Montebourg essaie de recycler Vincent Peillon au PS
Le secrétaire national socialiste à la rénovation, Arnaud Montebourg, dit Nono-le-Gommeux dans le milieu, fait de la retape sur le trottoir de Désirdavenir Royal. Il a recruté d’anciennes gagneuses, ses copines de la rue de Solférino, et aurait invité Vincent Peillon, à monter avec lui pour faire reluire le PS chez la ch’tite Martine-de-Lille, stigmatisant ceux qui ont engagé une "guerilla" contre la taulière.
Nono, le gracieux (ci-contre), député de Saône-et-Loire, et ancien responsable -'sincère'- de campagne de la candidate socialiste à la présidentielle, a adressé une lettre ouverte de débauchage à "tous les militants fondateurs du Nouveau parti socialiste (NPS) - courant qu'il avait créé en 2003 avec Benoît Hamon et Vincent Peillon - s'adressant "surtout à ceux qui ont soutenu Ségolène Royal". Sidérant !
> "Je compte parmi vous un très grand nombre d'amis, sincères et croyants, comme je le suis, dans la rénovation", souligne-t-il. "Tous les rénovateurs doivent se retrousser les manches et réunir leurs efforts, pour faire naître ce nouveau parti à partir de l'existant, sans lequel nous ne pourrons pas gagner".
> "Je vous lance un appel : ‘Venez nous aider à construire le Nouveau Parti Socialiste, notre moment est venu’ ", ajoute-t-il en rappelant que de nombreux membres du courant NPS figurent dans la direction de la première secrétaire Martine Aubry.
> "Le paradoxe serait que la guérilla engagée par certains pour le contrôle du parti nous empêche de réaliser la rénovation pour laquelle nous nous sommes tant battus", affirme Nono Montebourg.
> "La présidentialisation du parti mène tout droit à sa destruction ; nous en avons eu un sérieux avant-goût ces dernières semaines", assure Nono-le-Gommeux.
Le secrétaire national socialiste à la rénovation, Arnaud Montebourg, dit Nono-le-Gommeux dans le milieu, fait de la retape sur le trottoir de Désirdavenir Royal. Il a recruté d’anciennes gagneuses, ses copines de la rue de Solférino, et aurait invité Vincent Peillon, à monter avec lui pour faire reluire le PS chez la ch’tite Martine-de-Lille, stigmatisant ceux qui ont engagé une "guerilla" contre la taulière.
Nono, le gracieux (ci-contre), député de Saône-et-Loire, et ancien responsable -'sincère'- de campagne de la candidate socialiste à la présidentielle, a adressé une lettre ouverte de débauchage à "tous les militants fondateurs du Nouveau parti socialiste (NPS) - courant qu'il avait créé en 2003 avec Benoît Hamon et Vincent Peillon - s'adressant "surtout à ceux qui ont soutenu Ségolène Royal". Sidérant !
> "Je compte parmi vous un très grand nombre d'amis, sincères et croyants, comme je le suis, dans la rénovation", souligne-t-il. "Tous les rénovateurs doivent se retrousser les manches et réunir leurs efforts, pour faire naître ce nouveau parti à partir de l'existant, sans lequel nous ne pourrons pas gagner".
> "Je vous lance un appel : ‘Venez nous aider à construire le Nouveau Parti Socialiste, notre moment est venu’ ", ajoute-t-il en rappelant que de nombreux membres du courant NPS figurent dans la direction de la première secrétaire Martine Aubry.
> "Le paradoxe serait que la guérilla engagée par certains pour le contrôle du parti nous empêche de réaliser la rénovation pour laquelle nous nous sommes tant battus", affirme Nono Montebourg.
> "La présidentialisation du parti mène tout droit à sa destruction ; nous en avons eu un sérieux avant-goût ces dernières semaines", assure Nono-le-Gommeux.
"Nono-le-gommeux", "la cht'ite Aubry", etc: toujours rigolo, jamais méchant, mais bien inoffensif comparé aux sobriquets insultants de la Gauche à l'égard du Président ("le nain", "le nabot", ...-- en même temps insultats à l'égard d'une partie de la population, réduite au rang d'insulte ordurière).
RépondreSupprimerEn effet !
RépondreSupprimerMais toujours dans le respect de la différence, sans volonté de discrimination physique...
Préfiguration de la "république du respect" socialiste sur la toile, dans le sillage des nantis du Canard Enchaîné, et du Post, site du Monde destiné à alimenter la contre-culture chez les ados paumés