« Une nouvelle force politique de gauche indépendante du PS » ?
L’affaiblissement du PS suscite des velléités au PCF
> Robert Hue, d’abord
L’affaiblissement du PS suscite des velléités au PCF
> Robert Hue, d’abord
Le 28 novembre 2008 (Lire PaSiDupes), Hue (à gauche ci-dessus, à l'époque de la cohabitation) quitte le conseil National du PCF et déclare, dans une lettre adressée à Marie-George Buffet (ci-dessus à gauche) , qu'il « va prendre de nouvelles initiatives ».
L’ancien secrétaire national du PCF (1994-2003) est député europén (1999-2000), sénateur du Val-d'Oise (2004) et maire de Montigny-lès-Cormeilles (2008) .
Candidat à l'élection présidentielle (avril 2002), il ne rassemble que 3,37 % des suffrages.
> Jean-Claude Gayssot (1944), maintenant !
Gyassot (ci-dessus au milieu) a affiché mardi 2 décembre soir sa volonté de voir naître "une nouvelle force politique de gauche, qui soit à la fois contestataire, unitaire, indépendante du PS et constructive".
Gayssot veut voir le PCF s’engager sur la voie ouverte par Mélenchon
Cette force politique voulue par Gayssot irait "du nouveau parti de Jean-Luc Mélenchon à la LCR, en passant par les syndicalistes, les altermondialistes et les Verts et les communistes", a expliqué le vice-président de la région Languedoc-Roussillon.
Le nouveau parti de Jean-Luc Mélenchon deviendrait "l'interlocuteur privilégié de cette construction", souhaite Jean-Claude Gayssot qui "ne désespère pas que ce nouvel ensemble politique soit majoritaire à gauche".
Le PCF n'a plus d'avenir
A la veille du 34e congrès du PCF (11-14 décembre), Jean-Claude Gayssot prétend impulser la démarche. "C'est ce que je dirai lorsque le congrès se présentera. En tant que PCF, le parti n'a plus d'avenir", a-t-il estimé. "Si on n'engage pas une nouvelle démarche, on ne va plus exister, avec la bipolarisation qui est en marche...déjà qu'on est réduits à la petite portion! Le parti unique et la dictature du prolétariat nous ont fait du tort et du mal. Si on ne se transforme pas, on dépérira", a-t-il ajouté. "Pour moi, la seule visée communiste qui vaille, c'est l'émancipation humaine".
Menace sur le NPA
> L'ex-ministre prend pour modèle le parti Die Linke "créé par les communistes et le socialiste dissident Oskar Lafontaine" qui inspite Jean-Luc Mélenchon (Lire PaSiDupes).
> Et il réfute tout doublon avec le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) d'Olivier Besancenot, "qui n'est que dans la contestation du système capitaliste".
Eléments d’information
Candidat à l'élection présidentielle (avril 2002), il ne rassemble que 3,37 % des suffrages.
> Jean-Claude Gayssot (1944), maintenant !
Gyassot (ci-dessus au milieu) a affiché mardi 2 décembre soir sa volonté de voir naître "une nouvelle force politique de gauche, qui soit à la fois contestataire, unitaire, indépendante du PS et constructive".
Gayssot veut voir le PCF s’engager sur la voie ouverte par Mélenchon
Cette force politique voulue par Gayssot irait "du nouveau parti de Jean-Luc Mélenchon à la LCR, en passant par les syndicalistes, les altermondialistes et les Verts et les communistes", a expliqué le vice-président de la région Languedoc-Roussillon.
Le nouveau parti de Jean-Luc Mélenchon deviendrait "l'interlocuteur privilégié de cette construction", souhaite Jean-Claude Gayssot qui "ne désespère pas que ce nouvel ensemble politique soit majoritaire à gauche".
Le PCF n'a plus d'avenir
A la veille du 34e congrès du PCF (11-14 décembre), Jean-Claude Gayssot prétend impulser la démarche. "C'est ce que je dirai lorsque le congrès se présentera. En tant que PCF, le parti n'a plus d'avenir", a-t-il estimé. "Si on n'engage pas une nouvelle démarche, on ne va plus exister, avec la bipolarisation qui est en marche...déjà qu'on est réduits à la petite portion! Le parti unique et la dictature du prolétariat nous ont fait du tort et du mal. Si on ne se transforme pas, on dépérira", a-t-il ajouté. "Pour moi, la seule visée communiste qui vaille, c'est l'émancipation humaine".
Menace sur le NPA
> L'ex-ministre prend pour modèle le parti Die Linke "créé par les communistes et le socialiste dissident Oskar Lafontaine" qui inspite Jean-Luc Mélenchon (Lire PaSiDupes).
> Et il réfute tout doublon avec le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) d'Olivier Besancenot, "qui n'est que dans la contestation du système capitaliste".
Eléments d’information
Nationale
A l’ancien dessinateur industriel de la SNCF devenu ministre communiste des Transports (1997 à 2002) de Lionel Jospin, nous devons, lors de la cohabitation, la loi solidarité et renouvellement urbains (SRU) fixant notamment l'objectif de 20 % de logements sociaux dans les villes qui en manquaient.
La loi Gayssot, qu'il a présentée à l'Assemblée Nationale, et qui a été adoptée, réprime le négationnisme.
A l’ancien dessinateur industriel de la SNCF devenu ministre communiste des Transports (1997 à 2002) de Lionel Jospin, nous devons, lors de la cohabitation, la loi solidarité et renouvellement urbains (SRU) fixant notamment l'objectif de 20 % de logements sociaux dans les villes qui en manquaient.
La loi Gayssot, qu'il a présentée à l'Assemblée Nationale, et qui a été adoptée, réprime le négationnisme.
Locale et régionale
Après avoir été conseiller municipal de Bobigny de 1977 à 1995, il fut conseiller municipal de Drancy de 1995 à 1997 et de 1997 à 2001, puis maire de Drancy de janvier à septembre 1997.
Gayssot est maintenant conseiller municipal de Béziers (2001 – 2008) et vice-président du Conseil régional du Languedoc-Roussillon depuis mars 2004.
L’ancien ministre est « en froid » sibérien avec la majorité des adhérents de la section du PCF de Béziers acquise au courant "orthodoxe", qui lui reproche ses complaisances politiques avec les sociaux-démocrates au sein du conseil régional, particulièrement avec Georges Frêche. Lors des dernières législatives de 2007, il n'a pas participé à la campagne électorale du candidat communiste de la circonscription de Béziers, candidat « communiste, anticapitaliste et rassembleur ».
Depuis, la mi 2007, il prône la fin du PCF et travaille dans ce but avec des socialistes et autres hommes de gauche anti-libéraux à la création d'un nouveau parti ou mouvement à la gauche du PS. L'ancien cheminot (des bureaux) n'envisage pas de quitter le Parti communiste.
Après avoir été conseiller municipal de Bobigny de 1977 à 1995, il fut conseiller municipal de Drancy de 1995 à 1997 et de 1997 à 2001, puis maire de Drancy de janvier à septembre 1997.
Gayssot est maintenant conseiller municipal de Béziers (2001 – 2008) et vice-président du Conseil régional du Languedoc-Roussillon depuis mars 2004.
L’ancien ministre est « en froid » sibérien avec la majorité des adhérents de la section du PCF de Béziers acquise au courant "orthodoxe", qui lui reproche ses complaisances politiques avec les sociaux-démocrates au sein du conseil régional, particulièrement avec Georges Frêche. Lors des dernières législatives de 2007, il n'a pas participé à la campagne électorale du candidat communiste de la circonscription de Béziers, candidat « communiste, anticapitaliste et rassembleur ».
Depuis, la mi 2007, il prône la fin du PCF et travaille dans ce but avec des socialistes et autres hommes de gauche anti-libéraux à la création d'un nouveau parti ou mouvement à la gauche du PS. L'ancien cheminot (des bureaux) n'envisage pas de quitter le Parti communiste.
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