Mise en place du service minimum plébiscitée !
Des Français(es) réfractaires à la propagande de gauche ? Il est grand temps de leur rendre la parole accaparée par les gauches.
Près de sept français sur dix (68%) n'approuvent pas les revendications "des salariés qui font grève pour protester contre la réforme des régimes spéciaux", contre 32% qui les approuvent, selon un sondage OpinionWay pour le Figaro Magazine et publié samedi.
Des Français(es) réfractaires à la propagande de gauche ? Il est grand temps de leur rendre la parole accaparée par les gauches.
Près de sept français sur dix (68%) n'approuvent pas les revendications "des salariés qui font grève pour protester contre la réforme des régimes spéciaux", contre 32% qui les approuvent, selon un sondage OpinionWay pour le Figaro Magazine et publié samedi.
En outre, 85% seraient très ou plutôt favorables "à la mise en place d'un service minimum dans les transports publics en cas de grève permettant d'assurer le trafic le matin de 07H00 à 10H00 et le soir de 17H00 à 20H00" contre 15% opposés. La nécessité de la mise en place du service minimum est revendiquée, à la suite des abus de position dominante des syndicats des transports.
Bien que modérées, 85% des personnes interrogées se déclarent également très ou plutôt favorables à ce "qu'au-delà d'une semaine de grève, un vote à bulletin secret soit organisé dans les entreprises pour connaître le pourcentage de salariés favorables à la grève", contre 14% opposés. Au-delà d’une semaine de grève ? Voilà une revendication bien modérée !
La grogne monte ! Sept français sur dix (71%) auraient "plutôt envie de s'opposer aux revendications" des salariés si un mouvement de grève devait se prolonger dans les transports, contre 27% qui seront tentés "de soutenir et d'être solidaires des grévistes".
63% des personnes interrogées considèrent enfin que les grévistes dans la fonction publique "défendent des intérêts particuliers" contre 32% qui pensent qu'ils "défendent le service public dans son ensemble". Clairvoyants, les Français(es) ?
Par leurs actions intempestives pour le maintien de privilèges insupportables par le pays, tandis que l’ensemble de la population s’adapte à la nouvelle donne socio-économique, l’intransigeance impudique des syndicats a favorisé une meilleure information des Français sur la réalité des ‘avantages acquis’. Ils ont découvert que les gauches les ont bernés pendant des générations et que le maintien de situations particulières était devenu injustifié malgré la levée de boucliers des syndicats qui revendiquent par ailleurs davantage d’égalité et de justice sociales !
La presse écrite et télévisuelle ne semble pas avoir bien évalué le sentiment d'injustice qui s'est emparé des Français, malgré la désinformation, en faveur des partis et syndicats qui noyautent les médias.
Qu'elle rende la parole à la majorité des Français, plutôt que de la céder aux plus menaçants!
Sondage réalisé en ligne les 19 et 20 octobre sur un échantillon de 1001 individus représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas.
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