signe d'un nouveau départ. "Les militants voulaient la clarté et le rassemblement. Ils n'ont eu ni l'un, ni l'autre."
> Peillon, animateur d’ambiance, a également réfuté les révélations des partisans de Martine Aubry, selon lesquels les fans de la Ségo-star ont refusé la main tendue par le nouveau premier secrétaire.
> Dès à présent, il estime enfin que la nouvelle direction n'incarne par le "renouvellement" et que les nominations faites samedi traduisent "un repli", plutôt qu'une "ouverture sur la société réelle". Il faut le croire sur parole, car il n’apporte aucune illustration à ses propos ‘consensuels’.
La majorité présidentielle est à la recherche de l’opposition perdue
> Pour Frédéric Lefebvre, porte-parole de l'UMP, "l'implosion du PS" est "maintenant actée".
"Il y a une majorité qui a mis la main sur le secrétariat national" et "une opposition qui prend acte du refus de lui laisser une place dans la direction", a-t-il déclaré dans un communiqué. "Ce n'est pas une bonne nouvelle pour le débat public dans notre pays", a-t-il ajouté.
>Ce serait pourtant sous-estimer l’amère Royal qui multipliera les raids sur les deux fronts du PS et de la majorité présidentielle.
C’est en tous cas ce que nous attendons de cette pathologie chronique avec alternance d’états psychotiques brefs et aigüs, dont elle souffre . La connaissance de la schizophrénie devrait donc progresser… Ainsi, Peillon et Royal manifestent déjà des troubles de l’altération du « sens de la réalité » : idées délirantes, hallucinations. Tous deux sont en particulier atteints de l'angoisse de néantisation qui concerne le sentiment de soi, l'identité, et la crainte terrifiante d'une disparition du Moi, d'un retour au néant.
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