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samedi 30 juillet 2016

Attentat islamiste contre un prêtre: l'odieux "jeu de mots" (?) d'une élue d'extrême gauche, alliée du PS de Brest

La tuerie de Saint-Etienne-du-Rouvray suscite compassion sincère et "humour douteux"

La fraternité n'est pas une réalité de l'ultra-gauche

"Du coup, le prêtre mort en martyr, il a le droit à 70 enfants de choeur au Paradis?"
C'est par ce tweet insultant un mort,
publié dans les deux heures de l'égorgement d'un chrétien, qui plus est prêtre de 86 ans,  le père Jacques Hamel, lâchement assassiné par deux vaillants islamistes français, dans la commune communiste de Saint-Etienne-du-Rouvray, le 26 juillet, la dépouille de l'octogénaire n'étant pas encore froide, qu'une élue haineuse, d'extrême gauche ravie, Julie Le Goïc s'est à nouveau signalée dans toute son horreur satisfaite. 

Altermondialiste déséquilibrée, 
mais élue à Brest, alliée du PS
Cette conseillère municipale de Solidarité-Partage - qui s'est trouvée des électeurs à Brest (PS) - s'est depuis mise sous le coup d'insultes, de menaces et d'appels à la démission par des citoyens vigilants.
Solidarité-Partage, respectable "union" (les mots de mentent évidemment pas) se définit comme "humanitaire, d'entraide, et sociale."
Elle a même tout un programme édifiant:
"Vivre pleinement sa vie, sa relation à autrui et à la nature (bien-être plus qu’avoir). Considérer le niveau local et le niveau global, les domaines économiques, politiques et sociaux. Promouvoir la solidarité plutôt que la compétition, une démocratie en politique et en économie, le respect de la nature, la redistribution des richesses, la création de liens aux différents niveaux…" Vous voyez le genre! Mieux qu'eux, tu meurs...
Une chaîne radio d'information en continue se comporte en twitto irresponsable.  
"Certes, Julie Le Goïc n’a démontré ni son sens du timing ni la qualité [sic] de son humour le 26 juillet", commente BFMTV, pourtant prompte à la fois à réclamer des vidéos d'amateurs pour faire leur boulot  à leur place et à condamner les informations non filtrées par l'AFP et donc dans leur jus sur les réseaux sociaux... Deux heures à peine après le meurtre de l'homme de Dieu en prière dans son église de Seine-Maritime, elle tweetait, calmement, consciemment, sans sourciller:
Du coup, le prêtre mort en martyr, il a le droit à 70 enfants de choeur au Paradis ?— Julie Le Goïc (@JulieLeGoic) 26 juillet 2016
Un tweet de 'déséquilibrée', pourrait-on dire, si cet élément de langage n'était galvaudé par la presse à chaque interpellation d'un gentil terroriste.

Vous avez dit "déséquilibré"? Ouh, ouh, l'injure !

Pourtant, les signes ne manquent pas à la mairie de Brest. En janvier 2013, le maire socialiste, François Cuillandre, a fait retirer des cantines brestoises des couronnes à découper pour la galette des rois... Motif: elles portaient le mot 'Epiphanie', contraire à la loi sur la laïcité dans les écoles. 

Or, partisane, BFMTV continue sur sa lancée. 
"Mais le torrent d’insultes suscité s'est avéré bien plus consternant." Torrent consternant et La chaîne appelle un confrère à la rescousse. "Comme le note Le Télégramme [radical-socialiste -plus à gauche que Ouest France- à sa création par Hubert Coudurier qui a déconseillé de voter pour Ségolène Royal (PS) lors de la présidentielle de 2007 et qui inclut les informations de la Loire-Atlantique, dont l'actualité de Notre-Dame-des-Landes, vue du côté squatteurs], les injures numériques qui ont suivi la publication douteuse de Julie Le Goïc proviennent en général de l’extrême-droite ou d’identitaires bretons [supputation qui demande à être vérifiée].  Et le terme d’ "injures" est sans doute un peu léger pour certains de ces commentaires -estiment les journalistes indépendants- qui lui promettent le viol ou la mort, s'indigne cette presse sélective des sujets de stigmatisation, contre les twittos de base mais en soutien à l'élue altermondialiste. Toujours du côté du manche !
Mais la conseillère municipale n'est pas la démocrate-modèle qu'elle dit
Le Goïc a fait bloquer l'accès à son compte Twitter: sans doute la manière gauchiste d'assumer ses propos "laïcs" mais pro-musulmans... Ils ont des leçons à donner en termes de "liberté d'expression".


La "déséquilibrée" s'est rendue insupportable du sein du conseil municipal PS

Les responsables politiques locaux ont tous désavoué cette agression de la mémoire d'un prêtre, effectivement mort en martyrl’ancienne militante d’Europe Ecologie-Les Verts, proche de Cécile Duflot, aujourd’hui élue d’opposition au sein du conseil municipal, n’a pas trouvé de soutien dans la majorité.

Le maire socialiste de Brest, François Cuillandre, a  jugé ses propos "inacceptables, imbéciles et indécents"
Mais s'il partage les voix, il n'est pas pour autant solidaire de Solidarité-Partage. Il rappelle que Julie Le Goïc ne fait plus partie de sa majorité. C'est à Marc Coatanéa, un cadre local du PS, que le maire a demandé des excuses "sans délai". D’ailleurs, Julie Le Goïc a reconnu depuis que son tweet n’est pas du meilleur goût et a regretté d’avoir fait, "sur les réseaux sociaux", en tout cas, "cette blague",  tout en l’assumant. Au final, ni excuse, ni regret.

L'extrême gauche détourne le regard, mais le FN veut sa démission 

Dans Le Lab d’Europe 1, Gilles Pennelle, président du groupe FN de Bretagne, réclame désormais la démission de Julie Le Goïc:
"C’est un véritable scandale faire ça après cet attentat horrible. Ça dépasse l’entendement. Elle ne peut pas rester élue en tenant de tels propos." D’après les mots de Gilles Pennelle, il s’agissait aussi pour lui de s’en prendre à "une famille politique, la gauche au sens large, qui ne se prive jamais d'épingler un tweet polémique. Donc retour à l’envoyeur."
Loin de faire profil bas, la subversive Julie Le Goïc a décidé d’enfoncer le clou en retweetant ce "jeu de mots" (BFMTV).

La chaîne en continu
qui s'est rendu célèbre en fournissant des renseignements en direct aux terroristes de l'Hyper-Casher ne reproduit pas le tweet du FN mais choisit celui d'un ultra-gauche


"Pas sûr que son fil twitter retrouve la paix de sitôt," déplore BFMTV, sous la 'plume' du courageux "R.V". Un journaliste anonymé qui "se cache derrière son clavier" ?

Elue de la République, Julie Le Goïc a gagné le respect de la gauche extrême, subversive et insurrectionnelle. Et républicaine...


Et n'allez surtout pas réclamer la démission de Julie Le Goïc: ce serait du fascisme et la meute des trolls et autres twittos vous tombera dessus.
D'ailleurs, Cuillandre n'exige rien. Quant au Parquet, le procureur est absent et Christiane Taubira soutiendra sa défaillance.

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