Et le « petit pont massacreur » sous surveillance hautement qualifiée ?
Il ne faut pas douter que Bertrand Delanoë est un maire de Paris sérieux et de bonne foi !
Il affirme pourtant dans une tribune au Monde publié lundi que le Service minimum d'accueil (SMA) des enfants en cas de grève dans les écoles est "dangereux" pour la sécurité des élèves. Assertion dénuée de démagogie.
En réponse au président Nicolas Sarkozy (Lire PaSiDupes) qui avait distingué jeudi, lors du congrès des maires de France (AMF), le maire "de bonne foi" qui n'arrive pas à appliquer le SMA de celui pour qui l'opposition à la loi est "un acte militant". Delanoë s’est sans doute reconnu parmi ceux « pour qui l'opposition à la loi est ‘un acte militant’». Il a eu le temps de réfléchir à ce qu’il écrit et ça donne pourtant çà :"A l'épreuve des faits, l'accueil des élèves s'est avéré insatisfaisant et même dangereux".
Pour B. Delanoë, qui est entré dans une querelle de ménage avec le Président de la République et demande à son tour au président "un minimum de bonne foi", "le constat (de cette dangerosité) s'est imposé de façon plus implacable encore à la veille du fort mouvement de grève du 20 novembre" dans l'éducation nationale. "Aucune ville, même dirigée par l'UMP", n'est parvenue à organiser le SMA à cette occasion, affirme-t-il, tout en mettant un bémol : "sauf a minima, pour sauver les apparences, en ouvrant un petit nombre d'écoles pour un nombre très réduit d'enfants". Le Tartuffe est du nombre et voulait lui-même se mettre à l’abri des rigueurs de la loi, tout en suivant les consignes de l’opposition. Mais que sait-il des communes UMP et de leur service « a minima », selon lui ?
Delanoë ferait mieux de se taire
> Les parents sont des incapables
"Laisser croire qu'il suffirait, dans les grandes villes, de faire appel à n'importe quel adulte volontaire ou à des parents d'élèves pour prendre en charge quinze enfants pendant une journée entière relève de la démagogie ou de l'irresponsabilité", poursuit-il, en fin connaisseur de la démagogie. Que les parents ne se sentent pas humiliés si le maire les croit incapables de garder un groupe d’enfants, fussent les leurs… On peut être socialiste, de surcroît célibataire, et ne pas savoir ce qu’on dit.
> Le maire de Paris se justifie
C'est pourquoi, insiste-t-il, "à l'instar de tant d'autres élus, quelle que soit la dimension de leur collectivité, j'ai refusé de faire courir le moindre risque aux enfants". Edifiant...
> Delanoë insiste et se met en défaut
Il estime en effet que le Président Sarkozy, comme son ministre de l'Education, Xavier Darcos, "se dispensent d'offrir une réponse opérationnelle à la seule question qui vaille : la sécurité des élèves, qu'ils soient parisiens ou d'une commune rurale".
Le maire de Paris demande à l'Etat de prendre "enfin ses responsabilités", "en assumant un dialogue exigeant avec les élus", sans estimer que "leurs réserves traduisent un état d'esprit obtus". Le président de l’association des Maires de France (AMF) lui a depuis répondu (Lire PaSiDupes).
> Le Président met Delanoë en position de faire mieux que le « minima syndical »
Nicolas Sarkozy avait directement visé Bertrand Delanoë lors du congrès de l'AMF: "On ne peut pas demander la même obligation de service à un maire d'une commune rurale et au maire de la capitale de la France ou d'une grande ville de un ou deux millions d'habitants".
"Je comprends parfaitement le sentiment d'injustice que peut avoir un maire traîné devant le tribunal administratif par son préfet parce qu'il a peu de moyens, qu'il a fait son possible et qu'il n'y est pas arrivé. Je suis tout à fait prêt à revoir ça", avait-il promis.
Mais "ce que je n'accepte pas -et je le dis aux élus de gauche comme de droite- c'est qu'un élu de la République dise qu'il n'appliquera pas la loi de la République. Personne n'est au-dessus des lois", avait-il insisté.
Que Delanoë se taise, et pourquoi, en effet ?
Le danger spécifique aux journées de grève imposées par la FSU (syndicat d’enseignants de gauche, dans toutes ses variantes) brandit par Delanoë et en fait non seulement quotidien mais ancien, sans que ni lui ni ses camarades de l’opposition n’aient jamais mis en cause les personnels syndiqués et hautement qualifiés. Les éducateurs professionnels certifiés par l’Education Nationale ne maîtrisent pas les pratiques violentes à l’école et la prévention n’y fait rien.
L’école n’est pas seulement dangereuse les jours de SMA…
Il existe plus de 90 jeux dangereux : du pendu, du foulard ou encore celui du 'happy slapping' (gifle ou agression filmée par téléphone portable) dont en parle beaucoup en ce moment. Il faut savoir que 68% des enfants connaissent au moins un de ces jeux.
En 1995
Benjamin, un garçon de 10 ans a été retrouvé pendu dans les toilettes de son école, victime du "jeu du foulard". On ne peut pas dire queles parents ou le système éducatif en général ne sont pas informés. Qu’est-il fait pour prévenir d'autres tragédies, à part attendre qu’il s’en produise une un jour de grève ? Le directeur de l'école syndiqué au SNUipp (FSU) parlerait-il alors de suicide, comme aux parents de Benjamin.
> L’opposition préconise une meilleure prévention et nous voilà rassurés... Jusqu'à un certain point !
En 2007
Il ne faut pas douter que Bertrand Delanoë est un maire de Paris sérieux et de bonne foi !
Il affirme pourtant dans une tribune au Monde publié lundi que le Service minimum d'accueil (SMA) des enfants en cas de grève dans les écoles est "dangereux" pour la sécurité des élèves. Assertion dénuée de démagogie.
En réponse au président Nicolas Sarkozy (Lire PaSiDupes) qui avait distingué jeudi, lors du congrès des maires de France (AMF), le maire "de bonne foi" qui n'arrive pas à appliquer le SMA de celui pour qui l'opposition à la loi est "un acte militant". Delanoë s’est sans doute reconnu parmi ceux « pour qui l'opposition à la loi est ‘un acte militant’». Il a eu le temps de réfléchir à ce qu’il écrit et ça donne pourtant çà :"A l'épreuve des faits, l'accueil des élèves s'est avéré insatisfaisant et même dangereux".
Pour B. Delanoë, qui est entré dans une querelle de ménage avec le Président de la République et demande à son tour au président "un minimum de bonne foi", "le constat (de cette dangerosité) s'est imposé de façon plus implacable encore à la veille du fort mouvement de grève du 20 novembre" dans l'éducation nationale. "Aucune ville, même dirigée par l'UMP", n'est parvenue à organiser le SMA à cette occasion, affirme-t-il, tout en mettant un bémol : "sauf a minima, pour sauver les apparences, en ouvrant un petit nombre d'écoles pour un nombre très réduit d'enfants". Le Tartuffe est du nombre et voulait lui-même se mettre à l’abri des rigueurs de la loi, tout en suivant les consignes de l’opposition. Mais que sait-il des communes UMP et de leur service « a minima », selon lui ?
Delanoë ferait mieux de se taire
> Les parents sont des incapables
"Laisser croire qu'il suffirait, dans les grandes villes, de faire appel à n'importe quel adulte volontaire ou à des parents d'élèves pour prendre en charge quinze enfants pendant une journée entière relève de la démagogie ou de l'irresponsabilité", poursuit-il, en fin connaisseur de la démagogie. Que les parents ne se sentent pas humiliés si le maire les croit incapables de garder un groupe d’enfants, fussent les leurs… On peut être socialiste, de surcroît célibataire, et ne pas savoir ce qu’on dit.
> Le maire de Paris se justifie
C'est pourquoi, insiste-t-il, "à l'instar de tant d'autres élus, quelle que soit la dimension de leur collectivité, j'ai refusé de faire courir le moindre risque aux enfants". Edifiant...
> Delanoë insiste et se met en défaut
Il estime en effet que le Président Sarkozy, comme son ministre de l'Education, Xavier Darcos, "se dispensent d'offrir une réponse opérationnelle à la seule question qui vaille : la sécurité des élèves, qu'ils soient parisiens ou d'une commune rurale".
Le maire de Paris demande à l'Etat de prendre "enfin ses responsabilités", "en assumant un dialogue exigeant avec les élus", sans estimer que "leurs réserves traduisent un état d'esprit obtus". Le président de l’association des Maires de France (AMF) lui a depuis répondu (Lire PaSiDupes).
> Le Président met Delanoë en position de faire mieux que le « minima syndical »
Nicolas Sarkozy avait directement visé Bertrand Delanoë lors du congrès de l'AMF: "On ne peut pas demander la même obligation de service à un maire d'une commune rurale et au maire de la capitale de la France ou d'une grande ville de un ou deux millions d'habitants".
"Je comprends parfaitement le sentiment d'injustice que peut avoir un maire traîné devant le tribunal administratif par son préfet parce qu'il a peu de moyens, qu'il a fait son possible et qu'il n'y est pas arrivé. Je suis tout à fait prêt à revoir ça", avait-il promis.
Mais "ce que je n'accepte pas -et je le dis aux élus de gauche comme de droite- c'est qu'un élu de la République dise qu'il n'appliquera pas la loi de la République. Personne n'est au-dessus des lois", avait-il insisté.
Que Delanoë se taise, et pourquoi, en effet ?
Le danger spécifique aux journées de grève imposées par la FSU (syndicat d’enseignants de gauche, dans toutes ses variantes) brandit par Delanoë et en fait non seulement quotidien mais ancien, sans que ni lui ni ses camarades de l’opposition n’aient jamais mis en cause les personnels syndiqués et hautement qualifiés. Les éducateurs professionnels certifiés par l’Education Nationale ne maîtrisent pas les pratiques violentes à l’école et la prévention n’y fait rien.
L’école n’est pas seulement dangereuse les jours de SMA…
Il existe plus de 90 jeux dangereux : du pendu, du foulard ou encore celui du 'happy slapping' (gifle ou agression filmée par téléphone portable) dont en parle beaucoup en ce moment. Il faut savoir que 68% des enfants connaissent au moins un de ces jeux.
Benjamin, un garçon de 10 ans a été retrouvé pendu dans les toilettes de son école, victime du "jeu du foulard". On ne peut pas dire queles parents ou le système éducatif en général ne sont pas informés. Qu’est-il fait pour prévenir d'autres tragédies, à part attendre qu’il s’en produise une un jour de grève ? Le directeur de l'école syndiqué au SNUipp (FSU) parlerait-il alors de suicide, comme aux parents de Benjamin.
> L’opposition préconise une meilleure prévention et nous voilà rassurés... Jusqu'à un certain point !
Le ministre de l'Education Nationale, X. Darcos, s’est saisi du problème, non pas des strings à l’école (comme celle que vous savez), mais aux jeux dangereux en augmentation. Pour les empêcher, il a mis en ligne, courant mars 2007, un document sur ces pratiques. Objectif : permettre aux adultes (équipes éducatives, parents, infirmières scolaires...) de les reconnaître et d'organiser une prévention appropriée.Dans le même temps se déroula une campagne télévisée contre le jeu du foulard, organisée par l'Association de parents d'enfants accidentés par strangulation (Apeas). A l'écran, 25 visages d'enfants défilèrent avec un message : « Ils ont joué au jeu du foulard. Ils en sont morts, comme des centaines d'autres. Arrêtons le désastre. » M6 a diffusé le spot en janvier, TF1 lui a succédér du 12 au 19 mars.Les jeux de strangulation (jeu du foulard, du cosmos, rêve bleu, rêve indien...) sont les plus meurtriers. Se pratiquant en groupe ou seul, ils consistent à freiner l'irrigation sanguine du cerveau en comprimant les carotides dans le but de ressentir des sensations intenses, des visions de type hallucinatoire. Ces jeux tueraient une dizaine de jeunes par an, selon les assocations.
Mais il existe aussi les jeux « d'agression », qui concernent essentiellement les garçons. Les jeux intentionnels sont à distinguer des jeux contraints. Dans les premiers (petit pont massacreur, jeu de la cannette...), les enfants participent de plein gré : un groupe joue avec une cannette ou un ballon ; s'ils parviennent à faire passer l'objet entre les jambes de l'un d'eux, celui-ci est roué de coups. Dans les seconds, l'enfant attaqué n'a pas choisi de participer. Ainsi, dans « la mort subite », un groupe désigne une couleur au hasard ; celui qui dans la cour porte le plus de vêtements dans cette teinte est frappé.
Les éducateurs savent maintenant, et alors ?
Bien que l’alibi de l’ignorance soit maintenant tombé et que les éducateurs vigilants et exemplaires de l’Education Nationale soient avertis, des drames surviennent toujours. Le jeu du "petit pont massacreur" est maintenant connu depuis 2006 ou 2007 et pourtant…
Fin novembre 2008
Un élève de cinquième du collège Gallois à Sevran, en Seine Saint-Denis, est roué de coups par ses camarades pour avoir refusé de jouer au «petit pont massacreur». C’est « dans la cour de l'école», a confirmé la mairie de Sevran…
Le jeune garçon qui serait «victime d'un traumatisme crânien» a été transféré à l'hôpital de Villepinte. La sensibilisation médiatique a-t-elle produit un quelconque effet ? Au Havre déjà, un collégien de 12 ans avait lui aussi été blessé et hospitalisé après avoir été frappé par plusieurs de ses camarades parce qu'il refusait de jouer au même jeu, la veille.
C’était hors SMA. Qu’en pense le maire socialiste de Paris, humainement, sans démagogie politicienne ?
La communication reste le meilleur moyen de démasquer et d'intervenir sur ces conduites à risque avant qu'il ne soit trop tard.
> Parfait, mais bien que nos jeunes deviennent de plus en plus violents et de plus en plus tôt, une prévention adaptée ne doit pas être traumatisante, selon l’opposition qui a été longtemps au pouvoir et sait tout de la prévention. Mais ses actions préventives tardent à produire leurs effets. La gauche continue pourtant à pérorer sur le sujet et les media militants entretiennent le mythe de la prévention et perpétuent la pensée unique en vigueur pendant que les morts se multiplient.
> La droite gouvernementale sacrifie maintenant à la prévention qui a pourtant démontré son inefficacité. Elle l’adapte néanmoins, en prenant en compte que, pour prendre conscience du danger d'un jeu, certains enfants doivent être simplement avertis mais d’autres choqués. D’ailleurs, Grégory Michel, professeur de pychopathologie à l'université de Bordeaux-II et psychothérapeute à l'hôpital Robert-Debré à Paris, a réalisé deux enquêtes auprès de 400 collégiens. Il souligne que « les campagnes de prévention informant juste sur les risques liés à ces jeux peuvent être contre-productives auprès des adolescents » et « le message ne doit être ni incitatif ni moralisateur ».
> Mais l’actualité politique récente démontre que les militants de gauche entravent les actions de prévention adaptées à la jeune population nouvelle des écoles. A dix comme douze ans, certains de ses éléments rouent de coups leurs maîtresses et syndicats et media mettent tout sur le compte des effectifs d’encadrement insuffisants : le meilleur moyen de ne rien faire et d’attendre un prochain cycle de drames.
Prévention « traumatisante »
Mais il existe aussi les jeux « d'agression », qui concernent essentiellement les garçons. Les jeux intentionnels sont à distinguer des jeux contraints. Dans les premiers (petit pont massacreur, jeu de la cannette...), les enfants participent de plein gré : un groupe joue avec une cannette ou un ballon ; s'ils parviennent à faire passer l'objet entre les jambes de l'un d'eux, celui-ci est roué de coups. Dans les seconds, l'enfant attaqué n'a pas choisi de participer. Ainsi, dans « la mort subite », un groupe désigne une couleur au hasard ; celui qui dans la cour porte le plus de vêtements dans cette teinte est frappé.
Les éducateurs savent maintenant, et alors ?
Bien que l’alibi de l’ignorance soit maintenant tombé et que les éducateurs vigilants et exemplaires de l’Education Nationale soient avertis, des drames surviennent toujours. Le jeu du "petit pont massacreur" est maintenant connu depuis 2006 ou 2007 et pourtant…
Un élève de cinquième du collège Gallois à Sevran, en Seine Saint-Denis, est roué de coups par ses camarades pour avoir refusé de jouer au «petit pont massacreur». C’est « dans la cour de l'école», a confirmé la mairie de Sevran…
Le jeune garçon qui serait «victime d'un traumatisme crânien» a été transféré à l'hôpital de Villepinte. La sensibilisation médiatique a-t-elle produit un quelconque effet ? Au Havre déjà, un collégien de 12 ans avait lui aussi été blessé et hospitalisé après avoir été frappé par plusieurs de ses camarades parce qu'il refusait de jouer au même jeu, la veille.
C’était hors SMA. Qu’en pense le maire socialiste de Paris, humainement, sans démagogie politicienne ?
La communication reste le meilleur moyen de démasquer et d'intervenir sur ces conduites à risque avant qu'il ne soit trop tard.
> Parfait, mais bien que nos jeunes deviennent de plus en plus violents et de plus en plus tôt, une prévention adaptée ne doit pas être traumatisante, selon l’opposition qui a été longtemps au pouvoir et sait tout de la prévention. Mais ses actions préventives tardent à produire leurs effets. La gauche continue pourtant à pérorer sur le sujet et les media militants entretiennent le mythe de la prévention et perpétuent la pensée unique en vigueur pendant que les morts se multiplient.
> La droite gouvernementale sacrifie maintenant à la prévention qui a pourtant démontré son inefficacité. Elle l’adapte néanmoins, en prenant en compte que, pour prendre conscience du danger d'un jeu, certains enfants doivent être simplement avertis mais d’autres choqués. D’ailleurs, Grégory Michel, professeur de pychopathologie à l'université de Bordeaux-II et psychothérapeute à l'hôpital Robert-Debré à Paris, a réalisé deux enquêtes auprès de 400 collégiens. Il souligne que « les campagnes de prévention informant juste sur les risques liés à ces jeux peuvent être contre-productives auprès des adolescents » et « le message ne doit être ni incitatif ni moralisateur ».
> Mais l’actualité politique récente démontre que les militants de gauche entravent les actions de prévention adaptées à la jeune population nouvelle des écoles. A dix comme douze ans, certains de ses éléments rouent de coups leurs maîtresses et syndicats et media mettent tout sur le compte des effectifs d’encadrement insuffisants : le meilleur moyen de ne rien faire et d’attendre un prochain cycle de drames.
Prévention « traumatisante »
Des présentations tendancieuses des faits ont été également offertes au public : deux jours auparavant à l'école des métiers d'Auch, Patrick Poumirau, professeur de BTS [post-bac…] au Centre de Formation des Apprentis de Pavie, déclare à L’Express : « Je me dis qu'en 50 ans, je n'ai jamais vu ça » Croyez-vous qu’il est à la fois syndiqué et objectif ?
> La prévention-réalité est présentée, par l’opposition locale, comme traumatisante sur de « jeunes » enfants, en fait des adolescents de 14 à 15 ans, criminalisés et choqués, qui n’ont jamais rien vu à la télévision et dans les couloirs et cours de récréations de leurs écoles : pas de tabassage, ni de hash, ni de sexe.
> Le comble de la désinformation revient à la présentatrice de FR3 au 19/20 qui déclara que les gendarmes ont lâché les chiens dans la classe.
> Des enseignants du « syndicat majoritaire » jouent à ce jeu de la manipulation médiatique, à fond.
Et de préconiser la prévention soft, voire moralisante !…
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