La presse milite avec les urgentistes engagés
L’opposition affirme que samedi, pendant six heures, le SAMU a cherché, en vain,un hôpital d’accueil pour un malade cardiaque.
La mort de cet homme de 57 ans, à qui l’attente d’une admission dans un service de réanimation adapté a coûté la vie, serait due à une insuffisance des effectifs, selon certains.
La presse occulte la réalité des faits
Une certaine presse partisane tait ce qui peut éclairer le jugement que nous avons des circonstances du drame.
> Elle nous rapporte que lundi le secrétaire national de l'UMP, Philippe Juvin, a pointé 'un manque de "pilotage régional" des hôpitaux.
> Mais la presse fait de la rétention d’information en ne nous précisant pas que l’homme a autorité à plusieurs degrés, au-delà de ses responsabilités politiques qui ne le qualifient pas totalement. Car son avis importe aux Français pour deux raisons que la presse nous dissimule : si Philippe Juvin est en effet secrétaire national, c’est en sa qualité non seulement de médecin, mais aussi de chef du service des Urgences de l'Hôpital Beaujon (Hauts-de-Seine). Le Dr Philippe Juvin est donc pleinement urgentiste, à la différence du Dr Pelloux, qui semblerait bien militer plus qu’il n’exerce et qui n’est pas chef de service, mais animateur de masses.
Le Dr Juvin contredit les accusations partisanes
Attribuer à "un manque de moyens" le décès de ce patient cardiaque de Massy (Essonne) est "incroyablement malhonnête", selon le Dr Philippe Juvin, qui met en garde contre la "récupération politicienne" de cette affaire.
> Le constat
"La vérité, écrit-il dans un communiqué, est que l'hôpital manque cruellement de pilote. Par exemple, aussi incroyable que cela puisse paraître, personne ne centralise aujourd'hui les fermetures de lits pendant les vacances. Chaque hôpital décide dans son coin. Sans se préoccuper des besoins de la population et de ce que fait l'hôpital voisin".
> Une proposition
Un "pilotage régional" est, selon lui, nécessaire "pour que tous les hôpitaux ne ferment pas leurs lits en même temps, et pour que la sécurité des Français soit assurée sans trou dans l'organisation".
L'UMP attend de la future "loi Bachelot" sur l'offre de soins un "chef d'orchestre" pour exploiter au mieux les "moyens considérables" de l'hôpital, conclut-il.
Le Dr Juvin aura-t-il le soutien du bon Dr Pelloux ?
C’est ce que, plutôt que les polémiques mortelles de l’opposition, réclament les patients.
Sommes-nous tous des victimes potentielles
d'un affrontement politique mortel?
d'un affrontement politique mortel?
L’opposition affirme que samedi, pendant six heures, le SAMU a cherché, en vain,un hôpital d’accueil pour un malade cardiaque.
La mort de cet homme de 57 ans, à qui l’attente d’une admission dans un service de réanimation adapté a coûté la vie, serait due à une insuffisance des effectifs, selon certains.
La presse occulte la réalité des faits
Une certaine presse partisane tait ce qui peut éclairer le jugement que nous avons des circonstances du drame.
> Elle nous rapporte que lundi le secrétaire national de l'UMP, Philippe Juvin, a pointé 'un manque de "pilotage régional" des hôpitaux.
> Mais la presse fait de la rétention d’information en ne nous précisant pas que l’homme a autorité à plusieurs degrés, au-delà de ses responsabilités politiques qui ne le qualifient pas totalement. Car son avis importe aux Français pour deux raisons que la presse nous dissimule : si Philippe Juvin est en effet secrétaire national, c’est en sa qualité non seulement de médecin, mais aussi de chef du service des Urgences de l'Hôpital Beaujon (Hauts-de-Seine). Le Dr Philippe Juvin est donc pleinement urgentiste, à la différence du Dr Pelloux, qui semblerait bien militer plus qu’il n’exerce et qui n’est pas chef de service, mais animateur de masses.
Le Dr Juvin contredit les accusations partisanes
Attribuer à "un manque de moyens" le décès de ce patient cardiaque de Massy (Essonne) est "incroyablement malhonnête", selon le Dr Philippe Juvin, qui met en garde contre la "récupération politicienne" de cette affaire.
> Le constat
"La vérité, écrit-il dans un communiqué, est que l'hôpital manque cruellement de pilote. Par exemple, aussi incroyable que cela puisse paraître, personne ne centralise aujourd'hui les fermetures de lits pendant les vacances. Chaque hôpital décide dans son coin. Sans se préoccuper des besoins de la population et de ce que fait l'hôpital voisin".
> Une proposition
Un "pilotage régional" est, selon lui, nécessaire "pour que tous les hôpitaux ne ferment pas leurs lits en même temps, et pour que la sécurité des Français soit assurée sans trou dans l'organisation".
L'UMP attend de la future "loi Bachelot" sur l'offre de soins un "chef d'orchestre" pour exploiter au mieux les "moyens considérables" de l'hôpital, conclut-il.
Le Dr Juvin aura-t-il le soutien du bon Dr Pelloux ?
C’est ce que, plutôt que les polémiques mortelles de l’opposition, réclament les patients.
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