Les médias faussent le débat et les esprits sur les tests ADN
Les partisans des tests ADN se taisent. Espérons qu’ils agissent.
Nous assistons en revanche à un accaparement des médias par les réseaux, collectifs et autres associations de tous poils, mais d’un seul bord. Les extrémistes de gauche prennent la parole en permanence et à tour de rôle, parfois même en même temps, tantôt sur les radios, tantôt sur les télévisions. C’est un manège étourdissant qui consiste à créer l’illusion d’un consensus contre. Contre tout. Cette fois, il s’agit des tests ADN pourtant pratiqués, par exemple, au Royaume Uni, qui est la patrie de l’Habeas Corpus.
L’escroquerie consiste aussi à taire l’origine commune des critiques. Car si les médias diffusent abondamment, sans plus d’indications sur la famille politique des intervenants, c’est qu’ils participent à cet activisme qui conduit à la manipulation de l’opinion.
Chaque Français est alors gagné par le doute et s’inquiète d’être seul à penser comme il le fait. La majorité des Français n’accepte généralement pas de se faire berner sur quelque sujet que ce soit. Celui des immigrés qui trichent sur la réalité de leurs liens familiaux ne fait pas exception à la règle.
Or, ni la gauche, ni les médias n’abordent la question sous cet angle de la tromperie. Elle est possible. Elle existe d’ailleurs, en plus d’autres, comme les mariages gris ou blancs. Des demandeurs étrangers prétendent en effet rejoindre des parents français avec lesquels ils n’ont aucun lien de parenté… Les activistes de gauche ne l’ignorent pas et jouent néanmoins un jeu terrible qui ne comporte plus aucune règle : parler la langue ou avoir les moyens d’élever une famille, sont un minimum. Jouer franc-jeu n’est semble-t-il pas naturel et la franchise est en outre rendue ridicule par les soutiens de nationaux qui dans le pays d’accueil développent les filières de contournement et de tricherie. La confiance n’y est plus et c’est l’œuvre des réseaux, collectifs et associations.
Ceux-ci promettent leur aide. Ils ne sont pourtant pas tous motivés par des préoccupations humanitaires comme on pourrait le croire. Que « la France ne peut accueillir toute la misère du monde » (Michel Rocard, alors Premier ministre socialiste) indiffère les uns ou n’est pas suffisamment pris en compte par les autres. Les Français qui rencontrent le plus de difficultés se sentent négligés par ces ‘humanitaires’-là et aspirés puis absorbés par plus de dénuement. L’espoir que les uns font miroiter aux immigrés et la désespérance que les mêmes développent chez les plus démunis en règle sur le territoire mènent pareillement au désespoir.
Mais est-il permis de protester contre cette réalité et ces pratiques, sans être montré du doigt, vilipendé, insulté. Avoir le sens des responsabilités est-il trop demandé des prétendus grands cœurs ? Il est permis de penser que ces cœurs-là ne sont pas plus ouverts que ceux des protestataires seraient fermés.
Alors l’idée que ces saints laïcs seraient motivés par l’inavouable ne peut faire de doute.
Regardez-les ! Les plus virulents d’entre eux se positionnent dans le même espace de l’échiquier politique : celui où on refuse de participer à la vie démocratique. Certes, ils ont souvent l’avantage de disposer d’un emploi qui n’est pas menacé : combien d’enseignants à RESF ? Combien sont détachés de leurs emplois dans des associations ? Combien sont des militants à temps plein, des élus dont les annuités de retraite comptent double ? Ils sont pour la plupart en lutte contre la société qui les a protégés. Bon nombre aboient depuis leurs niches fiscales, sont étudiants boursiers ou vivent aux crochets de leur conjoint(e) -dans l’édition ou tout autre secteur.
Qui sont-ils ? Des radicaux inadaptés et aigris, en rupture avec la société qu’ils exècrent et dont ils veulent la perte, avec tous ceux qui la composent. L’afflux d’immigrés peut à leur yeux hâter grandement le processus : ils y mettent donc toute leur énergie. Autodestruction, je t’aime. Ils n’aiment que ça et ne se reproduisent guère. Ils ne s’aiment pas plus qu’ils n’aiment les autres, et les immigrés, comme les autres.
Les sénateurs se laisseront-ils gagner?
Les partisans des tests ADN se taisent. Espérons qu’ils agissent.
Nous assistons en revanche à un accaparement des médias par les réseaux, collectifs et autres associations de tous poils, mais d’un seul bord. Les extrémistes de gauche prennent la parole en permanence et à tour de rôle, parfois même en même temps, tantôt sur les radios, tantôt sur les télévisions. C’est un manège étourdissant qui consiste à créer l’illusion d’un consensus contre. Contre tout. Cette fois, il s’agit des tests ADN pourtant pratiqués, par exemple, au Royaume Uni, qui est la patrie de l’Habeas Corpus.
L’escroquerie consiste aussi à taire l’origine commune des critiques. Car si les médias diffusent abondamment, sans plus d’indications sur la famille politique des intervenants, c’est qu’ils participent à cet activisme qui conduit à la manipulation de l’opinion.
Chaque Français est alors gagné par le doute et s’inquiète d’être seul à penser comme il le fait. La majorité des Français n’accepte généralement pas de se faire berner sur quelque sujet que ce soit. Celui des immigrés qui trichent sur la réalité de leurs liens familiaux ne fait pas exception à la règle.
Or, ni la gauche, ni les médias n’abordent la question sous cet angle de la tromperie. Elle est possible. Elle existe d’ailleurs, en plus d’autres, comme les mariages gris ou blancs. Des demandeurs étrangers prétendent en effet rejoindre des parents français avec lesquels ils n’ont aucun lien de parenté… Les activistes de gauche ne l’ignorent pas et jouent néanmoins un jeu terrible qui ne comporte plus aucune règle : parler la langue ou avoir les moyens d’élever une famille, sont un minimum. Jouer franc-jeu n’est semble-t-il pas naturel et la franchise est en outre rendue ridicule par les soutiens de nationaux qui dans le pays d’accueil développent les filières de contournement et de tricherie. La confiance n’y est plus et c’est l’œuvre des réseaux, collectifs et associations.
Ceux-ci promettent leur aide. Ils ne sont pourtant pas tous motivés par des préoccupations humanitaires comme on pourrait le croire. Que « la France ne peut accueillir toute la misère du monde » (Michel Rocard, alors Premier ministre socialiste) indiffère les uns ou n’est pas suffisamment pris en compte par les autres. Les Français qui rencontrent le plus de difficultés se sentent négligés par ces ‘humanitaires’-là et aspirés puis absorbés par plus de dénuement. L’espoir que les uns font miroiter aux immigrés et la désespérance que les mêmes développent chez les plus démunis en règle sur le territoire mènent pareillement au désespoir.
Mais est-il permis de protester contre cette réalité et ces pratiques, sans être montré du doigt, vilipendé, insulté. Avoir le sens des responsabilités est-il trop demandé des prétendus grands cœurs ? Il est permis de penser que ces cœurs-là ne sont pas plus ouverts que ceux des protestataires seraient fermés.
Alors l’idée que ces saints laïcs seraient motivés par l’inavouable ne peut faire de doute.
Regardez-les ! Les plus virulents d’entre eux se positionnent dans le même espace de l’échiquier politique : celui où on refuse de participer à la vie démocratique. Certes, ils ont souvent l’avantage de disposer d’un emploi qui n’est pas menacé : combien d’enseignants à RESF ? Combien sont détachés de leurs emplois dans des associations ? Combien sont des militants à temps plein, des élus dont les annuités de retraite comptent double ? Ils sont pour la plupart en lutte contre la société qui les a protégés. Bon nombre aboient depuis leurs niches fiscales, sont étudiants boursiers ou vivent aux crochets de leur conjoint(e) -dans l’édition ou tout autre secteur.
Qui sont-ils ? Des radicaux inadaptés et aigris, en rupture avec la société qu’ils exècrent et dont ils veulent la perte, avec tous ceux qui la composent. L’afflux d’immigrés peut à leur yeux hâter grandement le processus : ils y mettent donc toute leur énergie. Autodestruction, je t’aime. Ils n’aiment que ça et ne se reproduisent guère. Ils ne s’aiment pas plus qu’ils n’aiment les autres, et les immigrés, comme les autres.
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